Le temps des Hortensias

J-35
11 125,00 €
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION
Présentation du projet
PRÉAMBULE
Nous portons ce court-métrage avec passion, convaincus qu’il mérite de voir le jour dans les meilleures conditions. Pour cela, chaque soutien compte. Nous savons que donner n’est pas anodin, surtout en ce moment, c’est pourquoi nous avons choisi Proarti, qui vous permet de défiscaliser votre don à hauteur de 66 % pour les particuliers et 60 % pour les entreprises. Une manière de rendre cette aventure plus accessible à tous, avec en prime des contreparties exclusives !
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"Le génie, c’est l’enfance retrouvée à volonté."
— Charles Baudelaire
Qu’est-ce qui nous unit dans le lien familial ? Où est passée l’enfance dans nos relations fraternelles ? Le Temps des Hortensias est un court-métrage qui a pour vocation de traiter les relations entre frères et sœurs, de les pousser dans leurs retranchements, en posant la question suivante : Qu’est-ce qui reste essentiel, qu’est-ce qui perdure dans les relations humaines quand tout est voué à disparaître ?
SYNOPSIS
Lorsque Louis, Guillaume et Marie, deux frères et une sœur originaires du Pays basque, se retrouvent dans la maison de leur mère, récemment décédée, leurs liens semblent définitivement brisés. Mais après une ultime dispute qui devait sceller leur séparation définitive, une annonce à la radio leur apprend qu’un “astre étranger” est peut-être sur le point de s’écraser sur la terre. La fratrie est alors contrainte de rester ensemble pour les heures à venir.
À travers ce court-métrage, notre objectif est de traiter la thématique de la perte du lien social, un phénomène de plus en plus prégnant dans notre société contemporaine, où l’on parle parfois d’archipélisation : lorsque les cadres sociaux classiques – la famille, le pays, le travail – ne permettent plus de créer un lien aussi stable qu’auparavant. Ce phénomène, que l’on observe à tous les niveaux de notre société, s’est renforcé depuis la crise du Covid-19 et l’augmentation de l’utilisation des écrans.
Enfants et parents, frères et sœurs, hommes et femmes, Paris et campagne : autant de zones de conflits très actuels que nous avons la volonté d’aborder et de questionner avec pudeur à travers ce court-métrage. La fin du monde, remettant en cause la hiérarchie de ce qui est important pour chacun, vient alors bouleverser cet état de fait, posant la question suivante : qu’est-ce qui perdure encore dans les relations humaines quand tout disparaît ?
NOTE D'INTENTION DE L'AUTEUR
L’écriture de ce court-métrage est née de la volonté de traiter la question des liens familiaux et fraternels dans une société où l’individu est de plus en plus valorisé au détriment de la famille, souvent considérée comme aliénante et pesante.
Venant moi-même d’une famille diverse, prise entre plusieurs origines géographiques, sociales et culturelles, j’ai toujours fait l’expérience de la famille comme un lieu de conflits entre des individus trop différents, et dans le même temps comme un espace de sociabilité essentiel, d’entraide, qui permet justement de transcender un individualisme stérile. L’objectif de ce court-métrage est d’explorer cette ambivalence et, surtout, de questionner la place de l’enfance, de ce qui a été vécu dans la simplicité et l’insouciance, quand les relations semblent dures et impossibles.
Attiré depuis toujours par les films où les protagonistes sont poussés dans leurs retranchements moraux et psychologiques, l’idée m’est venue de raconter l’histoire de deux frères et d’une sœur qui ne s’entendent plus, trop différents, et qui se retrouvent confrontés à une potentielle fin du monde. Pris malgré eux dans cette situation, ce qui existait comme barrières sociales et codes disparaît progressivement pour laisser place au véritable fond de leurs relations : dans la douleur comme dans la communion. Dépouillés de tous leurs costumes sociaux, ils se voient alors contraints de se confronter à leurs origines et à ce qu’ils ont été ensemble, dans cette enfance perdue.
Contrairement aux traitements classiques de la fin du monde, souvent associés à la panique, à la déraison et à la mort, nous voulons prendre le contre-pied et montrer comment celle-ci pourrait être le point de départ d’une rédemption, d’une réconciliation, quand tout semble brisé.
Maison basque ou nous allons tourner :
LIEUX DE TOURNAGE
Pour le tournage, Clarence Raoux, le réalisateur, a choisi des lieux chargés de souvenirs, autour de Saint-Pée-sur-Nivelle. Il a passé une grande partie de son enfance ici, dans la maison de sa grand-mère, qui servira de décor principal au film. Ce projet résonne donc profondément en lui : tourner ici, c’est un retour aux origines, un voyage émotionnel autant qu’artistique. Chaque recoin de la maison, chaque sentier autour du village évoque pour lui des instants précieux, une mémoire qui imprègne l’histoire du court-métrage.
Les liens avec le Pays Basque seront omniprésents dans le film, des sonorités envoûtantes des chants traditionnels basques aux paysages, en passant par des références subtiles à la culture locale. Plus qu’un simple décor, cette région sera un véritable personnage du film, porteur d’émotions et de poésie.
Les producteurs, Anna Tyrmi et Charles de Nanteuil, ont eux aussi un attachement particulier à cette terre. Pour Anna, c’est un lien intime et ancien, avec une maison familiale à Ahetze. Cet ancrage personnel donne encore plus de sens à cette aventure cinématographique, où le passé et le présent se rencontrent à travers l’image et la mémoire.
Le tournage se déroulera sur une semaine cet été 2025.
PERSONNAGES
Parti à Paris pour faire du théâtre, Louis a coupé les ponts avec sa famille après un conflit sur la gestion des terres. Proche de sa mère autrefois, il lui reproche de ne pas l’avoir défendu. Son décès le bouleverse et le ramène à une réalité qu’il fuyait.
Resté au pays pour s’occuper des terres et de leur mère, Guillaume a sacrifié sa jeunesse par devoir. Il méprise Louis, qu’il juge égoïste, et Marie, trop distante. Il ne pardonne ni à ses frères et sœurs ni à sa mère d’être morte de tristesse.
Cadette du trio, Marie a fui les tensions familiales pour refaire sa vie en Australie. Revenue pour les funérailles, elle veut régler les affaires rapidement, honorer leur mère et éviter tout conflit.
NOS INSPIRATIONS :
Juste la fin du monde, Xavier Dolan
Melancholia, Lars Von Trier
The Tree of Life, Terrence Malick
A quoi sert l'argent collecté
Réaliser un court-métrage est une aventure artistique exigeante qui demande des moyens techniques et logistiques conséquents. Chaque euro collecté sera investi directement dans la production : décors, matériel, transports, régie, post-production… autant d’éléments essentiels pour donner vie à Le Temps des Hortensias.
Nous, l’équipe du film, nous engageons pleinement dans ce projet sans en tirer de rémunération. Votre soutien nous permet de créer dans des conditions professionnelles et d’offrir à ce film la qualité qu’il mérite.
Merci d’être à nos côtés dans cette aventure. ❤️
Objectif de collecte
16 477,00 €
Montant Global
24 221,00 €
Désignation | Montant |
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Equipe artistique |
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Equipe artistique | 4 744,00 € |
SOUS TOTAL | 4 744,00 € |
Décors |
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Objets divers | 400,00 € |
Location Maison | 600,00 € |
SOUS TOTAL | 1 000,00 € |
Habillage, Maquillage, Coiffure (HMC) |
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Habillage | 100,00 € |
Maquillage | 200,00 € |
SOUS TOTAL | 300,00 € |
Transports Défraiement Régie |
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Transports | 2 740,00 € |
Régie | 2 500,00 € |
SOUS TOTAL | 5 240,00 € |
Moyens Techniques |
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Matériel Image | 4 175,00 € |
Matériel Son | 800,00 € |
Disques Durs | 260,00 € |
SOUS TOTAL | 5 235,00 € |
Post Production Image et Son |
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Montage | 1 300,00 € |
SOUS TOTAL | 1 300,00 € |
Assurances et autre |
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Assurances | 400,00 € |
Cout Cagnotte ProArti | 1 000,00 € |
Inscription en festival + Cout Projection | 300,00 € |
SOUS TOTAL | 1 700,00 € |
Imprévus (5%) |
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Imprévus | 1 702,00 € |
SOUS TOTAL | 1 702,00 € |
Equipe technique |
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Equipe technique | 3 000,00 € |
SOUS TOTAL | 3 000,00 € |
TOTAL |
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TOTAL | 24 221,00 € |
Désignation | Montant |
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Aides Privés |
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Partenariats marques Basques | 2 244,00 € |
Chat Perché Production | 3 000,00 € |
SOUS TOTAL | 5 244,00 € |
Aides Publiques |
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SACEM | 2 500,00 € |
SOUS TOTAL | 2 500,00 € |
Proarti |
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Financement participatif proarti | 16 477,00 € |
TOTAL |
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TOTAL | 24 221,00 € |
NOS INSPIRATIONS :
Contreparties
Milles mercis ❤️
pour 50,00 € et +
10 ARTINAUTES
Un immense merci ! Votre soutien fait toute la différence. Grâce à la défiscalisation, votre don ne vous coûte en réalité que 17 € ! *
+ Vous recevez notre gratitude éternelle et un chaleureux message de remerciement de l’équipe !
Nom au générique de fin 🎞️
pour 100,00 € et +
23 ARTINAUTES
Merci infiniment ! Votre don compte énormément pour nous, et pour la bonne réalisation du projet. Avec la défiscalisation, votre don ne vous coûte que 34 € ! *
+ Votre nom apparaîtra au générique de fin pour marquer votre contribution précieuse.
Grand Mécène au générique 👑 + Lien privé du film 📎
pour 250,00 € et +
4 ARTINAUTES
Votre générosité nous touche profondément ! Vous contribuez concrètement à la réalisation du film. Après défiscalisation, ce don ne vous revient qu'à 68 € ! *
+ Votre nom sera au générique en tant que Grand Mécène + on vous envoie un visuel exclusif du tournage !
Grand Mécène au générique 👑 + Lien privé du film 📎 + Affiche exclusive 📸
pour 500,00 € et +
6 ARTINAUTES
Un immense merci pour cet engagement exceptionnel ! Vous devenez un pilier du projet. Avec la défiscalisation, votre don ne vous coûte en réalité que 170 € ! *
+ Votre nom au générique en tant que Grand Mécène + une affiche d'une photo à l'argentique du Pays Basque prise sur le tournage !
Très Grand Mécène 🤯 + VIP ❤️
pour 1 000,00 € et +
2 ARTINAUTES
Vous êtes un mécène hors pair ! Grâce à vous, ce film prend vie. Et après défiscalisation, ce don vous revient à seulement 340 € ! *
+ Votre nom au générique en tant que Grand Mécène + une affiche argentique du Pays Basque prise sur le tournage + une place réservée VIP et une boisson à la projection avec l’équipe du film et un lien privé du film avant la projection !