Par: UME THEATRE
Collecte Réussie
| ARTS DE LA SCÈNE
| DIFFUSION
| ENVIRONNEMENT, CRÉATION ÉMERGENTE
8 500,00 € demandés
Soutiennent
Recommandent
Suivent
Présentation du projet
Pour ceux qui ne nous connaissent pas encore (ou pas clairement !), nous sommes une compagnie de théâtre appelée Ume Théâtre et installée à Dijon.
Nous créons donc régulièrement des spectacles que nous tournons ensuite dans toute la France et en particulier en Bourgogne Franche-Comté, vu que c’est notre région. C’est une compagnie professionnelle, subventionnée sur certains projets, repérée et soutenue par certaines institutions.
Tout le mois de Juillet se déroule un festival de théâtre assez fou : Le Festival d’Avignon. C’est fou parce que tout s’y croise, le pire comme le meilleur, et parce que s’y concentre beaucoup, beaucoup de monde : professionnels comme spectateurs.
D’années en années, ce festival est devenu incontournable pour bon nombre de compagnies : il permet de « tenter sa chance » et d’être VUS :
- Être vu par des possibles « programmateurs », comme nous les appelons dans le métier, c’est-à-dire des personnes venues de toute la France (et même parfois de l’étranger) pour sélectionner des spectacles qui seront ensuite « programmés » dans les théâtres où ces personnes travaillent.
- Être vu par des journalistes... et on sait l’importance de la médiatisation !!!!
[ Pour exemple voici les articles que nous avons eus lors de notre précédent passage à Avignon ] :
ARTICLES DE PRESSE
- Sceneweb / Par Caroline Châtelet / 13 juillet 2021
- L’Art Vues / Par Luis Armengol / 16 juillet 2021
- Tours et Cultures / Par Eimelle Marie-Laure / 24 juillet 2021
- Pianopanier / Marie-Hélène Guérin / 6 août 2021
- Blogjmpblog / Par Jean-Michel Potiron / 5 octobre 2021
- Manifesto-21 / Par Léa Simonnet / 22 novembre 2021
- Et finalement, être vu par le plus grand nombre, quel que soit leur fonction parce que c’est le sens de notre métier.
Alors, pour la seconde fois, nous avons décidé de nous replonger dans « l’expérience avignonnaise » avec notre dernier spectacle « croire aux fauves ».
Une seconde fois car ce spectacle a fait sa toute première représentation dans l’édition 2021 du festival d’Avignon. ( ici photo d'archive de l'édition 2021, Photomontage Michael Santos)
Encouragés par l’enthousiasme du public que nous rencontrons depuis bientôt 2 ans, par l’émotion que génère ce spectacle / ce texte / cette histoire incroyable ( pour en savoir plus : lien vers le site de la compagnie et vous pouvez aussi aller voir l'onglet "inspiration"), nous avons décidé de présenter « croire aux fauves » pour la prochaine édition, c’est-à-dire en Juillet 2023.
ici le lien vers le programme :
https://www.festivaloffavignon.com/programme/2023/croire-aux-fauves-s34065/
Mais pour réaliser ce projet, nous avons besoin d’un coup de pouce financier. En effet, décider de jouer au Festival d’Avignon engendre beaucoup de frais, d’où notre appel !
Un grand merci d’avance pour votre soutien, n’oubliez pas que c’est défiscalisable à 66% et que vous pouvez profiter de « contreparties » (strictement réglementées par la loi forcément, mais profitez-en quand-même !)
A bientôt !
Toute l’équipe de « croire aux fauves »
A quoi sert l'argent collecté
Vous pouvez voir dans le budget ci-dessous qu’il y a beaucoup de frais pour emmener un spectacle à Avignon : la location du théâtre où nous allons jouer, l’inscription au Festival, le logement pour tout le mois de Juillet, les salaires de toutes les personnes travaillant sur le spectacle (artistes mais aussi techniciens, administrateurs, graphistes, attaché de presse etc...), l’impression des affiches et des tracts nécessaires pour la publicité, les frais de déplacement, les frais de repas, les droits d’auteurs…
Notre collecte permet de participer à tous ces frais que nous avons tenté de réduire au minimum. Le principe des collectes est que chaque don rend le projet réalisable, même les petits, c'est la participation qui compte! Et au-delà de l'aspect financier, c'est un soutien qui nous donne du courage, de la force et de la joie! Mille mercis d'être là pour rendre ce projet possible!!!
Objectif de collecte
8 500,00 €
Montant Global
26 120,00 €
Désignation | Montant |
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Autres charges |
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Salaires | 10 000,00 € |
Droits d'auteurs | 1 000,00 € |
SOUS TOTAL | 11 000,00 € |
Hébergement |
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Location Maison | 3 800,00 € |
SOUS TOTAL | 3 800,00 € |
Déplacements - Transport Matériel |
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3 véhicules A/R Dijon-Avignon | 800,00 € |
SOUS TOTAL | 800,00 € |
Prestation de services |
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Publicité ( Impressions affiches et tracts) | 500,00 € |
Inscription festival AFC | 340,00 € |
Participation location Théâtre ( Présence Pasteur) | 9 000,00 € |
SOUS TOTAL | 9 840,00 € |
POURCENTAGE PROARTI |
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8% | 680,00 € |
SOUS TOTAL | 680,00 € |
TOTAL |
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TOTAL | 26 120,00 € |
Désignation | Montant |
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Billetterie |
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recette d'entrées | 7 120,00 € |
SOUS TOTAL | 7 120,00 € |
Fonds propres |
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Fond de trésorerie | 10 500,00 € |
SOUS TOTAL | 10 500,00 € |
Proarti |
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Financement participatif proarti | 8 500,00 € |
TOTAL |
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TOTAL | 26 120,00 € |
Quelques articles sur la compagnie et les 1ers pas du spectacle, suivi d’extraits de la presse autour du livre :
Extraits de presse du livre
"croire aux fauves":
« Attaquée par un plantigrade aux confins de la Sibérie, Nastassja Martin en tire une réflexion sur la rencontre entre humain et non-humain. »
Marie-Hélène Fraïssé, Le Monde des Livres
« À l’heure de l’extrême urgence environnementale, Nastassja Martin rappelle nos liens et nos responsabilités envers le non-humain dans un livre-manifeste habité et salutaire.
Un récit évanescent, poétique et politique. »
Léonard Billot, Les Inrockuptibles
« Une plongée dans la pensée vive d’une anthropologue qui a du caractère. »
Virginie Bloch-Lainé, Libération
« Croire aux fauves est le récit, intense, déroutant, d’une renaissance. Une œuvre où il est aussi question de la quête qui a conduit une jeune anthropologue à partir à la rencontre des peuples indigènes du Grand Nord. »
Weronika Zarachowicz, Télérama
LE MONDE DIPLOMATIQUE
Livres du mois - Décembre 2019
Par Philippe Descamps
Dans la gueule de l’ours. Ce n’est pas une métaphore géopolitique, mais la situation concrète qu’a vécue Nastassja Martin dans une forêt du Kamtchatka (Russie), en août 2015, après s’être éloignée du village indigène où elle vivait. Un coup de piolet fit lâcher prise au fauve et mit fin à la rencontre. L’anthropologue doit sa survie au dispensaire d’une base secrète de l’armée russe. Après de longs mois de soins en France, elle décide de repartir dans ces forêts glacées d’Extrême-Orient, se rappelant les propos de Daria, l’Évène qui avait choisi de remonter sur son traîneau après l’effondrement de l’Union soviétique : « Un jour, la lumière s’est éteinte et les esprits sont revenus. » Lorsque grandit l’impression de ne plus avoir prise sur rien, il y a urgence à sortir de l’aliénation que produit notre civilisation, juge l’auteure : « C’est que pour rêver, il faut être déplacé. » Ce récit haletant nourri d’introspection repositionne l’anthropologie non comme une science de l’autre, mais comme une philosophie d’un genre humain qui court au désastre. « La mélancolie qui s’exprime dans mon corps vient du monde », confie Nastassja Martin, sans fermer la porte à l’inattendu.
https://www.monde-diplomatique.fr/2019/12/DESCAMPS/61070
Contreparties
Commentaires

il y a 3 mois
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