Aime comme Marquise

Festival OFF d'Avignon 2019
ARTS DE LA SCÈNE
PRODUCTION

Présentation du projet

Bonjour et merci de vous intéresser à notre projet !

LE PROJET

Emmener le spectacle AIME COMME MARQUISE au Festival OFF d'Avignon 2019.

Nous serons à l'Espace Roseau Teinturiers à 10h du matin, tous les jours du 5 au 28 juillet !

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QUI SOMMES-NOUS ?

Le Jeu du Hasard est une compagnie de théâtre prônant un théâtre pluridisciplinaire ouvert à tous. Elle se crée autour d’un projet à la fois intime et historique, porteur d’un devoir de mémoire nationale et du plaisir de l’hommage familial : Foutue Guerre, de Philippe Froget. Après deux Festivals Off d’Avignon, ce spectacle, labellisé par la Mission du Centenaire de la Première Guerre mondiale, et soutenu par la Fondation d’anciens combattants CARAC est toujours en tournée.

Aujourd'hui, notre compagnie se lance dans une nouvelle aventure, dans un registre totalement différent : Aime comme Marquise, de l'auteur Philippe Froget également. Une création artistique mêlant enquête policière, passion et Histoire. Pour en savoir plus, poursuivez la lecture !

Site de notre compagnie LE JEU DU HASARD

Facebook de notre compagnie LE JEU DU HASARD

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Une pièce de Philippe Froget
Mise en scène : Chloé Froget
, avec la complicité de Louiza Bentoumi
Interprètes : Aurélie Noblesse, Christophe Charrier, Xavier Girard, Chloé Froget
Lumières : Damien Peray
Costumes : Viollaine de Merteuil
Musiques originales : Christophe Charrier
Scénographie : Chloé Froget
Création décors : Jean-Yves Perruchon
Copyright Affiche : LuLu Inthesky
Copyright Photos : Jean Bernard Vincens


LE RÉSUMÉ DU SPECTACLE

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Découvrez l'incroyable destin de Thérèse du Parc, dite Marquise, comédienne de la troupe de Molière.

Paris, 1668 - Théâtre de l'Hôtel de Bourgogne.
Marquise se prépare à jouer Andromaque de Racine, lorsque le Lieutenant Général de la police entre dans sa loge pour l'interroger, sur ordre du Roi...

Dès lors, cette enquête nous dévoile l'extraordinaire parcours de cette fille du peuple qui a fasciné les hommes les plus illustres de son temps : Molière, Corneille, Racine, La Fontaine, D'Artagnan ou encore Louis XIV !

Un texte hybride, en alexandrins et en prose, nous entrainant de Pézenas à Rouen, puis du Louvre au Château de Vaux-Le-Vicomte, et l'interrogatoire de Marquise se poursuit...

« Corneille : Cette jeune femme est vraiment incomparable !
Molière : Incomparable en effet, autant qu'ingérable ! »


Qui, mieux que Marquise, pouvait répondre à cette question qui alimente toujours les discussions :

Corneille a-t-il écrit les pièces de Molière ?


LA BANDE ANNONCE DU SPECTACLE


LE MOT DE L'AUTEUR : PHILIPPE FROGET

" J'avais envie d'écrire sur les petites gens aux grands destins, ces hommes ou ces femmes qui, partis de rien, se hissent au plus haut niveau de la société, grâce à leurs talents, leur charisme ou leur culot.

J'avais envie d'écrire un texte en alexandrins, j'aime leur musique, leur rythme lancinant, leurs rimes attendues, leur noblesse.

J'avais envie d'écrire une nouvelle pièce de théâtre, cet art vivant sans cesse renouvelé, par les relations qu'il crée, entre l'auteur et les comédiens, entre les comédiens et le public, entre l'auteur et le public.

Raconter la vie de Marquise, c'était réunir tous ces éléments à travers le vrai destin d'une jeune femme sidérante. Je remercie Marquise de m'avoir permis de réaliser mes envies. "



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LE MOT DU METTEUR EN SCÈNE : CHLOÉ FROGET

"C’est une chance folle. La chance de raconter l’histoire de ces hommes, plus illustres les uns que les autres, qui ont forgé l’Histoire de France, de notre patrimoine littéraire et de notre héritage culturel. La chance de raconter cette histoire à travers les yeux… d’une femme, et quelle femme !

Aime comme Marquise a cela d’extraordinaire qu’il nous met, à la fois, face à une époque captivante, à un destin inattendu et à un questionnement déconcertant. J’aime la pluralité de lectures qu’offre cette pièce.

Chacun est libre de s’attacher à ce qui le passionne, l’intrigue ou l’émeut le plus.

Moderniser un langage aujourd’hui désuet, s’interroger sur la paternité d’œuvres mondialement connues, dépeindre un siècle fastueux avec deux morceaux de bois et trois bouts de tissus : c’est un vrai challenge ! J’aime les challenges. Ils me font peur autant qu’ils m’attirent.

Comme les personnages de ce récit, qui ont foulé les planches d’un « illustre théâtre », mon intention première est de conter une histoire. Leur histoire. Comme à un enfant qu’on a envie d’émerveiller."

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A quoi sert l'argent collecté

LE BUT DE CETTE DEMANDE DE MÉCÉNAT

Comme chacun le sait, le Festival d'Avignon est un gros challenge pour une compagnie comme la nôtre. Aujourd'hui pour porter ce projet au grand jour, nous avons besoin de votre soutien. Toute participation, même minime, sera un coup de pouce (et de boost) inestimable pour assumer les très nombreux frais du Festival.


CE QUE LA COMPAGNIE A DÉJÀ PAYÉ :
 
- la création du spectacle (décors, costumes, accessoires, salle de répétitions, technicien pour la création lumière, compositeur pour la création musicale...),
- la création des documents de diffusion du spectacle (illustration et graphisme de l'affiche, réalisation de photos, dossier artistique, dossier pédagogique, démarches téléphoniques, emails, envois postaux...)
- l'adaptation de notre décor pour Avignon (réalisation d'éléments plus légers et compacts)

POURQUOI EST-CE QU'ON VOUS SOLLICITE ?

- les salaires durant le Festival d'Avignon et les charges et cotisations inhérentes (comédiens, technicien, habilleuse, metteur en scène, auteur, diffusion...),
- les premiers frais avignonnais (location du théâtre, location du logement, trajets de l'équipe artistique et technique, location du matériel technique, adhésion au journal du OFF...)
- les éléments de communication (édition de tracts, d'affiches, de dossiers...)

ESPÉRONS-NOUS, VRAIMENT, COLLECTER UNE SI GROSSE SOMME D'ARGENT ?

Évidemment ! Ce serait le rêve absolu ! Et il n'est pas interdit de rêver...

De manière plus réaliste, notre campagne de mécénat comporte des paliers, que nous espérons atteindre. En dessous de 5.000,00 euros, nous ne validons pas notre campagne de mécenat... 


En prenant part à notre aventure artistique, vous nous offrez UN SOUTIEN INCROYABLE ET UNE PRÉCIEUSE CONFIANCE.

Grâce à la plateforme Proarti, chacun de vos dons est défiscalisé à hauteur de 66% (pour les particuliers) et de 60% (pour les entreprises). Cela signifie que lorsque vous faites un don à hauteur de :

- 15 euros au spectacle Aime comme Marquise, il ne vous coûtera finalement que 5,10 euros,

- 50 euros au spectacle Aime comme Marquise, il ne vous coûtera finalement que 17 euros,

- 300 euros au spectacle Aime comme Marquise, il ne vous coûtera finalement que 102 euros...

Si, par miracle, la somme espérée était dépassée, le bénéfice nous permettrait d'envisager l'exploitation de notre spectacle au Festival d'Avignon plus sereinement, et nous vous en serions très très reconnaissants !!!


Objectif de collecte

6 600,00 €

Montant Global

45 000,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Matériel technique

Fournitures spectacle 360,00 €
Location de projecteurs 1 000,00 €
SOUS TOTAL 1 360,00 €

Communication

Journal OFF, Journal SNES... 450,00 €
Affiche, tracts, t-shirt... 500,00 €
SOUS TOTAL 950,00 €

Transport Paris-Avignon

Décor 400,00 €
Équipe 500,00 €
SOUS TOTAL 900,00 €

Logement et Défraiments

Défraiement 2 500,00 €
Logement 4 000,00 €
SOUS TOTAL 6 500,00 €

Théâtre

Location théâtre 14 500,00 €
Billetterie 300,00 €
SOUS TOTAL 14 800,00 €

Salaires et charges

Artistes, technicien, habilleuse 16 290,00 €
SACD, metteur en scène 1 200,00 €
Diffusion 3 000,00 €
SOUS TOTAL 20 490,00 €

TOTAL

TOTAL 45 000,00 €

Recettes

Désignation Montant

Billetterie

Recettes espérées 15 000,00 €
SOUS TOTAL 15 000,00 €

Fonds de soutien

AFC création 4 200,00 €
SACD 4 000,00 €
FONPEPS 8 200,00 €
SOUS TOTAL 16 400,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 6 600,00 €

TOTAL

TOTAL 38 000,00 €

Un mot de la scénographe : Chloé Froget

"Une grande estrade en bois encadrée d’escaliers prend place au centre de la scène. Une coiffeuse, un paravent, un valet de nuit, une malle… nous sommes dans les coulisses. Style épuré rappelant les tréteaux d’un siècle passé.

J’aime les surprises. J’aime les décors qui se métamorphosent au gré de l’intrigue. La partie avant de l’estrade se soulève, découvrant tantôt un miroir – reflet de la mise en abyme du théâtre dans le théâtre - tantôt une bibliothèque, nous entraînant dans l’intimité d’un bureau éclairé à la bougie. Montrer ce qui, habituellement, est caché. Toutes ces transformations dynamisent l’histoire et rythment l’ensemble.

J’aime les différences de niveaux sur scène. J’aime que les temporalités se croisent, se chevauchent, se répondent et finissent par se confondre.

Les escaliers pivotent pour créer de nouveaux espaces. Des tissus sont installés par les comédiens en jeu, à la manière des théâtres éphémères. Dépeindre cette époque. Époque modeste pour certains et fastueuse pour d’autres. La raconter avec les mêmes accessoires, les mêmes matériaux. Dénominateur commun à ces deux mondes qui se rencontrent.

Le bois craque, les pas des comédiens résonnent, la lueur des chandelles vacille, les trois coups sont frappés, le spectacle peut commencer."


Un mot de la costumière : Viollaine de Merteuil

" Lorsque l’on prend le parti d’adapter une œuvre déjà située dans une époque définie, il est toujours délicat de ne pas céder à la facilité de l’exactitude historique. Il faut à la fois être original et efficient, sortir des schémas traditionnels d’une esthétique trop attendue, afin d’éveiller l’intérêt du public, tout en se mettant au service de l’œuvre et de ses messages. En réalité, il s’agit moins de faire de jolis costumes que de créer visuellement une cohérence avec le texte et entrer en connexion avec la psychologie des personnages.

C’est dans cette recherche de logique stylistique que j’ai tenté d’aborder les différents personnages de Aime comme Marquise comme autant de couleurs sur une palette d’artiste. Cette galerie de personnages d’hier pourrait tout aussi bien représenter des hommes et des femmes d’aujourd’hui, et face à tant de modernité dans l’écriture, je me suis sentie obligée de bousculer un peu les codes de l’Histoire. Néanmoins, il était impossible de m’affranchir entièrement des références vestimentaires de l’époque. Ainsi, j’ai pris le parti d’une cohésion entre l’ancien et le nouveau, en conjuguant des techniques de fabrication résolument contemporaines à des lignes générales classiques.

J’ai trouvé l’inspiration dans des systèmes de patronages japonais dont la particularité est d’aboutir, grâce à des méthodes de pliages, à des formes insolites mais néanmoins épurées, à la façon des origamis. Il y a dans cette pièce de nombreux rôles aux personnalités complexes, des situations chargées d’émotions qui révèlent des caractères aussi particuliers que variés, mais aussi une certaine volonté de modestie dans la scénographie… J’ai donc souhaité travailler sur des codes couleurs francs, des lignes fortes, des volumes amples et puissants, mais aussi sur des ouvrages plus subtils et délicats qui ne noieraient pas le récit dans une esthétique trop pompeuse."


Un mot sur la prose et les vers

«Tout ce qui n'est pas prose est vers et tout ce qui n'est point vers est prose »

Molière, Le bourgeois gentilhomme, acte II, scène IV

Aime comme Marquise, texte hybride, est à la fois rédigé en vers et en prose.

Bien qu’auteur contemporain, Philippe Froget emploie les vers pour rappeler l’époque dans laquelle se situe la pièce, où il était d’usage de manier ces lettres de noblesse, tant dans les salons de lecture que sur scène.

Les personnages de Molière, Corneille, Racine, La Reynie et La Fontaine s’expriment en vers. Ils respectent l’ensemble des règles qui en régissent l’écriture, le rythme, la rime, ou encore la longueur. L’auteur met en exergue l’érudition de ces hommes de lettre.

Il utilise en parallèle la prose pour moderniser le discours et se rapprocher d’un spectateur nourri à ce langage familier, et aux élisions, depuis le plus jeune âge.

L’alternance de ces formes de discours d’une scène à l’autre, ou encore d’une réplique à la suivante, apporte du rythme à la pièce. Cette alternance cadre, à la fois, un langage qui peut souvent s’accompagner de scories malheureuses, tout en dynamisant les rimes lancinantes de la versification.

Philippe Froget fait aussi passer ses idées en opérant un changement de style de langage pour le personnage de Marquise. Jeune, elle s’exprime en prose, mais plus les années passent, plus elle côtoie d’illustres personnages et finit par converser, à son tour, en vers ; marque de son évolution sociale et de sa réussite. La versification et la prose ayant été très différentes selon l’époque, le contexte et la langue, Philippe Froget se permet quelques libertés, entrechoquant ces styles et confrontant les siècles à loisir. Ce faisant, il crée sa propre forme d’écriture.

Suivez l'actualité du projet !

  • Septième vidéo : le spectacle en trois mots !

  • Sixième vidéo : l'utilité d'une habilleuse...

  • Cinquième vidéo : Une bien belle affiche...

  • Quatrième vidéo : Quand chaque détail compte...

  • Troisième vidéo : L'importance du choix de la perruque...

  • Deuxième vidéo : Les fonds nous aideront à trouver un logement à Avignon !

  • Trois minutes pour vous convaincre de soutenir le spectacle AIME COMME MARQUISE

Contreparties

Top !

pour 15,00 € et +

5 ARTINAUTES

395 DISPONIBLES

Un grand MERCI de la part de toute l'équipe du spectacle, notre reconnaissance éternelle, ainsi que votre nom sur la page facebook de la Cie Le Jeu du Hasard.

Un don de 15€, après défiscalisation =
- 5.1€ pour un particulier (66%)
- 6€ pour une entreprise (60%)

Super !

pour 30,00 € et +

4 ARTINAUTES

396 DISPONIBLES

Les contreparties précédentes et l'envoi d'une photo numérisée du spectacle.

Un don de 30€, après défiscalisation =
- 10,20€ pour un particulier (66%)
- 12€ pour une entreprise (60%)

Génial !

pour 50,00 € et +

6 ARTINAUTES

94 DISPONIBLES

Les contreparties précédentes, et une affiche papier du spectacle ! *

Un don de 50€, après défiscalisation =
- 17€ pour un particulier (66%)
- 20€ pour une entreprise (60%)

* à récupérer à l'issue d'une représentation

Fantastique !

pour 80,00 € et +

4 ARTINAUTES

96 DISPONIBLES

Les contreparties précédentes, et une invitation ! (valable du 5 au 28 juillet 2019)

Un don de 80€, après défiscalisation =
- 27,20€ pour un particulier (66%)
- 32€ pour une entreprise (60%)

Merveilleux !

pour 150,00 € et +

4 ARTINAUTES

96 DISPONIBLES

Les contreparties précédentes, et une invitation supplémentaire ! (deux invitations, valables du 5 au 28 juillet 2019)

Un don de 150€, après défiscalisation =
- 51€ pour un particulier (66%)
- 60€ pour une entreprise (60%)

Extraordinaire !

pour 250,00 € et +

2 ARTINAUTES

73 DISPONIBLES

Les contreparties précédentes, et partager un verre avec l'équipe du spectacle (valable du 5 au 28 juillet 2019)

Un don de 250€, après défiscalisation =
- 85€ pour un particulier (66%)
- 100€ pour une entreprise (60%)

Miraculeux !

pour 500,00 € et +

1 ARTINAUTE

39 DISPONIBLES

Les contreparties précédentes et le livre du spectacle (valable du 5 au 28 juillet 2019)

Un don de 500€, après défiscalisation =
- 170€ pour un particulier (66%)
- 200€ pour une entreprise (60%)

Dingue !

pour 1 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

Les contreparties précédentes et un repas avec l'équipe du spectacle (valable du 5 au 28 juillet 2019)

Un don de 1000€, après défiscalisation =
- 340€ pour un particulier (66%)
- 400€ pour une entreprise (60%)