SPLAOUTCH!
Documentaire.Par: Association ENVOLS
J-17
10 345,00 €
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION,
DIFFUSION
SOLIDARITÉS INTERNATIONALES,
EDUCATION,
INCLUSION
Présentation du projet
LE PITCH
Madjouma, Astride, Mahamadou, Hadja et Moussa sont des MNA, des mineurs non accompagnés : originaires d’Afrique subsaharienne, ils sont exilés, isolés, arrivés seuls en France où ils ont plongé dans l’océan administratif et juridique du recours en reconnaissance de minorité auprès du juge des enfants.
Ils ont traversé la mer sur des bateaux de fortune ; ils ne savaient pas nager ; ils vont apprendre.
La résilience, c'est l'art de naviguer dans les torrents.
Boris Cyrulnik
Ni reconnus mineurs, ni considérés comme majeurs, leur existence en pleine construction se situe dans une zone grise.
En France, les programmes de sport de l’Éducation nationale exigent d’amener tous les élèves à la maîtrise de la nage au plus tard en fin de collège. Une priorité nationale.
A travers l’apprentissage de la nage, entendre ces adolescents raconter leur parcours, dire la vie réelle et concrète des MNA : c’est l’histoire de SPLAOUTCH !
LA RÉALISATRICE
Ce documentaire se situe au confluent de mon métier de comédienne et de mon engagement dans le projet sociétal éducatif porté par ENVOLS.
J’ai rencontré Madjouma, Astride, Mahamadou, Hadja et Moussa dans le cadre d’ENVOLS, association dont je suis l’une des cofondatrices et qui accompagne des MNA dans leur processus de reconnaissance de minorité et la construction de leur vie en France, leur assurant au maximum protection et sécurité.
Comédienne, je raconte des histoires sur des plateaux de théâtre et devant la caméra. Sensible au parcours de ces adolescents, je passe derrière la caméra pour capter le réel et faire partager leur quotidien de mineurs isolés.
INTENTIONS
SPLAOUTCH ! plonge tous ses personnages - adolescents, bénévoles et maîtres-nageurs - dans le huis clos de la piscine où tout le monde est dans le même bain, à nu.
Aucun visage ne sera montré entièrement mais aucun ne sera pour autant dissimulé.
La démarche de suivre de jeunes MNA implique de les protéger : restituer les personnalités sans montrer entièrement les personnes. Comment alors filmer les autres protagonistes de cette aventure humaine et citoyenne ?
La réponse s’impose comme un défi que SPLAOUTCH ! implique de relever : loger tout le monde à la même enseigne, diluant l’opposition sachant - apprenant, français - exilé.
Gravité et légèreté
SPLAOUTCH ! alterne les cours de natation, lumineux, bruyants, foisonnant, collectifs, avec des moments introspectifs des jeunes au bord de la piscine, de nuit, de solitude, hors du temps, hors de tout, durant lesquels la caméra n’a rien d’autre à filmer, dans cet espace aquatique emblématique, que ces adolescents déracinés qui ne cherchent qu’à s’ancrer pour grandir et se construire.
Et leurs voix, les racontant eux et leur histoire.
Une histoire navigant entre gravité et légèreté, mer et piscine, peur et confiance, jeunesse et maturité. A l’instar de ces jeunes exilés survivants, habités par un passé douloureux et un avenir incertain mais toujours capables de fou rire et portés par une énergie débordante.
PERSONNAGES
MADJOUMA
« Ce n’est pas un diplôme de la guerre, c’est un diplôme de la piscine, maintenant je peux me sauver, je peux sauver des gens aussi »
Madjouma est né au Mali. Destiné à travailler aux champs, il n’est jamais allé à l’école. Il a décidé tout seul de partir, d’échapper « aux champs », pour aller à l’école, apprendre un métier et être indépendant. Il est parti et a pris le bateau à quinze ans, est arrivé en France en passant par l’Espagne. Après une longue attente d’une audience auprès du juge des enfants, il reçoit une ordonnance de placement provisoire mais n’est toujours pas reconnu mineur. Madjouma attend, inquiet, une nouvelle audience qui décidera de sa prise en charge ou non. Durant les séances, Kevin, le maître-nageur, lui dira souvent « arrête de te battre avec l’eau ».
ASTRIDE
« Je parlais à la mer, à l’eau, pour qu’elle soit douce avec nous mais elle s’est fâchée et le grand bateau est arrivé. On aurait dû tous se noyer, on aurait dû tous périr ».
Astride est née au Cameroun. Elle va à l’école mais celle-ci est de plus en plus chère et devient impossible à payer. Sa sœur aînée organise son départ, rassemble l’argent et charge une amie de l’emmener jusqu’en France. Elle sait qu’Astride ne sait pas nager, elle l’envoie s’embarquer sur un Zodiac pour atteindre l’Europe et aller à l’école. Astride a quinze ans. Elle passe par le Nigeria, le Niger, l’Algérie, La Lybie où elle reste longtemps, enfermée toute la journée « pour pas qu’il lui arrive quelque chose » pendant que l’amie de sa sœur « travaille » pour payer le passage. Pour Astride sa sœur s’est sacrifiée pour elle, elle se doit de réussir. A son arrivée à Paris, Astride est déclarée « non mineure » car considérée « trop mature ». Hébergée par France Terre d’Asile en hôtel, elle a saisi le Juge des enfants et engagé un recours en reconnaissance de minorité. Elle attend depuis longtemps les conclusions de l’audience et de son test osseux. Elle ne veut plus y penser. Elle veut aller à l’école. Grâce à ENVOLS, Astride a passé les tests du CASNAV[1]. Ses résultats ont été brillants mais elle n’a pas d’affectation.
[1] Centre académique pour la scolarisation des enfants allophones nouvellement arrivés et des enfants issus de familles itinérantes et de voyageurs.
MAHAMADOU
« Quand je nage sur le dos j’oublie tout, tous mes problèmes. Apprendre à nager ça me permettait de penser à ma mère »
Mahamadou est né au Mali. Il est parti à quinze ans et demi. Sa casquette toujours vissée sur la tête, il prend rarement la parole mais sourit beaucoup avec les yeux. Il ne parle pas de son passé, ne veut pas dire. Mais il raconte comment il a appris à boire l’eau salée, à ne pas manger pendant plusieurs jours, il raconte ses cinq mois passés en Espagne sans comprendre un mot, ses nuits dehors après son arrivée en France, son test des os, la tristesse dans laquelle il a été plongé face à « la machine » et sa peur pendant l’attente des résultats, de longs mois interminables. Mahamadou a été reconnu mineur, il est logé en foyer et scolarisé en UPE2A[1]. Il doit entrer en CAP et attend des réponses pour être pris en apprentissage. Il n’y a pas un jour où Mahamadou ne se demande : « pourquoi je suis là et comment je vais réussir à vivre comme les gens normaux ? On dirait que je suis un mort vivant ».
[1] Unités Pédagogiques pour élèves allophones arrivants.
« Je ne pensais pas que j’allais savoir nager un jour. Apprendre à nager ça a changé ma vie ».
Moussa est né au Mali, à Bamako. Il est l’aîné d’une famille de trois enfants. A la mort de son père, il doit arrêter l’école que sa mère n’a plus les moyens de payer. Il « traîne » dans les rues et un jour sa mère lui dit de préparer un sac pour aller passer quelques jours avec un ami de la famille. Les quelques jours se transforment en semaines puis en mois, il arrive au Maroc où l’ami lui dit qu’il doit prendre un bateau et aller en France. Il n’a pas le choix, il le fait. Il arrive en Espagne mais n’y reste pas. Moussa connait un seul mot d’espagnol, « Salvamento », le nom du bateau de la Croix rouge espagnole qui les a secourus en mer. Arrivé à Paris à 16 ans, il est reconnu mineur au bout d’un an. Pendant cette année, il passe par toutes les associations qui peuvent l’aider, est scolarisé, saute les niveaux scolaires brillamment et est admis chez les compagnons du devoir en boulangerie. Moussa n’a pas le choix, il doit « réussir sa vie » pour celles de sa mère, de son frère et de sa sœur.
HADJA
« J’ai la peur en moi, c’est pourquoi je n’arrive pas à nager dans la piscine. Il y a beaucoup de choses que j’ai envie d’oublier »
Hadja est née en Guinée. Elle est la seule fille de sa fratrie et la seule à avoir été à l’école coranique. Elle quitte la Guinée à 15 ans avec sa tante pour fuir un mariage forcé. Elles s’embarquent toutes les deux dans le Zodiac qui doit les faire traverser la Méditerranée. Secourues par la Croix Rouge italienne dans les eaux internationales, elle perd sa tante et se retrouve seule sur le bateau qui la débarque en Italie. Elle est perdue. Après des nuits à dormir dehors, elle se greffe à un groupe qui part pour Paris. Prendre des trains sans billets, se cacher dans les toilettes pour échapper aux contrôleurs, dormir dans les gares. Arrivée à Paris, Hadja est hébergée par France Terre d’Asile en hôtel. Après son jugement et la non reconnaissance de sa minorité, Hadja perd pied, fuit son hôtel et disparaît pendant plusieurs jours. Elle finit par être hébergée au foyer de l’association Women’s House. Elle pourrait entamer une demande d’asile mais n’a pas la force de replonger dans son histoire, tout raconter, encore. Elle ne veut plus y penser, elle veut oublier. Hadja a passé les tests du CASNAV et attend une affectation en seconde professionnelle, qui tarde à venir. Elle est très inquiète de ne pas pouvoir entrer à l’école. Elle rêve de faire « un métier d’homme ».
LA PISCINE
La Piscine est un personnage à part entière, essentiel, de l’histoire. Datant des années 1930 et classée monument historique, avec ses étages de cabines bleues qui ne servent plus que de décor, ses espaces ludiques à l’eau chauffée, son bassin sportif sous un immense toit vitré, laissant passer la lumière de la vie extérieure, la piscine Édouard Pailleron dans le 19ème arrondissement de Paris est esthétique, cinématographique, réconfortante, emblématique.
OÙ EN EST LE FILM ?
Avec mon équipe, Adrien Selbert à l’image, Frédéric de Ravignan et William Amsler au son, et grâce au soutien de Virtuel Audio, de DECATHLON, de l’UCPA, de l’espace aquatique PAILLERON, nous avons tourné les séquences à la piscine et enregistré plusieurs entretiens avec les jeunes à un moment où j’ai pu réunir les conditions adéquates à la réalisation de SPLAOUTCH ! : rencontre avec les cinq jeunes en recours de reconnaissance de leur minorité auprès du juge des enfants, organisation des cours de natation par ENVOLS, possibilité de tourner à la piscine Pailleron avec l'UCPA et deux maîtres-nageurs engagés dans le projet, disponibilité et engagement de mon équipe technique.
Avec Delphine Dufriche, au montage, j’ai réalisé le teaser de SPLAOUTCH !.
Aujourd’hui nous avons besoin de derusher et de commencer un pré-montage du film pour convaincre de nouveaux partenaires et un ou plusieurs diffuseurs de nous accompagner, et organiser des projections publiques. Nous envisageons une durée de 60 minutes environ.
Nous avons besoin de vous : votre soutien contribuera à la post-production de SPLAOUTCH! et à sa sortie fin 2025 !
POURQUOI UN FINANCEMENT PARTICIPATIF ?
SPLAOUTCH ! est né du désir de donner à voir et à entendre ces adolescents survivants à travers leur apprentissage de la nage, de la vie.
Ce désir a rencontré l’engagement de toute une équipe autour de ce projet mais aussi de l’UCPA qui a financé les cours, de l’enseigne DECATHLON qui nous a permis de tourner les séquences d’achat de matériel dans leur magasin porte de Montreuil.
L’existence de SPLAOUTCH ! est depuis le début guidée par le soutien d’un ensemble de personnes touchées par le sujet de ce documentaire.
Lancer un financement participatif permettant de réunir des producteurs citoyens au générique du film est cohérent avec le parcours de SPLAOUTCH !
Le choix de faire porter cette collecte par ENVOLS permettra de reverser des bénéfices, liés à la vie du film, à l’association pour soutenir la cause des MNA.
Nous vous proposons de nous rejoindre dans cette aventure et de contribuer à nous donner les moyens que SPLAOUTCH ! voit le jour et puisse vivre.
Un grand MERCI de la part de toute l'équipe de SPLAOUTCH!
SPLAOUTCH !
PARTENAIRES
Le film SPLAOUTCH ! est soutenu par :
FAQ
L’Office Français de Protection des Réfugiés et Apatrides (OFPRA) désigne les mineurs non accompagnés comme « des demandeurs d’asile âgés de moins de 18 ans qui ne sont accompagnés ni de leur père ni de leur mère et qui ne relèvent par ailleurs de la responsabilité d’aucun adulte mandaté pour les représenter. » En France, la minorité est dite déclarative : en vertu du principe de « présomption de minorité » un jeune se présentant comme mineur doit être considéré comme tel jusqu’à ce qu’une décision de justice ayant autorité de la chose jugée (du juge des enfants ou de la Cour d’Appel) soit rendue. Dans les faits, les MNA une fois sur le territoire français sont en grande majorité considérés comme « non mineurs » par les dispositifs d’évaluation sociale et doivent saisir le juge des enfants afin de faire reconnaître leur minorité et espérer ainsi être pris en charge par l’Aide Sociale à l’Enfance (ASE). Ce recours n’étant pas suspensif, ils relèvent tout au long de cette procédure du droit commun et sont considérés comme sans papiers. Ni reconnus mineurs, ni considérés comme majeurs, leur existence en pleine construction se situe dans une zone grise. Cette procédure de recours est longue et éprouvante (évaluation, refus, saisine du juge des enfants, recherche de documents d’état civils, examen radiologique osseux ,...). Des associations dont ENVOLS accompagnent les jeunes durant cette instruction mais aussi dans leur vie quotidienne et le processus de leur scolarisation : cruciale pour les MNA et garantie en France par le Code de l’Éducation , il s’agit du but de leur exil, la clé de voûte de leur avenir.
- Principe du Conseil d’État dans sa décision du 1er juillet 2015 n°386769 et décisions du Conseil Constitutionnel n° 2018-768 QPC du 21 mars 2019 et n°2019-797 QPC du 26 juillet 2019.
[1] Cet examen, dit « test des os », controversé et condamné par le Conseil de l’Europe, est ordonné par l’autorité judiciaire, en l’absence de papiers d’identité fiables. Il s’agit d’un examen clinique basé sur l’évolution de l’ossification selon un procédé scientifique établi entre 1931 et 1942 par deux chercheurs, Greulich et Pyle. Des tests qui ont été créés pour suivre la croissance des enfants et non pour déterminer leur âge : la méthode reconnaît une marge d’erreur d’un à deux ans pour les adolescents proches de la majorité.
[1] UTOPIA, ENVOLS, Droit à l’école, les Midis du MIE, la Casa, MSF, Médecins du Monde...
[1] La circulaire n°2012-141 du 2 octobre 2012 réaffirme un grand principe de l’école républicaine :
La scolarisation des élèves allophones relève du droit commun et de l’obligation scolaire. L’école est un droit pour tous les enfants résidant sur le territoire
> 25 janvier 2023 : le Comité des Nations unies pour le droit des enfants conclue que la France a violé plusieurs dispositions de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) : texte historique, juridiquement contraignant, signé en 1989 par 197 états dont la France, reconnaissant pour la première fois des droits fondamentaux, obligatoires et non négociables aux personnes de moins de 18 ans. La France persiste en effet à ne pas désigner de représentant légal chargé d’assister les MNA durant la procédure d’évaluation de leur minorité, les écartant de tous dispositifs de protection. Malgré les demandes formulées par l’ONU aucune mesure n’a été prise pour remédier à ces violations.
> 14 mai 2024 : vingt-sept associations saisissent le Conseil d’État pour atteintes aux droits des MNA en France et contraindre les autorités françaises à mettre en place un dispositif de mise à l’abri et d’évaluation de leur minorité en conformité avec les exigences posées par la CIDE.
Associations concernées : Adjaam, AADH, ADDE, ADMIE, ANAS, Apprentis d’Auteuil, Cimade, CNAPE, Cofrade, Comede, DEI-France, Droit à l’école, ECPAT France, Fasti, Fondation Abbé Pierre, Gisti, InfoMIE, Ligue des Droits de l’Homme, Médecins du Monde, Médecins Sans Frontières, Safe Passage International, Secours Catholique Caritas France, Syndicat de la Magistrature, UNICEF France.
A quoi sert l'argent collecté
L’argent collecté servira
- À dérusher et à réaliser un pré-montage de SPLAOUTCH! afin de solliciter des diffuseurs et de nouvelles aides pour financer la post-production du film et organiser des projections publiques.
- À rémunérer les technicien.nes engagé.es.
- À couvrir les coûts de tournage et post-synchronisation (location de materiel, achat de logiciel, disque dur, frais de gestion, droits musicaux, audi de post-production).
MERCI INFINIMENT DE VOTRE SOUTIEN !
Objectif de collecte
18 000,00 €
Montant Global
20 000,00 €
Désignation | Montant |
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Gestion |
|
Frais de gestion | 2 510,00 € |
SOUS TOTAL | 2 510,00 € |
Salaires |
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Synchronisation rushes | 500,00 € |
Ingénieur du son | 1 000,00 € |
Monteuse image | 2 500,00 € |
Chef opérateur | 2 000,00 € |
Mixeur | 500,00 € |
Etalonnage | 1 000,00 € |
SOUS TOTAL | 7 500,00 € |
Frais de gestion Proarti |
|
Frais de gestion | 1 334,00 € |
SOUS TOTAL | 1 334,00 € |
Achat/ Location Matériel |
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Disque dur / DCP | 670,00 € |
Logiciel DA VINCI | 80,00 € |
Matériel image/son | 2 554,00 € |
location post-production | 2 000,00 € |
Audi mixage | 1 592,00 € |
SOUS TOTAL | 6 896,00 € |
Droits musique |
|
Droits musicaux | 1 760,00 € |
SOUS TOTAL | 1 760,00 € |
TOTAL |
|
TOTAL | 20 000,00 € |
Désignation | Montant |
---|---|
Fonds propres |
|
Fonds propres | 2 000,00 € |
SOUS TOTAL | 2 000,00 € |
Proarti |
|
Financement participatif proarti | 18 000,00 € |
TOTAL |
|
TOTAL | 20 000,00 € |
Contreparties
Mécène Poussin
pour 15,00 € et +
10 ARTINAUTES
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Après déduction fiscale de 66%, un don de 15€ ne vous coûtera que 5,10€
Mécène Cadet
pour 30,00 € et +
15 ARTINAUTES
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Merci beaucoup pour votre soutien !
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Mécène Junior
pour 50,00 € et +
17 ARTINAUTES
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Merci chaleureusement pour votre soutien !
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Mécène Senior
pour 70,00 € et +
8 ARTINAUTES
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Mille mercis pour votre soutien !
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Mécène Espoir
pour 100,00 € et +
12 ARTINAUTES
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Merci énormément pour votre soutien !
Après déduction fiscale de 66%, un don de 100€ ne vous coûtera que 34€
Mécène Associé
pour 250,00 € et +
8 ARTINAUTES
Un remerciement spécial et votre nom au générique.
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Une photo du film au choix.
Une invitation en salle de montage ou de mixage avec la réalisatrice.
Une invitation à une projection-débat .
Merci immense pour votre soutien !
Après déduction fiscale de 66%, un don de 250€ ne vous coûtera que 85€
Grand Mécène
pour 500,00 € et +
2 ARTINAUTES
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Une photo du film au choix.
Une invitation en salle de montage ou de mixage avec la réalisatrice.
Une invitation à une projection-débat.
Une invitation à la projection du film en festival et votre nom ou logo sur l'affiche.
Merci infiniment pour votre soutien !
Après déduction fiscale de 66%, un don de 500€ ne vous coûtera que 170€