Rejoignez l'aventure !

En soutenant ce projet, vous soutenez la création culturelle, le patrimoine régional et une fable écologique.

Un court-métrage porté par deux amis 

On se connaît depuis la sixième, on passait nos samedis après-midis à construire des cabanes dans les bois. 20 ans après, rien n'a changé: Jessy rénove sa maison en autodidacte et Brice lui file toujours un coup de main. Aujourd’hui, Jessy est arboriste et et Brice est réalisateur. Lorsque Brice s'est marié dans le jardin de Jessy, il a rencontré tous ses amis qui travaillent dans le cinéma et ça lui a donné l'envie, à son tour, de faire un film.

Le point de départ de notre scénario, c'est un arbre que Jessy a soigné et dont l'histoire l'a touché: l'if d'Offranville, un arbre du patrimoine, rongé par la maladie. Dans ce cas de figure, pour qualifier un arbre malade, on dit de lui qu’il est « stressé »… C’est à partir de ce parallèle avec le stress des êtres humains que nous avons voulu construire notre scénario, une fable écologiste et utopiste. Toucher du bois est un court-métrage d'une durée de 15 minutes.

Toucher du bois: l'histoire

Il était une fois… L’if d’Offranville, qui avait le pouvoir d’apaiser quiconque lui faisait un câlin. C’est comme ça qu’au fil des générations, ce village a réunit tous les angoissés de la planète… Parmi eux, Jérémy et Tristan, deux frères qui travaillent au service des espaces verts de la commune. Un jour, ils vont faire une découverte : l’arbre est tombé malade à force d’accueillir le stress des humains. Les câlins doivent cesser. 

Pourquoi on veut faire ce film ?

Bien entendu, notre film est une fiction, mais il s’inspire de la réalité pour développer cette métaphore d’un espace naturel menacé par l’activité humaine. L’if d’Offranville a été labellisé en 2000 comme arbre remarquable, mais ce n’est qu’un titre symbolique qui n’a pas de valeur de protection comme pourrait en fournir l’UNESCO. Si bien qu’aujourd’hui, les racines de l’arbre sont abîmées et mettent sa santé en péril.

Notre ambition n’est pas d’alerter ou de faire un constat pessimiste. Avec notre film, au contraire, nous souhaitons porter un message d’espoir, sur un fond léger. Une utopie, où une communauté qui vie dans le repli sur soi et le stress permanent, parvient à se ré-inventer en collectivité. En un mot, prendre en considération tout le vivant qui l’entoure.

Pourquoi lancer une cagnotte ?

Dans le milieu du court-métrage auto-produit, les projets se font généralement de manière bénévole.

Nous avons déjà reçu un soutien financier de 10 000€ de la part de Normandie Images au titre de la bourse d'initiative au film court; malheureusement cette somme ne nous permet pas de rémunérer notre équipe.

Si notre film porte un message de valeurs humanistes et écologiques, ces valeurs doivent se retrouver dans le processus même de fabrication du film. Il nous tient à coeur d'avoir une cohérence éthique sur le tournage: régie végétarienne, hébergement sur le village pour réduire les déplacements, tournage essentiellement en extérieur avec une lumière natuelle pour limiter notre consommation électrique. Aucun écosystème ne sera maltraité sur ce tournage.

Ainsi, notre collecte Proarti permettra de rémunérer les professionnels qui nous accompagnerons.

Relayer cette campagne de financement et en parler autour de vous, c'est aussi une manière de nous soutenir! 

 Le planning

Nous étalons la campagne de financement entre Mars et Mai ; et le tournage est prévu sur 5 jours fin Août. Nous entrerons alors en post-production dès septembre et nous projetons avoir fini le film en janvier 2026. Nous organiserons alors une avant-première du film pour l'équipe, nos proches, et nos mécènes courant février 2026. Enfin, nous entamerons la phase de distribution du film, en passant l'année qui suit à envoyer le court-métrage à plusieurs festivals.