Le triangle magique : Scotti, Andersson et Ben Barek.
François Missen et Mario Albano parlent de Gunnar Andersson
Gunnar au bar et au billard
3 des derniers amis de Gunnar
François Missen et Mourad Aerts parlent de Gunnar Andersson
Des plus grands buteurs de l'OM, Gunnar était le meilleur
Gunnar à l'OM 1954
Gunnar en fin de vie
Gunnar
Gunnar
Marseille à la Vie à la Mort
Par: Comalipa Productions
Collecte Réussie
| AUDIOVISUEL - CINÉMA
| PRODUCTION, DIFFUSION
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17 524,00 € demandés
Soutiennent
Recommandent
Suivent
ou en Belgique
(version beta).
Présentation du projet
Gunnar ANDERSSON, 220 matches, 194 buts sous le maillot blanc
A Marseille, toute la communauté olympienne a entendu parler de Gunnar. Tout le monde sait qu’il s’agit du meilleur buteur de l’histoire du club (1950-58) et qu’il a, hélas, fini dans un caniveau un après-midi de l’automne 1969. Tout monde a l’image d'un personnage qui s'est intégré à l'identité phocéenne malgré une trajectoire ponctuée d’événements rocambolesques. Cependant, peu savent que Gunnar aimait Marseille à en mourir et que cette ville lui a fait tourner la tête.
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Un mythe fait de chair et d'os
Derrière le mythe Andersson, on oublie souvent qu'il y avait un Gunnar joyeux et dépressif, mari et père aimant qui a subi certaines violences de la vie. C’est cette complexité profondément humaine que nous souhaitons mettre en lumière dans ce film car même si elle est forcément singulière, l’histoire de Gunnar Andersson a quelque chose d’universel qui révèle certains aspects profonds de notre ville et de sa relation avec sa famille.
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C'est pour cela que nous avons voulu nous emparer du sujet Gunnar Andersson. Comment expliquer que son histoire soit si méconnue et altérée ? Il est essentiel de pouvoir finir ce film afin de pouvoir montrer à tous le talent mais aussi l'humanité de ce suédois qui, à son arrivée à Marseille, ne buvait que du lait.
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Pourquoi a-t-on besoin de toi ?
Étant dans le sprint final pour la réalisation de ce projet, on a besoin de toi "Ô Olympien, Ô amoureux de Marseille" pour que tu m'aides à faire connaître la légende de Gunnar Andersson à Marseille, en Provence, en France et dans le monde entier.
Entre la finalisation du film et l'achat des archives, un documentaire coûte cher. Le film est à 100% autoproduit, réalisé avec nos fonds propres mais c'est maintenant que nous avons besoin de toute la communauté olympienne ! Qui voudrait voir un film sur un buteur des années 1950 sans y voir un seul but ? Les archives sont rares mais existent. Elles sont tout de même onéreuses mais sont essentielles pour faire vivre cette époque d'un football révolu.
Plus nous recolterons de fond, plus l'immersion dans cette période sera réussie !
Surtout que ta participation est défiscalisée ! C'est à dire que 66% de la somme versée te reviendra sous forme d'avoir sur tes impôts de l'année prochaine ! C'est un peu comme si tu décidais de ce que l'on peut faire avec une partie de l'argent que tu reverses à l'Etat chaque année... Et avoue que mettre à l'honneur le meilleur buteur de l'OM, un suédois qui a plus marqué en France qu'Ibrahimovic, c'est tentant !
Le film sera prêt au premier trimestre 2021. Une avant-première sera organisée à Marseille. Si tu veux faire partie de l'aventure, on t'attend et on te remercie par avance.
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L'équipe du film,
Benjamin Potet - Réalisateur, auteur, producteur
François Missen - Auteur
Mathias Langlois - Producteur
Marine Sahakian - Images
Andry Sik - Montage
A quoi sert l'argent collecté
Un film, bien qu'il soit documentaire, coûte cher, surtout quand il retrace une histoire passée.
C'est bien pour cela que nous avons besoin de vous car sans argent, nous ne pourrons pas terminer le film !
L'une des motivations de ce projet était le défi des archives. Il y a quelques années, une société de production marseillaise avait refuser de faire le portrait de Gunnar Andersson parce qu'il existait trop peu d'archives, ça faisait trop longtemps.
Cependant, en cherchant bien, nous avons retrouvé buts et interviews, matchs, blessures ou moments d'allégresse. Ces images doivent être montrées pour prouver à Marseille, à la France et au Monde entier le talent de Gunnar Andersson. L'achat de droit d'archives représente le poste de dépenses principal (9 500 euros). Mais elle sont essentielles pour faire vivre une véritable imersion dans ces années 1950 et 60.
Viennent ensuite une série de dépenses nécessaires pour la finalisation du film (rémunération des techniciens, musique : 3 500 euros), réalisation de supports de diffusion (1 000 euros), enfin le coût de lancement du film (marketing, dotations, projections : 2 000 euros) et la commission de Proarti (1524 euros).
Objectif de collecte
17 524,00 €
Montant Global
17 524,00 €
| Désignation | Montant |
|---|---|
Achat de droit d'utilisation d'archives |
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| Presse locale - Photos/articles | 1 000,00 € |
| AFP - Photos | 1 000,00 € |
| INA - Images filmées | 7 500,00 € |
| SOUS TOTAL | 9 500,00 € |
Montage et post-production |
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| Musiques du film | 500,00 € |
| Edition et mixage son | 1 000,00 € |
| Montage | 1 500,00 € |
| Art graphique | 500,00 € |
| SOUS TOTAL | 3 500,00 € |
Supports de diffusion |
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| DCP | 500,00 € |
| DVD | 500,00 € |
| SOUS TOTAL | 1 000,00 € |
Coût du financement participatif |
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| Marketing | 500,00 € |
| Lancement et diffusion | 500,00 € |
| Dotations diverses | 1 000,00 € |
| Comission Proarti | 1 524,00 € |
| SOUS TOTAL | 3 524,00 € |
TOTAL |
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| TOTAL | 17 524,00 € |
| Désignation | Montant |
|---|---|
Proarti |
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| Financement participatif proarti | 17 524,00 € |
TOTAL |
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| TOTAL | 17 524,00 € |
L’idée du film est née il y a environ 5 ans. Benjamin, le réalisateur, résidant alors au Brésil tombe sur un article paru dans SoFoot qui dresse le portrait de Gunnar Andersson. Benjamin, mouton noir d’une famille qui n’est pas vraiment « ballon rond » trouve dans la trajectoire tragique de Gunnar Andersson, une parfaite allégorie à la ville de Marseille et à l’esprit marseillais.
Quelques années plus tard, de retour dans sa ville de cœur, il en parle à Mathias, son ami devenu producteur audiovisuel. Ils développerons alors le projet grâce aux bonnes indications d’un des gardiens du temple de l’histoire du club blanc et bleu qui nous présentera François Missen, Prix Pullitzer et Albert Londres 1974, grand journaliste du Provençal, plus connu pour ses récits sur la French Connection que son amitié tardive avec le meilleur buteur de l’Histoire olympienne.
Nous tombons tous d’accord, cette histoire doit être racontée mais il n’y a pas de temps à perdre. Les derniers témoins oculaires des exploits de Gunnar se font de plus en plus âgés. Des mots aux actes, nous commençons fin 2018 à tourner un film qui nous emmena au quatre coins de Marseille, en Corse, en Ile-de-France et biensûr en Suède.
Suivez l'actualité du projet !
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Fabrice Lamperti vient de publier un article sur le plus gros quotidien régional du Sud-Est ainsi que sur leur site web.
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Afficher pour pouvoir diffuser le projet et que olympiens et marseillais puissent partciper
Car les affiches vont refleurir dans Marseille et parce qu'on a besoin de toute la communauté olympienne ! Petite vidéo qui explique rapidement pourquoi on compte sur vous.
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Merci Christophe Casanova pour cette presque pleine page dans La Marseillaise du 19 septembre 2020 !
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OM - Saint Etienne, une rivalité historique qui donna lieu à l'un des matchs les plus fou que le Championnat de France ait connu. Le 17 mar 1957, un Gunnar Andersson sur le déclin battait un Rachid Mekloufi en pleine apogée. Pour montrer ces images, nous avons besoin de vous !
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Avant le lancement officiel de la campagne de crow-funding, des affiches représentant Gunnar Andersson, le meilleur buteur de l'histoire de l'OM sur les murs de Marseille. A très vite dans la rue !
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Commentaires
il y a 2 ans
Bonjour , ou en est le projet du Film/Documentaire sur Gunnar ? Cordialement