LE BARMAN DU TRANSATLANTIQUE

Donnons une carrière internationale à ce film poétique et hors normes !
AUDIOVISUEL - CINÉMA
DIFFUSION

Présentation du projet

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LE BARMAN DU TRANSATLANTIQUE, ou

Lorsqu'un cinéaste d'origine new-yorkaise filme

le regard sensible d'un géographe normand

sur le destin tourmenté de la ville et le port du Havre,

à travers souvenirs personnels et histoire collective.

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Roy Lekus, réalisateur né à New-York, travaillant en France, solicite votre soutien pour l'aider à finaliser, et lancer, LE BARMAN DU TRANSATLANTIQUE, son premier long-métrage.

C'est un film ambitieux, hors normes. Le mot qui revient le plus souvent chez les premiers spectateurs est "poétique", et même, "d'une poésie infinie" {Courriel, Laurence Jourdan, documentariste, janvier 2020.) .

Le film de Roy est adapté de La Mémoire d'un port, le Havre (Eds. Arléa, 1997/2009), récit autobiographique d’Armand Frémont, grande figure de la géographie française et auteur prolifique. Né en 1933 dans une famille populaire du Havre, Armand Frémont a soutenu le projet depuis le premier contact entre les deux hommes, il y a presque dix ans ! Il a collaboré au scénario, suivi les tournages successifs. Mais il est mort hélas le 2 mars 2019 à 86 ans, sans avoir eu le temps de voir le film terminé. (voir chroniques nécrologiques dans

Le Monde, Libération, Ouest-France).

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PETIT SYNOPSIS

Comme le livre dont il s'inspire, Le Barman du transatlantique suit les personnages de la famille de l'auteur, ouvriers, petit patron artisan, marins, femmes de marins, dans leur efforts pour progresser socialement dans une ville en perpétuelle mutation. Chacun à sa façon illustre et témoigne des différentes phases de l'histoire du Havre : prospérité des années 1920, Krach et crise des années 30, guerre, occupation et anéantissement de la ville, années de prospérité des Trente Glorieuses... Le récit se clôt dans les années '70, au moment où les paquebots de la ligne Le Havre-New York sont tués par l'augmentation du prix du pétrole et la concurrence de l'avion. Une nouvelle et longue crise s'annonce, celle de la Mondialisation. Elle va affecter la famille Frémont -- et l'occident tout entier. Au Havre, les compagnies maritimes, les marins, les officiers, les ouvriers des usines de la construction navale n'échappent pas à cette rude concurrence. Et le spectateur ressent dans ses tripes que les tourments et soubresauts du vingrtième siècle havrais sont, en réalité, ceux de la France toute entière...

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POURQUOI CE FILM ? QU'EST-CE QUI LE REND SI SINGULIER ?

Brillant élève reperé par ses professeurs de l'école primaire, Armand Frémont est le premier de sa famille à pouvoir suivre des études secondaires et supérieures. Roy Lekus a d'abord été séduit par les évocations frémontesques d'un monde disparu à jamais sous les bombes anglaises lors de la Libération de la ville par les armées alliées en 1944. Et, plus généralement, par la façon si particulière qu'a le géographe de tisser ensemble souvenirs personnels et histoire collective.

Roy a aimé le récit, et a voulu que cette voix court tout au long du film. L'histoire est par conséquent racontée -- et quelquefois jouée à l'écran -- par Michel Vuillermoz de la Comédie Française, dans le rôle d’Armand Frémont, le fils du Barman du transatlantique du titre.
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UN MÉLANGE DES GENRES DU TROISIÈME TYPE ?

Dans notre film, les prises de vues de la ville de nos jours, des archives filmées riches et diverses qui balisent les années, sont complétées par des séquences mettant en scène des marionnettes ! Celles-ci représentant une vingtaine de personnages de la famille et la ville, plus une girafe, un boa constricteur et un singe... Œuvre de l'artiste-plasticienne Françoise Jolivet, complice de Roy depuis ses premiers films, tout ce petit monde évolue, tantôt dans des maquettes imaginaires des lieux, tantôt en décors naturels. Par moments, Michel Vuillermoz semble leur insuffler vie.

L'ensemble se révèle aussi charmant que bouleversant.

Formidable ! Je n'ai jamais rien vu de la sorte !
Larry Sapadin, avocat spécialisé média, courriel du 15 mai 2020
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Sublime, riche, dense, renversant, j'ai tout aimé : la narration, la richesse des archives...
Jean-Marie Chatelier, réalisateur, Courriel, 28/01/20
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Une expérience étonnante de bout en bout.
Pierre Sorlin, historien, auteur de Sociologie du cinéma, Courriel du 5/02/20

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Allez sur les rubriques Equipe de Projet et Inspirations pour en savoir bien plus sur la genèse et la réalisation du Barman du Transatlantique, le choix des marionnettes, etc.

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Le récit du BARMAN DU TRANSATLANTIQUE réserve une place spéciale au lien affectif entre le petit-fils qui deviendra l’écrivain, et son grand-père maternel Édouard, petit entrepreneur en bâtiment sans instruction. Leur amour l’un pour l’autre, puissant, quasi-exclusif, traverse les années et le film. Petit à petit, on saisit le rôle qu'a joué Édouard Belloncle dans le choix par Armand Frémont de sa vocation de géographe :

"Un petit bijou qui pourrait tout à fait concourir pour le prochain César du meilleur documentaire".

Courriel du 15/10/2019 de Michel Vuillermoz,,

narrateur et personnage central du film.

Enthousiastes ? Nous aussi !

Par conséquent …

Il est temps de faire connaître

LE BARMAN DU TRANSATLANTIQUE

au public le plus large à travers un long métrage.

Comment allons-nous y prendre ?

Comment vont être utilisés les fonds collectés exactement ?

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1 ) Il nous faut avant tout remonter le film dans sa version définitive par l'ajout de nouveaux plans et séquences. Calendrier : automne 2020.

La version actuelle du BARMAN DU TRANSATLANTIQUE, que tous les amateurs du projet pourront voir grâce au lien qui leur sera envoyé suite à leur contribution, est trop courte (53 minutes) pour être considérée comme un film de cinéma. Pour atteindre une durée plus conforme aux usages et plus facilement commercialisable, nous voulons porter sa durée définitive à 75 minutes environ

Les scènes qui manquent à la version actuelle -- certaines avec Michel Vuillermoz à l’écran, d’autres comportant les marionnettes -- sont déjà tournées. Il nous faut à présent les monter et les articuler au récit définitif.

Cette phase nécessite deux autres opérations simultanées et complémentaires :

* Écrire et enregistrer les tous derniers textes du narrateur Michel Vuillermoz. Ils renforcent un thème, dessinent mieux un personnage, relient les séquences entre elles.

* Faire composer quelques minutes de musiques nouvelles par le musicien Marc Marder pour le nouveau montage.

La phase du remontage représente environ 10 jours de travail à deux, monteur et réalisateur dans une salle de montage, plus des interventions ponctuelles d’autres techniciens (en auditorium, par exemple).

COÛT GLOBAL PRÉVISIONNEL DE LA PHASE 1 : 11.500 EUROS

2) Tout aussi vital et urgent : créer une version anglaise sous-titrée

Celle-ci est destinée aux festivals et aux acheteurs étrangers. Elle permettra d’ouvrir au Barman du transatlantique, tous les ports … et tous les festivals de cinéma du monde.

Et des sélections en festival sont la clef pour trouver un distributeur et être diffusé dans les salles de cinéma français.

Cette opération représente environ 20 jours de repérage-minutage des titres, traduction et adaptation, maquettage et vérification.

COÛT PRÉVISIONNEL DE LA PHASE 2, La version anglaise : 4.000 Euros.

3) Gérer la production.

Il s'agit à la fois de d'organiser la phase de montage final puis le sous-titrage, d'en régler les factures, d'établir les déclarations d'embauche et les salaires.

Coût PRÉVISIONNEL DE LA PHASE 3, la gestion : 500 euros

Le budget total de ces 3 phases est de 16 000 euros.

C'est le montant pour lequel nous sollicitons vos dons.

Reportez-vous à la rubrique Budget pour plus de détails.

POST-PRODUCTION

Cependant, quand le montage de la version définitive sera terminé, les opérations de post-production resteront à faire avant de pouvoir diffuser le film :

  • montage son des nouveaux passages, raccords de mixage entre la nouvelle version et l’ancienne
  • harmoniser ("étalonner”) les couleurs et lumières des nouveaux plans integrés
  • Il faut également verser le prix d'une extension de droits de diffusion de chaque séquence d'archive aux détenteurs des droits
  • Fabriquer les supports de diffusion (DCP)

Le coût prévisionnel total de ces opérations de post-production est de 30 000 euros.

Cette somme, dont vous pouvez également voir le détail dans la rubrique BUDGET, est à part.

Elle ne fait pas partie de la collecte actuelle dans la mesure où ces opérations feront l'objet de nouvelles demandes d’aides publiques (Région, festival, CNC, etc) et / ou privées liées aux filières de production.

Nous tablons sur un film fini au premier trimestre 2021.

A quoi sert l'argent collecté

Le budget annoncé dans "Description" nous permettra de couvrir les opérations de remontage d'une version définitive et le sous-titrage.
Vos contributions sont défiscalisables : un don de 50 € vous coûtera en réalité 17 €. (66% de défiscalisation.)

100 € vous coûtera 34 €.

Si vous donnez 250 €, il vous en coûtera 85 €. 

Et ainsi de suite.


Objectif de collecte

16 200,00 €

Montant Global

46 500,00 €

Dépenses

Désignation Montant

PHASE DE REMONTAGE

Enregistrement : comédien, technicien son, auditorium enregistrement 1 500,00 €
Location salle et matériel de montage AVID, 10 jours 1 200,00 €
Salaires+C.S., Réalisateur+monteur, 10 jrs 7 000,00 €
Droits d'auteur musicien 2 000,00 €
SOUS TOTAL 11 700,00 €

OPERATIONS DE POSTPRODUCTION

Raccords de mixage sonore 5 500,00 €
DCP (supports de diffusion) 1 000,00 €
Etalonnage image 3 800,00 €
Droits de diffusion archives 20 000,00 €
SOUS TOTAL 30 300,00 €

SOUS TITRAGE EN ANGLAIS

Repèrage, traduction, adaptation, incrustation 4 000,00 €
SOUS TOTAL 4 000,00 €

ADMINISTRATION ET COMPTABILITE PRODUCTION

Administration et comptabilité Production 500,00 €
SOUS TOTAL 500,00 €

TOTAL

TOTAL 46 500,00 €

Recettes

Désignation Montant

Aides à la postproduction

Aides régions, CNC, festivals, grands mécènes 30 300,00 €
SOUS TOTAL 30 300,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 16 200,00 €

TOTAL

TOTAL 46 500,00 €

Inspirations, 1 – UN AUTEUR, UNE VILLE, UN RÉALISATEUR

par Roy Lekus

J'ai été touché par le livre d'Armand Frémont, La Mémoire d'un port, Le Havre dès mon arrivée en Normandie en 1999. Il venait de paraître. J'y ai trouvé, inséparables, tout à la fois de beaux personnages vus sur la longue durée et l'admirable évocation d'une ville.

Je suis né au Havre. Aussi loin que je puise dans ma mémoire, je rencontre la mer, des navires, des arrivées et des départs, des horizons qui se dérobent à l’infini des regards. J’ai parcouru cent fois, mais ma mémoire ne s’en lasse pas, l’itinéraire de l’accueil, depuis le moment où la silhouette du bateau familier se profile à l’horizon jusqu’à l’instant où la lourde masse s’immobilise le long du quai et que les sourires éclatent sur les visages de ceux qui se retrouvent.

Ouverture de Mémoire d'un port Armand Frémont, 1997

Il est vrai qu'Armand Frémont, mort il y a tout juste un an sans avoir vu le film fini, a écrit que “La géographie est une science, elle est aussi sensible."

J'ai imaginé un film où des travellings spectaculaires sur la mer, la ville, le port, les industries qui meurent ou renaissent, le ciel constamment changeant, les habitants et leurs activités, quotidiennes comme exceptionnelles, dramatiques comme festives, porteraient ce texte où la nostalgie n'occulte jamais les luttes de tout un chacun pour survivre et progresser.

Un film de présence-absence entre une ville disparue à jamais sous les bombardements et les mots qui la feraient revivre.

2 – La richesse des archives …

Les archives ont été l’autre point de départ du film. Il y eut d’abord ma découverte médusée d’un plan de 1911 montrant une vache terrorisée voltigeant, par la grâce d’une grue, du quai au pont d’un navire dans une archive de la Gaumont.

Sans omettre Table Rase, le documentaire de Christian Zarifian de 1988 sur la destruction du Havre par les bombardements de septembre 1944. Grâce aux témoignages de ce film, j’ai pour la première fois « tout » su d’une histoire dont j’ignorais tout : que les bombardements étaient le fait des Alliés et non de l’armée allemande …

3 - Il manquait pourtant un dernier ingrédient du livre, plus problèmatique à traiter : celui des passages mettant en scène des personnages de la famille de l’auteur ou ceux de la ville d’alors.

Comment les traduire ? Les reconstituer dans des saynètes rapides, tout juste esquissées par des comédiens-silhouettes dans des décors réels ? A mon goût, trop vues, trop banales, peu crédibles.

C’est pourquoi Françoise Jolivet, sculpteur et plasticienne, ma complice sur de nombreux films, a proposé que ces scènes soient portées par des marionnettes inspirées de photographies des vrais personnages, évoluant dans des décors naturels, ou dans d’autres -- boutique, appartement, quai, navire, etc. -- évocateurs des lieux.

Àprès 52 minutes d’intimité avec Nenette et toute la famille Frémont, on a l’impression de tout connaître sur elle comme si c’était la nôtre.”

Poésie infinie. Émotion profonde.”

Entretien avec Françoise Jolivet,

Directrice artistique et créatrice des marionnettes


Comment t’est venue l’idée de créer et d’utiliser des marionnettes pour certaines séquences du film ?

C’est tellement désespérant le cinéma, de ne pas arriver à faire un film parce que la fabrication coûte trop cher ! Dans le scénario, il y avait un certain nombre de séquences jouées par des comédiens dans des décors d’époque, ce n’était pas envisageable. II fallait trouver une astuce. Il fallait que Roy fasse ce film.

Alors j’ai repensé à une œuvre du sculpteur Alexandre Calder, le « Cirque Calder » : des animaux et des clowns, toutes sortes de personnages en fil de fer : c’est un cirque en tout petit, animé par les gros doigts de Calder !

À partir de là, la façon de raconter l’histoire, les petits personnages, tout était flou mais c’est venu comme ça.

Dans le film, nous mettons plutôt en avant l’idée du narrateur qui aide son histoire à prendre forme en manipulant ces toutes petites choses. Les marionnettes font entre 15 et 20 centimètres de haut.

Ça marche super bien ! Dès que Michel Vuillermoz dans le rôle d’Armand Frémont les manipule, on a vraiment l’impression qu’il les a faites et qu’il s’en sert pour réactiver sa mémoire.

Que représentent les marionnettes ?

Il existe très peu d’archives familiales de la famille Frémont. C’était donc une manière de recréer le monde qu’il décrit longuement dans son livre, celui des années 30/40/50.

Mes marionnettes sont intemporelles. Elles font spontanément penser à des objets de l’art populaire. Que les mouvements des personnages soient si maladroits n’a pas d’importance, au contraire, puisque cette facture « primitive » fait partie du charme de l’enfance.

Tes personnages évoquent l’enfance ?

Ce que j’ai fait n’est pas enfantin, mais ça évoque forcément le plaisir des souvenirs de l’enfance. Il y a quelque chose de ce plaisir là.

Comment as-tu travaillé ?

Je connais bien le livre depuis longtemps, j’ai connu Armand Frémont pendant les dernières années de sa vie. J’avais des photos, il y avait toute cette ambiance, j’avais l’impression de connaître les personnages eux-mêmes. Apres j’ai cherché dans les costumes, les objets de l’époque, les motifs de tissus d'alors, tout ce qui pouvait correspondre à ce milieu social.

Le matériau est une sorte de terre qui sèche à l’air et à la chaleur.

Je fais du modelage avec des ajouts successifs, je les fais sécher sur le poêle, il y a du retrait, du ponçage. J’en travaille 2/3 à la fois, ça sèche, je reviens dessus.

Les changements d’échelle

Elles font même pas vingt centimètres de haut, c’est vraiment tout petit. C’était formidable, lors de a première projection du court-métrage, au Havre, de les voir sur un grand écran de dix mètres de base ! Elles avaient soudain quatre ou cinq mètres de haut et ça fonctionne parfaitement.

4 – Le narrateur, Michel Vuillermoz

Nous avons choisi Michel Vuillermoz pour sa voix et sa diction ni trop “populaires”, ni trop “intellectuelle”, tout comme l'était la voix d'Armand Frémont. Narrateur en voix off, interprète du texte de Frémont, Michel devient le manipulateur de marionnettes d’où naissent les souvenirs qu’il nous raconte…
(Si vous ne l'avez pas encore fait, allez le regarder sur la bande-annonce dans l'onglet Description)

Biographie, rôles au théatre et filmographie de Michel Vuillermoz.

Inspirations, 2 - Armand Frémont (1933 – 2019), quelques repères (par Roy Lekus)

Je ne soupçonnais pas l'ampleur du travail de géographe d’Armand Frémont en entreprenant cette adaptation et film. Je ne connaissais sa vie qu’à travers ce qu’il en dit dans La Mémoire d’un port, son livre le plus personnel.

Né dans un milieu modeste de la ville portuaire normande du Havre, Frémont a été le premier de sa famille à poursuivre des études secondaires et supérieures. À partir des années 60, il devient enseignant et contribue au renouvellement de la géographie française, tout en se révèlant un auteur prolifique (Paysans de Normandie, Portrait de la France, Aimez-vous la géographie ? etc.). Ancien élève de l'École normale supérieure de Saint-Cloud, agrégé de géographie, docteur ès lettres et ès sciences humaines, recteur des académies de Grenoble (1985-1989), et de Versailles (1991-1997), il est surtout connu pour être à l'origine du concept d'« espace vécu » en géographie, dans son ouvrage de 1976, La région, espace vécu.

Mon propos dans ce film n'est évidemment pas de décrire l’influence intellectuelle d’un homme sur un domaine de la pensée française. Je ne suis certainement pas la personne la mieux placée pour le faire.

“La ville ne peut se comprendre sans cette perception personnelle, sans ces centaines de milliers de perceptions qui ont fait la ville autant que les architectes, et qui, en retour, doivent tant à la ville qui s’est façonnée ou refaçonnée en même temps que nos propres vies. Ainsi, je reste fidèle au cœur familial et familier de la place des Gobelins, mais je m’en détache aussi peu à peu, pour réorienter ma ville et, déjà, m’en échapper, sur le centre nouveau de la place Thiers où se croisent ceux que je connais et ceux qui me sont inconnus, le présent et les lendemains, ici et ailleurs.”

ARMAND FRÉMONT, Conclusion, La Mémoire d’un port

Un colloque sera consacré à la pensée et à l’action d’Armand Frémont à la faculté de Caen du 15 au 17 mai 2021, ce qui permettra à celles et ceux d’entre vous qui habitent la région d’en découvrir davantage sur lui. https://colloquefremont.sciencesconf.org/resource/page/id/1

"Le Barman du transatlantique" y sera projeté.

En savoir plus sur Armand Frémont :
Biographie complète et bibliographie :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Armand_Fr%C3%A9mont
Interview France-Culture : https://www.franceculture.fr/emissions/la-fabrique-de-lhistoire/histoire-de-la-geographie-14

Chroniques nécrologiques :

Le Monde

Libération

Ouest-France

Contreparties

T'as voulu voir Le Havre !

pour 25,00 € et +

5 ARTINAUTES

Chaque contributeur reçoit le lien lui permettant de visionner la version courte du film avant le remontage en long-métrage.

Chaque contributeur ou contributrice sera invité(e) à l'une des deux journées de visite de l'atelier de fabrication des marionnettes et des décors !

Une trace sur le sable.

pour 50,00 € et +

15 ARTINAUTES

Les contreparties précédentes ,vous serez remercié comme "mécène" dans le générique de fin de la version longue et vous recevrez le dvd.

Embarquement immédiat !

pour 100,00 € et +

10 ARTINAUTES

Toutes les contreparties précédentes plus l'affiche du film au format cinéma.

Au générique !

pour 250,00 € et +

12 ARTINAUTES

Toutes les contreparties précédentes plus votre nom au générique de début et une invitation pour deux personnes à une avant-première.

Tête d'affiche...

pour 500,00 € et +

3 ARTINAUTES

Toutes les contreparties précédentes plus participation à une séance de post-production du film (montage, mixage, enregistrement.