Conter jusqu'à tropiques

2. Les Ailes du Radeau
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION

Présentation du projet

CONTER JUSQU’À TROPIQUES, documentaire de création

Deuxième escale : "Les Ailes du Radeau"

(la première escale a été auto-financée)

Lien vers le teaser : https://vimeo.com/327464059


Un documentaire de création en trois grandes escales, qui nous propose de suivre la conception, l'écriture et la réalisation d'une fiction, un conte musical, avec deux enfants, d'après les propos d'un scientifique lanceur d'alerte :

Dans le sillage du Radeau des Cimes (dispositif déposé sur la cime des arbres pour des missions d'études scientifiques : (http://www.radeau-des-cimes.org) de Francis Hallé (célèbre botaniste à l'origine du Radeau des Cimes), un adulte et deux enfants embarquent à bord d’un Radeau des Arts de leur invention pour quérir la splendeur sans limite de la canopée tropicale, et formuler leur message d’urgence écologique sous la forme d’un conte musical. La fiction que ce documentaire invite traverse les images de la réalité que constitue une longue préparation pour ce conte : visite chez Francis Hallé, voyage en forêt tropicale guyanaise où sont organisées diverses rencontres et découvertes naturelles sonores et visuelles… Au retour, c’est l’écriture, la réalisation et l’interprétation du conte.

« Je fais ce film car il n’y a plus de temps. Les jeunes qui se mobilisent en ce moment dans les rues nous le rappellent bien ! Quant à moi, moins jeune, je n’ai plus le temps d’attendre pour créer ce que je suis en mesure de créer aujourd’hui : une œuvre poétique avec des jeunes et dans le sillage de ceux, plus anciens, qui nous alertent depuis longtemps sur notre planète. Au delà de la question écologique pure, c’est notre humanité toute entière et la conception qu’elle a d’elle même, ainsi que chacun d’entre nous, que j'interpelle, entre deux générations, comme passeur d’une certaine forme de message. L’objet même du film : une expérience de création artistique mêlant plusieurs âges de vie sur un sujet lié à notre urgence écologique planétaire, nous amène à tisser des liens entre réalité et fiction dans cette forme de documentaire de création choisie pour ce message. Espérant que vous croirez avec nous à ce vaste projet, notre équipe vous sollicite donc aujourd’hui pour l’une des étapes la plus importante de son déroulement. »

Olivier Strauch, réalisateur

Les trois escales d'une situation inventée

« Inventer, c’est penser à côté » (Albert Einstein) • « La créativité, c’est inventer, expérimenter, grandir, prendre des risques, briser les règles, faire des erreurs et s’amuser » (Mary Lou Cook)

Construction d'une situation alliant art, science, écologie, transmission… Olivier, compositeur et réalisateur, depuis toujours très sensible aux alertes que les scientifiques émettent quant à notre planète, se propose d’accompagner deux enfants à l’aube de l’adolescence, Adèle et Éléonore, de leurs 12 ans à leurs 14 ans, pour une singulière aventure de création artistique, en trois grandes escales :

A. « Une science perchée »

Rencontrer Francis Hallé, célèbre botaniste spécialiste des forêts tropicales, aux propos alarmants parfois, mais souvent emprunts de poésie, sur lesquels ils s’appuient pour une création pointant urgence écologique, science et poésie. Sur ses traces ils entreprennent alors :

B. « Les Ailes du Radeau »

Un lointain voyage en forêt tropicalesur la canopée* pour nourrir l’écriture de leur création d’images, de sons et de rencontres. À leur retour, ils se mettent à la conception définitive de :

C. « L’Ant(h)ropiquocène ! »

Écrire, réaliser et interpréter un conte musical alliant image, scène et musique, sur les thèmes explorés, nourris de leurs rencontres et expériences lors du voyage. Olivier écrit en aller-retour permanent avec les idées et propositions des enfants, puis compose la musique.

Ces trois grandes escales sont les trois grandes parties du film. Il est à noter que la troisième escale est un spectacle à part entière, dont des extraits figureront dans le documentaire.

* canopée : cime des arbres


Où en sommes nous :

  • A. "Une Science perchée" : déjà réalisé en auto-financement

ici

  • B. "Les Ailes du Radeau",

objet de la présente collecte, un voyage-collectage en canopée tropicale guyanaise en juillet 2019 (Cf. ci-desous)

  • C. "L'Ant(h)ropiquocène !" : est en cours de programmation pour avril 2020 et en recherche de financements

C’est donc pour l’escale B de notre projet que nous vous sollicitons aujourd’hui.

Où allons nous ?

Loin !

  • En forêt tropicale guyanaise, notre seconde escale, pour écouter, voir, et quérir notre écriture du conte.
  • Vers la réalisation du conte, troisième escale, sa diffusion en version intégrale tant que nous pourrons le faire avec les enfants (déjà pré-adolescentes). Nous prévoyons également une "petite forme" avec un conteur-chanteur, un musicien et projection vidéo, plus légère à tourner.
  • Vers la finalisation du film que nous souhaitons a minima voir diffusé par une chaîne de télévision, et programmé dans des festivals thématiques.

Ce projet aurait été moins lourd si nous avions prévu une audience confidentielle. Mais nous ne nous lançons pas dans la réalisation d'un double projet de cette ampleur (spectacle et documentaire de création), pour qu'il reste en cartons !


Les sept pièces du puzzle…

1. « Une science perchée » nous invite : urgence écologique

On commencerait presque à être banal à en parler, mais ne lâchons pas, ce serait ballot d’oublier le sujet !

« Poètes, vous êtes ici chez vous ! La science, sans vous, ne serait que ce qu’elle est ; donnez des ailes à nos concepts ! »1

Francis Hallé, botaniste à l’origine de l’aventure du Radeau des Cimes, grand humaniste, fabuleux dessinateur de notre monde végétal, fait surtout partie des passionnés passionnants ! Spécialiste des tropiques, il leur porte un regard «…à rebours des analyses actuelles »2. Le rencontrer ne laisse jamais indifférent.

Olivier s’identifie volontiers aux "poètes" qu’il invoque (par ce terme, les grecs désignaient la création) et décide de le suivre et d’explorer les mystérieuses propositions que recèle cette phrase !

1. Francis Hallé, La condition tropicale, Actes Sud 2010, p 30

2. ibid, 4e de couverture

2. Évoquer « la splendeur sans limites de la nuit tropicale »3 et son concert de la canopée

Simple émerveillement ou imminente alerte, splendeur encore plus grande du fait de notre urgence écologique… ?

La canopée est la cime des arbres. Francis Hallé nous incite à aller enregistrer ce concert la nuit, et nous irons, en grande partie grâce à votre aide ! Nous avons l’inestimable chance d’être accueillis dans une station scientifique du CNRS au cœur de la Réserve Naturelle des Nouragues, en Guyane, nous offrant un accès à la canopée.

3. ibid, p 130

3. Faire converger les regards, d’enfants et d’artiste

Vivre et faire vivre cette aventure à deux enfants, pour le miroir qu’ils nous font de ce qu’on leur apporte, pour la poésie et l’émotion qu’ils nous transmettent, pour leur absence de barrière ou au contraire pour l’intériorisation qu’ils montrent parfois, et surtout pour nous rappeler l’héritage qu’on leur laisse !

4. À bord d’un « Radeau des Arts »

Dans le sillage du fameux Radeau des Cimes à bord duquel nous ne monterons pas, nous inventons notre propre Radeau des Arts… Quel luxe pour notre imaginaire ! Mais sacré fil conducteur : à la fois symbole, décor du conte, et même vrai radeau lors de courtes parenthèses fictives traversant la réalité du documentaire, ce radeau nous accompagne partout !

5. « Les Ailes du Radeau »

Le voyage en forêt tropicale guyanaise

Il est destiné à :

  • Collecter des sons de la canopée pour la re-création d'un univers sonore en voie de disparition
  • Rencontrer des habitants pour une mise en perspective de notre quête artistico-écologique

Nous accueillant en son cœur, la Réserve Naturelle des Nouragues en Guyane nous offre un accès privilégié à la canopée par la présence de sa station scientifique. Elle sollicite en retour une action d’ancrage territorial. Ce sera une rencontre-spectacle participatif, avec des jeunes de la ville la plus proche… Eh oui ! C’est bien beau d’aller jouer à plaider, en bon occidental, une sensibilisation à la nature espérant qu’elle aura un minimum d’impact sur l’éventuel retard de « l’explosion » de notre planète (mot d’une des deux enfants), ou au moins nous aider à nous voir exploser avec plus de sérénité que si nous n’avions rien créé sur le sujet… Nous allons donc les rencontrer, en lisière du principal poumon de notre planète, avec leur vision sans doute fort différente de la nôtre. Nous avons grand besoin de ce miroir !

6. Réaliser « L’Ant(h)ropiquocène ! »

Le conte musical

Le titre est un jeu de mot contractant « Anthropocène » et « Tropiques ». Dur à lire, d’accord. Mais prononcez-le deux ou trois fois à voix haute, de plus en plus vite… Alors ? Ça tombe sous la langue, non ? Si certaines civilisations d’Anthropos (l’Homo qui se croit Sapiens), avaient oublié de négliger à ce point leur rapport à la nature, tout comme d’autres – tropicales notamment – ont mis plus de temps à le faire, elles auraient peut-être eu plus de mal à s’inventer l’Anthropocène… (époque géologique, actuelle pour certains scientifiques, non avérée ou nommée autrement pour d’autres).

  • Le conte se charge de mettre en fiction les jalons 1. 2. s’appuyant sur 3. 4. et 5.
  • Sa musique s’appuie sur le jalon 2. pour une création sonore propre, et prend également en compte le 3. pour proposer de la chanson, et le 4. en s'inspirant de musiques guyanaises, dans un grand continuum entre ces trois genres.

Prendre pour source d’inspiration le concert de la canopée, jamais en pure imitation, mais en recherche de liens entre ce que nous admirons d'une communication intra ou inter espèces animales, et nos propres créations musicales. Rien à prouver, cependant, si ce n’est cette recherche de ce qui nous (a) relie(é) à la nature, une façon de nous souvenir que nous en faisons encore partie…

Ce conte, interprété par les trois personnages, un conteur, quelques musiciens et un chœur, verra son écriture définitive dès notre retour du voyage. Une première résidence aura lieu lors des vacances de la Toussaint dans la salle où sera donnée la création (Cf. plus bas « Et Proarti là dedans ? »).

7. Mais qui joue en fait ?

« Il ne fait aucun doute que les dauphins sont plus intelligents que les humains car ils jouent davantage » (Albert Einstein)

Notre équipe qui instille de la fiction dans un documentaire de création ? Ou bien nos dirigeants qui déploient une incroyable énergie à élaborer des règles du jeu immédiatement et ouvertement enfreintes, afin de tirer les ficelles d’une humanité en décadence manifeste ?

L’utopie aurait-elle changé de bord… ? Mince alors ! Cela voudrait dire que nous sommes passés de l’autre côté ? Nous artistes, serions les « réalistes » quand les tenants de nos schémas de civilisations industrielles seraient devenus des « utopistes » ?

Nulle prétention ! Nous n’allons ni répondre ni polémiquer, nous n'en avons aucun moyen : restons dans nos rôles d’artistes-poètes, et réalisons ce documentaire polysémique de la façon la plus créative possible. Nous vous invitons dans un jeu dont nous aurions inventé les règles et dont nous croyons fermement à l’authenticité, bien plus qu’à celle imposée par nos structures de sociétés pas toujours épanouissantes, ni pour l’individu ni pour l’humanité (que nous effondrons d’ailleurs dans le conte…).

Les six premières pièces de puzzle du parcours ci-dessus conduisent entre fiction et réalité à cette septième, cœur de notre documentaire.

Situation induite, oui, dont la singularité voudrait peut-être un peu souffler à l'oreille de chacun de nous, et peut-être surtout à celle des futurs adultes qui regarderont notre documentaire, que cette démarche nous aide à repenser un futur moins subi…


Votre contribution ?

Nous ouvrons cette contribution pour « Les Ailes du Radeau » qui constitue la seconde étape de ce grand projet : le voyage pour aller rejoindre la Réserve Naturelle des Nouragues en Guyane. Vous ne connaissez pas la première étape car nous l’avons auto-financée. Et vous découvrirez peut-être la troisième dans quelques mois, si vous décidez de nous suivre…

Ce voyage permettra l’écriture du conte musical, puis du film définitif, tout en fondant entièrement son univers sonore, Olivier prévoyant de re-composer à partir du fameux concert de la canopée ayant tant émerveillé Francis Hallé. Il est un élément essentiel, incontournable, du parcours. Certes, nous ne partons pas totalement à l’aveuglette, nous avons déjà tracé les grandes lignes d’un synopsis du conte, et les deux enfants ont également inventé nos trois personnages. Mais à notre retour, emplis des images, sons et rencontres que nous aurons faits, nous nous mettons sérieusement à l’écriture définitive, quitte peut-être à chambouler complètement notre synopsis actuel. C’est la règle du jeu que nous nous sommes fixée !

Et cette règle est aujourd’hui acceptée par deux structures de l’agglomération grenobloise : le festival Détours de Babel (Musiques du monde, jazz, musiques nouvelles), et la salle Le Déclic, à Claix, avec lesquelles nous sommes en train de mettre en place la première représentation de « L’Ant(h)ropiquocène », en avril 2020.

En attente d'un certain nombre d'aides, subventions et en recherche de production, le temps court cependant sans nous attendre, et les enfants galoppent vers une adolescence bien amorcée ! L'urgence de notre voyage en regard de la lenteur des obtentions de financement nous font donc nous tourner vers vous. Plus votre participation sera massive, plus vite nous pourrons honorer les salaires, voire accéder à certaines scènes que nous avons mis de côté pour le moment dans l'attente de pouvoir les financer.

Votre aide à la diffusion de ce message et à l'objectif que nous nous fixions permettra, au terme du projet de larges diffusions du conte musical et du documentaire !

Alors, "Les calottes sont cuites !" écrivent les jeunes qui défilent en ce moment. J'ai une forte envie de penser que la création artistique peut tous nous aider à savoir comment régler sur feux vif ou feux doux et, plus encore qu'en terme de réchauffement climatique, en terme d'éveil de nos regards d'humains sur ce que nous sommes, particulièrement avec et pour les jeunes !


Qui sommes nous ?

Nous sommes une équipe diversifiée, qui s'est retrouvée par mixité de professions, de passions et surtout de grande motivation pour mener à bien ce projet, jusqu'à aujourd'hui essentiellement fondé grâce à de l'investissement personnel, du financement propre et du bénévolat. Nous souhaitons sa professionnalisation totale à court terme.

L'auteur

À l’origine du projet, il y a Olivier, musicien (compositeur, chef de chœur). Il fut également marionnettiste, et depuis peu réalisateur, ayant auparavant réalisé plusieurs spectacles où la vidéo prenait une part importante dans la scénographie, notamment pour des contes musicaux réalisés avec des chœurs d’enfants. Un éventail de complémentarités !

Les personnages

Adèle, Éléonore et Olivier sont les trois personnages réels du documentaire. Ils endosseront également chacun un rôle fictif pour les personnages du conte. L’amitié profonde des deux filles depuis leur plus tendre enfance, leur connivence et leur complémentarité constituent une précieuse source de richesses.

Adèle verbalise et analyse aisément, extériorise ses pensées et émotions, comprend rapidement où on va et se porte garante du sens des divers contenus dans la continuité du projet. Elle aime faire du théâtre et écrire.

Éléonore, tout en se montrant capable d’une grande expressivité et faisant souvent rire l’équipe par ses improvisations de « clown» ou à la caméra, reste très sensible et très intérieure, ménageant l’expression de ses émotions par une grande et belle pudeur. Elle aime profondément les animaux et le dessin.

Les divers rôles qu’endosse Olivier pour le projet n’apparaissent dans le film que sous une seule identité : celle d’un regard d’artiste issu de son regard d’être humain sur le monde, désireux de mener une construction artistique et humaine avec les deux enfants, pointant un fait majeur d’humanité.

Leur rencontre

C’est précisément lors d'un spectacle pédagogique avec des enfants, dans lequel tous apportaient une dimension expressive supplémentaire, réellement porteuse du sujet par leur façon de s'approprier celui-ci, que s'est forgée l'idée de pointer vers eux ce projet déja en germe, lui conférant une évidente cohérence. Les affinités que révèlent les moments forts de création génèrent souvent des rencontres. Mais pour ces deux enfants qui en sont issues, il ne s’agit toutefois aucunement de leur souligner quelque don que ce soit, non qu’elles en seraient dépourvues, mais ce n’est pas l’objet du film ! Elles sont considérées ici comme des « mes-demoiselles-tout-le-monde », partant pour une aventure où émerveillements et réflexions se mêlent à la construction de leur poésie et de leur conscience, tout en s'en faisant miroir pour le réalisateur.

Une équipe artistique et technique

Sophie, assistante de réalisation. Illustratrice de formation, auteure de livres pour enfants, se résume comme une faiseuse d’histoires ! L’acuité de son regard de plasticienne et de mère d’enfants du même âge apporte une complémentarité à la pensée du réalisateur, quant aux images du film ainsi qu’à la réalité de cette singulière équipe, enrichissant son parcours. Olivier et Sophie avaient déjà travaillé sur un projet de créations photographiques, musicales et graphiques, et leur collaboration fructueuse leur a donné envie de réitérer l’expérience de leur collaboration en duo.

Très présente depuis le début, Amandine, cadreuse, avec ses apports techniques très pointus, appose également un regard artistique fort précieux ! Amandine et Olivier se sont rencontrés lors d’un master en « Écritures Documentaires » il y a trois ans et ont déjà travaillé ensemble sur leurs films d’études. Olivier avait été fort impressionné par les images d’Amandine, puis fort heureux lorsqu’il s’était entendu dire, de la part de celle que dont tous les membres du master admiraient la qualité du travail, sa grande motivation pour « Conter jusqu’à tropiques » ! Preuve d'une longueur d'ondes et sans doute d'une quête communes.

Guillaume est chercheur en solutions pour des énergies du futur, plus particulièrement en lien avec le domaine végétal. Son métier l’amène à se questionner sur le vivant, les vivre ensemble et l’avenir de nos sociétés et de notre planète. Ingénieur tout court dans la vie, Guillaume est aussi investi dans les techniques du son par passion. Il a été élève en métiers du son et informatique musicale au conservatoire de Grenoble, où Olivier l’a rencontré. Toujours en recherche du meilleur résultat et riche d'une grande culture cinématographique, il aime les sons et leur manipulation, le rapport à l’image, et leur faire raconter des histoires. Le propos du projet en lien avec sa profession l’ayant fortement intéressé depuis le début, il a déjà activement apporté son sérieux et ses qualités techniques et humaines à quelques tournages.

Familles

Les deux familles des enfants sont également bien présentes et actives, laissant avec bienveillance leurs deux enfants s’approprier le projet afin de lui laisser tout son sens. L’une d’elles a des origines tropicales, et cela avait d’ailleurs été une autre des raisons ayant motivé Olivier pour leur proposer. Elles mêmes, dont seuls deux parents devront par nécessité faire partie du voyage, se sont appropriées le sujet, probablement parce qu’elles y ont trouvé un sens faisant écho de ce qu’elles sont, par leurs origines ou leurs convictions. Leur immédiate empathie a donc été très agréablement perçue, du fait de l’envergure d’un tel projet pour deux enfants de cet âge… L’équipe tient à les en remercier chaleureusement !

Les professionnels du spectacle

Autour de ce noyau, bien que n’intervenant que pour la troisième escale, « L’Ant(h)ropiquocène », gravitent déjà un certain nombre de professionnels du spectacle, avec lesquels nous souhaitons travailler, et avec qui des contacts sont en cours, permettant également aux deux enfants de se familiariser avec le milieu. Conteur : Dominic Toutain, mise en scène des personnages et du chœur : Étienne Guichard, scénographie et décors : Catherine Bechetoille, musiciens : Patrick Reboud, Marie Mazille, Anne Mahey, Guy Genestier, Till Veyron, Marianne Dedaj, un petit chœur en cours de constitution, et bien d’autres encore à intégrer, pour la lumière, la vidéo etc.


Alors… Soyez les bienvenus pour nous rejoindre, en participant peut-être, mais surtout en diffusant masssivement notre projet !


A quoi sert l'argent collecté

La base de notre seconde escale

Les Ailes du Radeau, étant en effet l'escale la plus importante du projet Conter jusqu'à tropiques, et l’une des plus onéreuse d’une part, et le calendrier de nos demandes d’autres financements étant bien long d’autre part, nous avons choisi de vous solliciter pour assurer les bases indispensables de notre voyage, a minima !

À vos carnets d'adresses, donc, pour nous diffuser et nous faire connaître !

L'équipe nécessaire au voyage

8 personnes minimum

  • Adèle, Éléonore, Olivier, nos trois personnages et protagonistes du documentaire
  • Un parent de chaque famille
  • Sophie : assistante de réalisation
  • Amandine : cadreuse
  • Guillaume : ingénieur du son

Et après ?

La somme demandée, 16 000 €, est aujourd'hui le minimum pour que nous puissions partir. Il entend : les billets d'avion, les trajets et hébergements sur place, une intendance serrée, et un séjour très court, induisant un certain nombre d'impasses sur nos projets d'images et de rencontres sur place. Cela signifie que si votre aide à la communication pour ce projet et votre générosité amenaient à dépasser cette somme, nous aurions une plus grande facilité à assurer un séjour plus riche en rencontres en images et en sons, moins "speed", voire une meilleure répartition des salaires (actuellement prévus a minima également sur un autre financement, certains professionnels acceptant aujourd'hui le bénévolat, par grande motivation pour la faisabilité du projet…)

Un grand merci pour vos diverses aides !

  • Pour tous ceux qui diffuseront l'information, ce sera autant d'occasions de faire connaître le projet à d'autres éventuels financeurs, même minimes ! Plus on est de fous…
  • Pour tous ceux qui participeront, n'oubliez pas de considérer la somme réelle que vous aurez payé après déduction fiscale ! (indiquée au début de chaque contrepartie)

Objectif de collecte

16 000,00 €

Montant Global

16 000,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Hébergement sur place

Autres 400,00 €
Maison du CNRS 960,00 €
Régina 100,00 €
Nouragues 1 600,00 €
SOUS TOTAL 3 060,00 €

Frais de collectes

Contreparties 450,00 €
Commission proarti 1 000,00 €
SOUS TOTAL 1 450,00 €

Transports

Avion 7 800,00 €
Trains 670,00 €
Pirogue 1 900,00 €
Bus Cayenne / Régina 320,00 €
SOUS TOTAL 10 690,00 €

Nourriture

Nourriture 800,00 €
SOUS TOTAL 800,00 €

TOTAL

TOTAL 16 000,00 €

Recettes

Désignation Montant

Proarti

Financement participatif proarti 16 000,00 €

TOTAL

TOTAL 16 000,00 €

J’ai toujours conçu seul mes projets antérieurs de composition, même s’ils faisaient appel à des interprètes, enfants ou adultes. Outre le fait de faire un film à partir de cette merveilleuse suggestion de Francis Hallé invoquant les poètes, de réaliser une création musicale fondée sur un enregistrement du concert de la canopée, j’ai ici choisi, non pas de voir cette conception comme collégiale, mais de d’en partager le contenu par la transmission que j’en fais aux enfants, tout en restant à l’écoute de leur sensibilité et propositions pour la réalisation finale. Cette dernière est une étape importante d’un parcours rassemblant un certain nombre de pans de ma vie artistique et personnelle. C’est en effet en tant qu’être humain que je suis sensible à la relation qu’entretient notre espèce à son environnement, et que je suis à l’affût de propos dont je pense pouvoir m’emparer en tant qu’adulte passeur, en tant que réalisateur et compositeur.

Contreparties

Un grand merci !

pour 10,00 € et +

14 ARTINAUTES

99999985 DISPONIBLES

(Soit 3 € pour un particulier, ou 4 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un grand merci pour votre participation ! Vous resterez tenus au courant de l'avancée du projet !

Générique

pour 20,00 € et +

10 ARTINAUTES

(Soit 7 € pour un particulier, ou 8 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un grand mercià lire au générique de fin, où sera mentionné votre nom

Visionnage

pour 50,00 € et +

11 ARTINAUTES

(Soit 17 € pour un particulier, ou 20 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un grand merci bien confortable!Vous verrez votre nom au générique de fin, depuis votre fauteuil, après avoir cliqué sur le lien vers le visionnage du film

Invitation

pour 100,00 € et +

9 ARTINAUTES

116 DISPONIBLES

(Soit 34 € pour un particulier, ou 40 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un très grand merci partagé! Vos amis verront votre nom au générique de fin, depuis leur fauteuil, après avoir cliqué sur le lien vers le visionnage du film, pendant que vous bénéficierez d’une invitation pour deux personnes à l’avant première du film, à l’issue de laquelle un échange avec l’équipe vous permettra de poser toutes les questions que vous souhaitez!

Parrain, Marraine

pour 150,00 € et +

7 ARTINAUTES

(Soit 51 € pour un particulier, ou 60 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un très grand merci affiché! Vos amis verront cette fois votre nom et/ou logo comme parrain ou marraine au générique de début, depuis leur fauteuil, après avoir cliqué sur le lien vers le visionnage du film, pendant que vous bénéficierez d’une invitation pour deux personnes à l’avant première du film, à l’issue de laquelle un échange avec l’équipe vous permettra de poser toutes les questions que vous souhaitez!

Making Off

pour 200,00 € et +

0 ARTINAUTES

(Soit 68 € pour un particulier, ou 80 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un très très grand merciincollable!Vos amis verront toujours votre nom et/ou logo comme parrain au générique de début, depuis leur fauteuil, etc. Mais à nous d’être sur nos gardes, car vos questions seront aiguisées par le lien vers le making off du film que vous aurez forcément cliqué, afin qu’elles soient le plus pointues possibles!

Les Perles

pour 250,00 € et +

1 ARTINAUTE

(Soit 85 € pour un particulier, ou 100 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un très très grand mercipleins les mirettes et les esgourdes!Toutes les contreparties précédentes vous sont acquises. Et pour calmer vos velléités de nous coller par telle ou telle question de votre part lors de notre avant première, nous vous offrons un lien vers nos perles: de courtes séquences audio et vidéo extraites des rushs de nos tournages! Régalez-vous!

Livre Photos

pour 500,00 € et +

2 ARTINAUTES

(Soit 170 € pour un particulier, ou 200 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un immense merci au coin du feu… Quelques temps après tous les bons souvenirs de ces première contreparties, vous tirerez d’une étagère le beau livre des photos du tournage pendant qu’un.e de vos petits enfants commencera à vous raconter le film culte qu’il ou elle viendra de voir, vous le.a laisserez finir et ajouterez en tendant le livre, non sans une certaine fierté, mais sans prétention, avec le sourire bienveillant de tout grand parent qui se respecte, sous son regard ébahi: «Tu sais, j’étais à l’avant première…».

Les sons de « L’Ant(h)ropiquocène ! »

pour 750,00 € et +

0 ARTINAUTES

(Soit 255 € pour un particulier, ou 300 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Un immense merci à la merci de votre écoute…Pour un tel engagement de votre part, en plus des autres contreparties déjà acquises pour vous, nous troquons votre invitation pour deux personnes contre une invitation d’aspect fort semblable, mais pour quatre personnes cette fois! Cela fera plus de questions à nous poser, car en prime, Les sons de «L’Ant(h)ropiquocène!» (lien vers un montage sonore des sons du voyage menant à ceux du spectacle)vous aura donné l’occasion d’écouter attentivement la façon dont nous avons conçu le fil conducteur que joue le son dans ce documentaire et dans ce spectacle, comment un oiseau ou une grenouille nous emmène imperceptiblement vers une composition instrumentale ou vocale.

Captation de « L’Ant(h)ropiquocène ! »

pour 1 000,00 € et +

1 ARTINAUTE

(Soit 340 € pour un particulier, ou 400 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Comptez sur un grandiose merciconté ! Oui, nous savons… vous êtes très pris! Et toutes les autres contreparties acquises pour vous ne vous consolent pas: le fait d’avoir réservé votre place à l’avant première du film ne vous octroie plus assez de temps pour faire le détour jusqu’à la première du spectacle (bien avant la sortie du film, bien sûr, mais voyez-vous, un agenda rempli jusqu’en 2027…), alors que vous aimeriez bien le voir en entier, ce conte musical sur lequel repose le documentaire! Mais grâce à votre super engagement dans notre projet, quelques semaines après celle-ci, nous vous enverrons le lien vers la captation de «L’Ant(h)ropiquocène!».

Invitations à « L’Ant(h)ropiquocène ! »

pour 2 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

(Soit 680 € pour un particulier, ou 800 € pour une entreprise, après déduction fiscale)

Vivre un grandiose merci en live!Pour vous, c’est le tapis rouge: en plus de tout ce qui précède qui reste valable, nous vous offrons une invitation pour quatre personnes au spectacle «L’Anthropiquocène». Vous avez imaginé les yeux de votre petit.e fil.s.le tout à l’heure? Alors imaginez maintenant ces mêmes yeux lorsque vous ajouterez, après un silence dont vous aurez soigneusement évalué la juste durée: «j’étais aussi à la première du spectacle…»!