Sous les Bulles 2020
les auteurs contre attaquent !Collecte Réussie
17 014,00 €
soutiennent
objectif de
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION
Présentation du projet
Ce documentaire est la suite de « Sous les bulles, l’autre visage du monde de la Bande dessinée », sorti en 2013. Dans un premier temps, ce documentaire avait pour objectif de suivre la lutte sociale des auteurs de BD tout le long de l’année 2020. Le film a évolué avec l’actualité : il s’agit aujourd’hui de voir comment les auteurs de BD, toujours au coeur du film, mais aussi tous les autres acteurs de la chaîne du livre, tous affectés par la crise induite par la pandémie et le confinement, se remettront de cette période.
Il faudra d’abord dépasser des dégâts structurels à court et moyen terme, avant d’envisager la suite. Si la remise en question est profonde pour chacun, 2020 sera-t’elle l’année qui, envers et contre tout, permettra finalement de refonder un nouvel équilibre, équitable pour tous les maillons, y compris les auteurs?
Les enjeux sont énormes : du futur des auteurs dépend une partie de cette industrie de la culture, qui contribue tant au rayonnement de notre pays dans le monde..
.
Le contexte initial:
Début 2020, la Bande dessinée était encore un marché florissant : 550 millions d’euros de chiffre d'affaires, d’après l’institut Gfk. Ce succès tranchait avec la réalité des auteurs : 50 % d'entre eux essayant de vivre avec moins qu’un smic. Le revenu d'un tiers d'entre eux les situe même en dessous du niveau de pauvreté, en particulier les autrices. Fragiles et isolés dans la négociation des contrats auprès d’éditeurs qui proposaient des rémunérations toujours plus basses, les auteurs de BD ne bénéficiaient pas de certains droits sociaux tels que le chômage ou les congés payés.
2020 Année de la BD
2020 avait a été placée, par le ministre de la culture, Franck Riester, sous le signe de la BD. Riester avait par ailleurs commandité un rapport rendu public juste avant le festival, le rapport « Racine » : celui-ci effectuait une analyse en profondeur du secteur, en soulignant les failles responsables de la précarité des auteurs, devenus la variable d’ajustement du système. Il apportait une série de propositions pour changer de façon durable les rapports de force en place. Beaucoup d’ espoirs étaient nés de cet intérêt, renforcés par la venue du président au festival d’ Angoulême… Les auteurs allaient-ils enfin être entendus ?
ROUND 1 ANGOULEME
Dans les semaines précédant le festival, un mouvement est né sur les réseaux sociaux, le collectif AAA (Autrices-Auteurs en Action), rassemblant les auteurs décidés à participer à toute une série d’actions et manifestations. J’ai pu capter à Angoulême le début de leur lutte enthousiaste et créative.
Remontés à bloc, les auteurs de BD du AAA préparaient déjà des actions sur les divers événements à venir, notamment le salon du livre de Paris, pour maintenir la mobilisation tout le reste de l’année. C’est là que la pandémie du covid-19 a tout stoppé. Et tout emporté sur son passage.
Round 2 Le covid 19
Avec les festivals et salons annulés, ainsi que la fermeture des établissements scolaires, nombre d’auteurs ont vu disparaître les séances de dédicaces, d’animations, d’ateliers BD prévus. Bref, tout ce qui leur fournissait ces revenus dits « accessoires » et indispensables pour eux, afin de compenser des droits d’auteurs souvent bas, et terriblement irréguliers, négociés avec les éditeurs.
Avec la fermeture des librairies, due au confinement, beaucoup d’éditeurs ont fait le choix de décaler les sorties des livres plus tard dans l’année. Si l’idée est de donner aux livres une chance de trouver un public, ce décalage signifie également souvent un délai de paiement, si ce n’est un important manque à gagner, pour les auteurs. Et qui peut dire si, dans la crise qui se profile, les lecteurs eux-mêmes impactés économiquement garderont leurs habitudes d’achat de livres ? Pour chacun, les interrogations sont multiples et profondes.
Que feront les auteurs, les autres acteurs de la chaîne du livre et le gouvernement pour remonter la pente? En profiteront-ils pour rééquilibrer la situation? Les concertations pourront-elles obtenir de réelles avancées ? Ce film suivra le combat des auteurs, pas à pas, sur toute l’année 2020, jusqu'au prochain festival d'Angoulême, 2021, si celui-ci a lieu, dans cette quête pour la reprise en main de leur destin.
Parmi les auteurs interviewés:
Marc-Antoine Boidin, dessinateur de « La guerre des Sambre », de « Kérioth » et « Chéri-bibi », membre du SNAC BD (syndicat des auteurs BD).
Samantha Bailly, autrice et scénariste (romans et mangas), présidente de la Ligue des Auteurs professionnels et de la Charte des auteurs et illustrateurs.
Militante, engagée, elle a repris le flambeau que tenait Denis BAJRAM, le créateur de Universal War One, Two and Three, un des membre fondateur du SNAC BD puis des Etats Généraux de la BD, qui a réaliséen 2016 la première étude exhaustive sur la condition des auteurs . Après plusieurs années d'engagement, Denis s'est mis un peu en retrait de l'activisme syndical afin de reprendre son souffle et se consacrer à nouveau à son art. Il demeure très actif et était là, tant à Angoulême qu' au Hackathon à Paris.
Marie Bardiaux-Vaïente, scénariste: fait partie du groupe de auteurs qui ont géré la page Facebook d’où est né le collectif AAA. Marie fait partie de celle-eux qui ont toujours voulu remettre la convergence des luttes au coeur du combat des auteurs de BD, se revendiquant d’un nouveau prolétariat.
Cédric Mayen. Cédric est un scénariste de BD au succès naissant. Il est de ceux qui ne comptent pas leurs heures pour peaufiner ses écrits. Il travaille à l’ atelier l'ENCRE SYMPATHIQUE, avec d’autres auteurs, autant profiter de l'émulation mutuelle, que pour réduire les frais. Il est également un des modérateurs du AAA.
Laurel, autrice de BD, blogs et romans graphiques. Laurel est le symbole de la possibilité de chemins alternatifs aux circuits traditionnels, en ayant réussi à financer ses 3 derniers projets via des financements participatifs très fructueux. Cela la protège t'elle de la crise des auteurs vivant des circuits de distribution plus traditionnels?
Parmi les éditeurs, nous comptons interviewer :
Vincent Montagne, président du SNE, PDG de média participation, et Moïse Kissous du groupe BD du SNE
Olivier Bron, président du Syndicat des éditeurs Alternatifs, et Olivier Sulpice, chez BAMBOO.
Pour les institutions:
Bruno Racine, l’auteur du rapport en 2020 qui a mis en lumière la situation des auteurs et des pistes à explorer pour améliorer cette situation, rapport commandité par le ministre Riester en 2019.
Le conseiller dédié aux Artistes Auteurs qui sera prochainement désigné par le Ministre de la culture, Franck Riester.
Nous souhaitons aussi interviewer un distributeur, deux libraires, et quelques lecteurs auront aussi leur mot à dire.
Qui suis-je ? Et pourquoi faire ce film ?
Maiana Bidegain Je suis une réalisatrice de documentaires amatrice de BD depuis toujours. Dès mon enfance, je découvrais mon lot de BD classiques, les Astérix, Tintin et autre Iznogoud dans le placard de la cave dans la maison de ma tante, à Anglet.
Petite souris de bibliothèque un peu asociale, je ne ratais pas une occasion de me réfugier dans cette cave et de chercher quelque album à me mettre sous la dent, pour éviter les embrassades et conversations ennuyeuses des adultes. Cette découverte a continué à l'adolescence et l'age adulte, sur un registre de plus en plus large (Bourgeon, Bilal, Van Hamme, Lepage, Sfar, etc).
Je me suis moi aussi spécialisée dans la narration d'histoires par l'image, mais principalement d'histoires du réel, et avec, comme outil, ma caméra. Mon premier long métrage documentaire, Secretos de Lucha (2007), coproduit par la SMAC et France 3 Aquitaine, a été présenté dans une trentaine de festivals internationaux et a remporté plusieurs prix. Il a été suivi par plusieurs autres depuis, pour la télévision française (France 3 Aquitaine, France 5).
Il y a de cela quelques années, alors que je réalisais un de mes documentaires pour France 3 Aquitaine, j’ai rencontré Joël Callède, un scénariste de bande dessinées palois.
Ce fut le coup de foudre. Vivant à ses cotés, j’ai découvert l’autre coté du monde de la BD, celui qui ne se lit pas, celui qu’on ne voit pas. Les réalités de la création, à travers les relations scénaristes-dessinateurs. Je découvre aussi la relation à l’éditeur, ce troisième homme souvent oublié, mais qui est (ou devrait être) un partenaire indispensable au succès du livre. J'ai décidé de faire un premier ce film pour parler de ce que j'avais découvert : il s 'appelle « Sous les Bulles, l’autre visage du monde de la BD ». Vous pouvez le voir ici : SOUS LES BULLES 2013
Mais 6 ans après, j’éprouve le besoin de faire un deuxième volet, car ce qui était la conclusion du premier film, à savoir la précarité des auteurs, n’a fait que s’aggraver depuis, dans ce qui semble être une indifférence générale. Aujourd’hui cependant, les auteurs veulent que leur voix porte : en cette année de lutte sociale, leur combat aura-t-il l’écho nécessaire pour aboutir, là où tant d’autres ont échoué ? Pour les auteurs de BD, l’année BD 2020 est vraiment une année cruciale...
À quel stade sommes nous du projet ?
J'ai réalisé une première séance de tournage, pendant le festival d'Angoulême 2020. Nous avons suivi en exclusivité les préparations, tractages, manifestations et assemblées générales qui espéraient lancer un mouvement sur l’année.
Début mars, plusieurs organismes représentatifs des auteurs organisent à Paris, un hackathon que nous avons filmé : pendant 24h, auteurs, juristes et universitaires experts en droit d’auteur se réunissent pour échanger et forger de nouveaux outils , en cherchant des pistes innovantes afin d’obtenir cette meilleure reconnaissance du travail des auteurs et autrices, de la BD mais aussi du livre et de l’audiovisuel . C'était juste avant le début du confinement.
Aujourd’hui, la lutte a investi l’espace virtuel. Et la mobilisation se fait à coup d’articles, de tweets, et de partages numériques. En fonction de l'évolution, le film s'adaptera, pour rendre compte de la suite de la lutte, et suivra jusqu’au festival d'Angoulême 2021 l’évolution des rapports de force.
Principaux questionnements
-
Comment se construit une lutte? Comment affecte-t-elle ceux qui la relaient ?
-
Quel a été l’impact du covid 19 et du confinement pour l’industrie de la bd ? Pour les auteurs, d’un coté ? Mais aussi pour les libraires, les éditeurs, les distributeurs ?
-
Comment le gouvernement gère-t-il la situation ? Les aides dédiées au secteur de la culture vont-ils atteindre leurs cibles de manière équitable pour tous ?
-
les revendications des auteurs du début d’année vont-elles évoluer avec le contexte actuel ? Les concertations pourront-elles reprendre, à l’heure où chacun essaie de sauver sa peau ?
-
Enfin, suite à cette crise qui affecte tous les secteurs de l’économie, la société fera-t-elle un choix pour enfin donner une place aux artisans de sa culture ? Ou bien au contraire, ceux-ci seront sacrifiés face aux nouvelles priorités, notamment de l’industrie et de la santé ?
L’histoire de ces hommes et de ces femmes, leur engagement, me semble révèler beaucoup de chosses de notre société à l’heure actuelle. Cette militance, parfois nouvelle, des auteurs de BD, les a fait sortir complètement de leur bulle. Elle se construit cahin caha, entre prises de paroles plus ou moins concertées, les habitudes de solitaires devant se questionner pour le bien commun, avec l’étude de dossiers juridiques, sociaux et législatifs, bien loin de la création pure qui les meut à la base. Les attentes, les espoirs, les déceptions... Avec une issue plus qu’incertaine... Mais aussi, en encore plus aujourd'hui, la flamme du renouveau dans l'action collective, comme dernier rempart contre un libéralisme écrasant tout sur son passage...
FAQ
La production d'un documentaire est une aventure souvent longue et périlleuse, tant pour le réalisateur qui porte le projet, que pour le producteur qui l'accompagne. L'argent pour financer le travail des membres de l'équipe se trouve en général:
- dans les aides accordées par le CNC, par les régions, ou d'autres organismes aidant à la création audiovisuelle (SCAM, Procirep, Fondations diverses).
- dans les chaines de télé ou circuits de distribution qui diffuseront le film, une fois finalisé. Les chaines apportent le plus souvent une partie en numéraire (plus la chaine est grande, plus ce numéraire sera important, en général), puis une partie en nature (locaux de post-production, par exemple).
Seulement, dans tous les cas, on doit très souvent travailler pendant plusieurs mois en écriture, et en développement (c'est à dire en commençant le tournage) sans avoir l'assurance que cet argent va tomber, que les aides nous seront attribuées, ou qu'une chaine trouvera le sujet et l'angle d'attaque assez intéressants pour se décider à participer en tant que co-producteurs ou bien en pré-achat.
Dans ce cas précis, je travaille (Maiana) depuis le mois de novembre 2019 à l'écriture de ce projet. Je tiens à le mener à bout, et, souhaitant suivre l'actualité du mouvement chez les auteurs de BD, j'ai pris la décision de commencer à tourner, sans savoir du tout si ce temps investi aboutira à quelque chose.
Pour Sous les bulles 2013, j'avais déjà vécu ça. Le film à l'époque avait obtenu une aide du conseil général des Pyrénées Atlantiques (qui ne donne plus d'aides de ce type malheureusement), et la collecte effectuée à l'époque sur une plateforme concurrente avait permis de réunir un petit budget (autour de 30 000 euros) permettant de réaliser le film. Je n'avais malheureusement pas trouvé de chaine de diffusion, cependant le film a fait sa vie (une jolie vie, pour un film indépendant) dans les festivals de documentaires et BD, puis sur youtube (près de 100 000 vues, tout de même...).
Pour ce nouveau film, comme à chaque film, je repars encore à zéro. J'espère que nous trouverons une chaine, j'espère que nous bénéficierons d'une aide, mais rien n'est moins sûr. Ainsi, par exemple, un premier dossier envoyé en janvier 2020 pour une aide à l'écriture à la région Nouvelle Aquitaine vient de recevoir une réponse négative. Je dois retravailler le dossier avant de le représenter, en avril.... Si ces dates de commissions sont maintenues.
Donc voilà, cette collecte, c'est l'espoir que, au moins une partie du travail que j’investis jusqu'ici recevra une rémunération, d'une part, et d'autre part, comme je le dis dans la présentation, je veux prouver que ce sujet peut intéresser un public.
Je pense vraiment qu'écouter la voix des auteurices, c'est important, car dans la relation que nous avons avec la culture, nous ne pourrons pas éternellement nous positionner uniquement en tant que consommateurs de produits (payants ou pas, selon nos usages) sans envisager que ce travail de création, comme tout autre travail, doit permettre à celui qui le fournit d'en vivre....
J'ai choisi la plateforme Proarti pour faire cette collecte, car Proarti propose un accompagnement très intéressant pour un porteur de projet.
Proarti nous permet de fixer un seuil minimal, seuil qui nous engage, en tant que porteur de projet, à mener à bien celui-ci. Ce seuil ici est de 8000 euros. C'est à dire que : si la collecte n'atteint pas ces 8000 euros, elle sera considérée comme un échec, et tous les donateurs seront remboursés.
Cependant, si ce seuil est atteint et dépassé, c'est à dire pour tout montant entre 8001 et 22500 euros, la collecte sera tout de même considérée comme partiellement atteinte, et cet argent sera tout de même versé dans le projet.
Bien entendu, travailler avec un budget de 8000 euros ou un budget de 20 000 euros ou plus, c'est très différent: ça implique beaucoup d'adaptation et de renoncements. Exit les animations, réduction de l'équipe au strict minimum, c'est à dire, juste moi plus une personne au son, voire personne au son, (et les risques de baisse de quelité, il ne faut pas s'en cacher, hein) au lieu de 3 personnes au tournage. Moins de déplacements, moins de jours de tournage, temps plus réduit de montage, pas de monteur ou monteuse rattaché au projet, etc. Bref, des conditions de travail loin d'être fantastiques.
Donc voilà: si on atteint ce premier seuil, 8001 euros, il y aura un film, un peu cahin caha, mais un film. Si on ne l'atteint pas... Les probabilités que je continue à filmer se réduisent drastiquement, car comme tout un chacun, je dois aussi essayer de gagner ma vie, et dans le contexte actuel, et bien comment dire... Je devrai faire des choix.
Ce montant me permet de couvrir une partie du tournage, et de travailler, comme je le souhaite, avec au moins un équipier en tournage, voire deux (chef op et preneur de son), sur une dizaine de jours, en payant mon équipe au tarif journalier des grilles conventionnelles des métiers de l'audiovisuel.
Il couvre une partie des frais de transport et d'hébergement pour les déplacement prévus.
Et il couvre également: les frais de fabrication des dvds pour les donateurs, et les 8% de commission de Proarti.
S'il est dépassé? Tout apport au-delà de l'objectif sera incorporé au projet, et permettra par exemple, de donner plus de temps au montage, ou bien aux animateurs.
Tout à fait!
Proarti permet le paiement par chèque.
Il suffit pour cela de remplir un formulaire qu'il vous faut télécharger ici et d'envoyer le chèque et le formulaire imprimé à cette adresse: Proarti 14 rue Nicolet 75018 Paris.
A quoi sert l'argent collecté
Le coût d'un documentaire de 70 minutes à budget moyen tourne autour de 85 000 euros.
Nous lançons cette collecte initiale de 20 000 euros afin d’obtenir la base (indispensable) pour mener à bien les premières phases de tournage de ce film, sans perdre d'argent. Le financement demandé servira à couvrir une partie des tournages (11 jours sur les 22 jours prévus). Pour le reste, nous allons chercher des chaînes de télé, et des aides du CNC, de la région Nouvelle Aquitaine, etc. Mais tout ce circuit est long, et terriblement incertain.
Je veux prouver aux chaînes de télé qu'il y a vraiment un public dans l'attente d'un film de ce genre, et qu'elles gagneront à financer le reste. Mais si la collecte est une réussite, si elle dépasse l’objectif, elle me donnera davantage de liberté, notamment créative et éditoriale, dans la finalisation du film.
Je voudrais ainsi vraiment incorporer 4-5 séquences d’une à 2 minutes en animation, afin d’expliquer quelques concepts un peu ardus ( histoire du droit d’auteur, pourquoi les auteurs n’ont pas le même droits que les salariés, les acteurs de la chaine du livre, etc.). Le coût de ces animations peut vite monter: si la collecte est dépassée, plus d'argent ira vers ce poste, ainsi que pour un temps de montage plus confortable (8 semaines au lieu de 7).
Enfin il ne faut pas oublier que sur cette collecte, Proarti prendra une commission de 8 %.
TRES IMPORTANT: DANS LE CADRE DE NOTRE PARTENARIAT AVEC PROARTI, VOTRE DON A CE PROJET PEUT ETRE DEFISCALISE: ce que cela veut dire? Que si vous donnez 100 euros, vous pouvez, en tant que particulier, bénéficier de 66 euros de réduction d'impôts (60 euros pour une entreprise). Donc, vous voyez, aucune raison d'hésiter !!! Merci !
Objectif de collecte
17 000,00 €
Montant Global
86 500,00 €
Désignation | Montant |
---|---|
Estimation du budget de production |
|
Ecriture et développement | 4 000,00 € |
Assurance et Frais de production | 8 000,00 € |
Animations | 8 000,00 € |
Musique | 3 000,00 € |
Post-production (Montage, étalonnage, mixage) | 35 000,00 € |
Tournage (salaires équipe) : | 20 000,00 € |
Transports, repas, hébergement : | 7 000,00 € |
SOUS TOTAL | 85 000,00 € |
Fabrication et frais d'expédition des dvds pour les donateurs |
|
Fabrication et frais d'expédition pour 500 dvds | 1 500,00 € |
SOUS TOTAL | 1 500,00 € |
TOTAL |
|
TOTAL | 86 500,00 € |
Désignation | Montant |
---|---|
Plan de Financement |
|
Regards Film | 18 000,00 € |
Chaine(s) de Télé | 8 000,00 € |
ALCA Nouvelle Aquitaine | 16 000,00 € |
CNC | 22 000,00 € |
SOUS TOTAL | 64 000,00 € |
Proarti |
|
Financement participatif proarti | 17 000,00 € |
TOTAL |
|
TOTAL | 81 000,00 € |
Contreparties
Un lien pour visionner le film
pour 10,00 € et +
21 ARTINAUTES
9979 DISPONIBLES
Un grand merci pour votre soutien ! Votre nom sera cité dans les remerciements de la page facebook du film, et vous recevrez par mail un lien pour visionner le film .
SUPPORTER du projet : DVD avec BONUS
pour 25,00 € et +
35 ARTINAUTES
464 DISPONIBLES
Un grand merci pour votre soutien ! En plus de la présence de votre nom dans les remerciements de la page facebook, vous recevrez par mail un lien pour visionner le film, puis courant 2021 le DVD du film avec des bonus.
GRAND SUPPORTER SOUS LES BULLES : Les 2 films en DVD + Poster A4
pour 50,00 € et +
11 ARTINAUTES
289 DISPONIBLES
Un grand merci pour votre soutien ! Votre nom dans les remerciements de la page facebook,+ un lien pour visionner le film
+ 1 DVD de «Sous les bulles 2020, les auteurs contre attaquent» avec des BONUS (courant 2021)
+ le DVD du premier film Sous les Bulles (2013) :vous recevrez ce DVD dès la fin de la campagne.
+ Un poster du film A4 signé par les auteurs Joël Callède et Maiana Bidegain
BIENFAITEUR ECLAIRE : 4 Entrées pour une des avant-premières
pour 100,00 € et +
13 ARTINAUTES
87 DISPONIBLES
Un grand merci pour votre soutien !
+ le DVD du premier film Sous les Bulles (2013) (vous recevrez ce DVD dès la fin de la campagne)
+ 2 DVDs de «Sous les bulles 2020, les auteurs contre attaquent» avec des BONUS (courant 2021)
+ Un poster du film A4 signé par les auteurs Joël Callède et Maiana Bidegain
+ Une invitation pour 4 personnes (hors frais de transport) à une avant-première avec l'équipe du film dans la ville la plus proche de chez vous (Angouleme, Paris, Bordeaux, Bayonne, Pau)
MECENE INSPIRE : 4 DVDs SOUS LES BULLES 2020 + Votre nom au générique de fin
pour 250,00 € et +
5 ARTINAUTES
95 DISPONIBLES
Un grand merci pour votre soutien ! Votre nom dans les remerciements de la page facebook,+ un lien pour visionner le film
+ le DVD du premier film Sous les Bulles (2013). Vous recevrez ce DVD dès la fin de la campagne
+ 4 DVD de «Sous les bulles 2020, les auteurs contre attaquent» avec des BONUS
+ Un poster du film A3 signé par les auteurs Joël Callède et Maiana Bidegain
+ Une invitation pour 4 personnes (hors frais de transport) à une avant première du film la plus proche de chez vous
+ Votre nom au générique dans les remerciements du générique de fin
MECENE PARTENAIRE : votre nom au générique début et fin, et weekend dans les Landes!
pour 1 000,00 € et +
0 ARTINAUTES
Fantastique! Vous voici MÉCÈNE PARTENAIRE du projet !
- Vous apparaissez en tête et fin du générique du film,
- vous recevez 10 copies DVD du nouveau film à offrir, +10 copies de Sous les Bulles 2013
- 6 invitations à une avant-première du film (hors frais de transport).
- 2 poster du film A3 signé par les auteurs
Nous vous invitons également à passer un weekend pendant la post-production chez Maiana et Joël dans les Landes (hors frais de transport, séjour une nuit pour une ou deux personnes, 2 repas et petit-déj offerts),
ou bien à assister aux phases de mixage, ou l’étalonnage, quelques heures sur Paris (dates à définir!)
Et il y aura aussi des surprises pour les personnes appartenant à ce groupe...
Franchement, vous auriez tort de vous priver…;)