Brûle Le Sang - Long Métrage
Un film avec Nicolas Duvauchelle, Finnegan Oldfield, Denis Lavant, Florent Hill-Chouaki et Sandor FuntekCollecte Réussie
13 351,00 €
soutiennent
objectif de
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION
SOLIDARITÉS INTERNATIONALES,
CRÉATION ÉMERGENTE,
DÉMOCRATISATION CULTURELLE
Présentation du projet
PRÉSENTATION
Après 4 années de travail acharné, le tournage de « Brûle le Sang » a finalement commencé le 25 aout !
Malgré les financements récoltés pour le tournage, il nous manque encore 60.000€ pour assurer certaines dépenses de post-production et terminer le film dans les temps, afin de le présenter au prochain Festival de Cannes… C’est pourquoi nous nous tournons vers les contributeurs de Proarti !
En soutenant notre projet, votre générosité sera récompensée par des contreparties exclusives telles que des invitations aux avant-premières, des posters dédicacés par le réalisateur et même votre nom au générique !
Nous vous remercions chaleureusement pour votre considération et votre soutien, vital pour nous 😊
L'équipe du film.
ENTRETIEN AVEC LE RÉALISATEUR
Akaki Popkhadze (Co-scénariste & Réalisateur)
INFORMATIONS PRINCIPALES
Titre : Brûle le Sang
Réalisateur : Akaki Popkhadze
Scénario : Akaki Popkhadze & Florent Hill-Chouaki
Producteurs : Adastra Films (France), Ellly Films (Autriche), Beside Productions (Belgique)
Producteurs associés : Louis Omerin, Marie de Cenival
Distribution France (sortie salles) : ARP Sélection
Ventes internationales : Urban Sales
Casting principal : Nicolas Duvauchelle, Florent Hill-Chouaki, Denis Lavant, Finnegan Oldfield, Ia Shugliashvili, Sandor Funtek, Catherine Allégret, David Ayala et Jean-Philippe Ricci.
Genre : Thriller, mafia
Durée : 105 min
Langue : Français
Étape : Tournage, début le 28/08/23 (33 jours)
Lieux de tournage : Nice (France), Vardzia (Géorgie)
Avec le soutien de : Canal +, Ciné +, CNC Avance sur Recettes, Région Sud, Département des Alpes Maritimes, Indéfilms
LOGLINE
Dans les quartiers populaires de Nice, un pilier de la communauté géorgienne locale se fait assassiner. Son fils Tristan, qui aspire à devenir prêtre orthodoxe, se retrouve seul avec sa mère en deuil. C’est alors que réapparait Gabriel, le grand frère au passé sulfureux, qui revient d’un long exil dans le but de se racheter en lavant l’honneur de sa famille...
MOODBOARD VIDÉO
Pour encore plus s’imprégner de l’atmosphère du film :
NOTE D'INTENTION
LA FOI ET LA VIOLENCE
À mes 13 ans, ma famille a dû fuir soudainement la Géorgie pour venir en France. Au-delà de la misère et des humiliations de notre situation d’immigrés, nous avons subi un choc culturel et affectif. Très tôt, j’ai dû aider ma famille à se reconstruire, perdant mon insouciance pour devenir un jeune adulte. Je me suis trouvé tiraillé entre les valeurs ancestrales de ma communauté et les principes de la rue niçoise. Malgré mon éducation religieuse, l’envie de transgression est souvent venue toquer à ma porte. Dans les milieux que je fréquentais, la violence était là, dangereuse et attirante. Assez, parfois, pour m’y faire succomber. Le samedi matin, j’allais à l’église ; le soir je sortais en boîte et me battais. J’ai expérimenté la violence, et la honte qui me poursuivait à chaque fois que j’en faisais usage. C’est l’essence du personnage de Gabriel. À l’inverse, les instants d’évasion que je connaissais au contact de la grâce, qu’elle soit religieuse, cinématographique ou littéraire, me procuraient une joie immense. Le retour à la réalité n’en devenait que plus douloureux. Enfant de choeur lorsque j’étais plus jeune, j’ai gardé en moi un lien au mystique très puissant. C’est cela qui guide Tristan. C’est ici que se trouve mon noeud existentiel : je suis à la fois Gabriel et Tristan. Je me sers de la symbolique fraternelle pour montrer l’affrontement qui a lieu au coeur de mon âme : les deux énergies qui me traversent sont personnifiées par ces deux frères. Pour me construire, d’ailleurs, deux chemins s’offraient donc à moi. L’un était celui de la force, de la violence et de la tromperie. Le deuxième, celui de l’écoute, de la patience et de la compréhension. J’ai commencé par le premier, instable et dangereux… jusqu’au jour où je renouai avec un rêve d’enfant : faire du cinéma. En saisissant cette vocation, je me suis résolument employé à prendre le deuxième chemin. Je serais incapable d’exprimer autrement que par le cinéma ce que je ressens, moi qui parle dans ma langue maternelle (le géorgien) avec un accent français, et qui parle en français avec un accent géorgien. Dans ce film je tiens à raconter l’échec de la violence et de la vengeance. Le genre de Brûle le sang alterne ainsi entre le drame familial et le film de genre assumé, qu’on pourrait qualifier de « film de vengeance », même si cette vengeance, au final, ne se réalise jamais. Le récit s’appuie d’ailleurs sur une ironie dramatique omniprésente : le spectateur sait que Gabriel a franchi un point de non-retour avec Jacques, qu’on soupçonne très tôt d’être le commanditaire de l’assassinat du père.
Je tiens à Gabriel comme une façade de valeurs viriles, déracinées. Je crois profondément que l’obstination de la “virilité” et de “l’honneur” mène à la destruction. Le scénario applique un principe simple : chaque force est réduite à néant. La vengeance tant souhaitée n’a pas lieu. Des hommes si forts finissent dans des bennes à ordures.
Ce principe dramaturgique est issu de ma collaboration avec Florent Hill. Nous nous sommes rencontrés enfants, au judo, art martial dont le principe est la souplesse et l’équilibre des forces. Je crois que ce principe, éprouvé à l’époque dans nos corps, est aujourd’hui au cœur de notre travail scénaristique.
LA PRÉSENCE DES FEMMES
En lisant le scénario, plusieurs personnes m’ont fait remarquer la relative absence de personnages féminins.
J’ai grandi dans un milieu principalement masculin. Enfant de chœur, je ne fréquentais que des prêtres, des diacres, d’autres enfants de chœur. Dans le quartier où nous habitions, les filles et les garçons ne se mélangeaient jamais. Puis j’ai fait du judo et, de nouveau, les judokas, l’entraîneur, les compétitions, l’exaltation de valeurs «viriles» étaient mon quotidien. Enfin, j’ai travaillé comme gardien de sécurité, puis videur, sur la Côte d’Azur, aux côtés d’hommes de tous âges. J’ai donc grandi en étant entouré quasiment exclusivement d’ hommes et n’ai jamais eu vraiment de copine ni d’amie fille avant mes 25 ans.
La seule figure féminine à qui je pouvais me raccrocher, observer et écouter, était ma mère. C’est pour cette raison que, dans le film, les deux personnages féminins les plus importants sont deux mères : la mère des frères (Catherine), et la mère de Jacques (Marie-Pierre).
J’ai grandi dans une famille très patriarcale, laissant peu de place à la figure féminine. Ma mère était toujours un peu en retrait par rapport à mon père. Ecrire Brûle le sang est peut-être une façon artistique d’éclipser mon père pour laisser place à ma mère et l’observer, en étant désormais au premier plan de la structure familiale.
A mes yeux, Catherine est un personnage secondaire qui influence énormément l’action. Dans le film, les hommes «forts» deviennent des petits garçons devant leurs mamans. Le personnage de Catherine est majeur dans le drame familial qui se déroule sous nos yeux. Elle n’a pas peur d’exprimer ses sentiments avec franchise et de les assumer. Même si son tempérament peut parfois être explosif (elle gifle son fils pour avoir dénoncé son frère), c’est elle qui caresse ses enfants, qui veille sur eux par amour et qui rend le rapprochement des deux frères possible. En ce sens, sa figure maternelle est le pilier de cette famille recomposée, la garante de la paix retrouvée entre les deux frères. Du point de vue de la trame narrative, elle subit le comportement de Tristan et Gabriel, mais se révèle aussi, paradoxalement, être la seule à avoir une influence et une emprise sur eux.
Brûle le sang déborde d’une masculinité toxique, et je pense que la fin raconte que la fierté virile mène à la mort et à l’impuissance. Au sein de cette histoire, quelques femmes fortes mettent en garde, mais ne sont pas écoutées.
NOTE DE RÉALISATION
FILMER LES CORPS
Ma première intention comme cinéaste est de filmer les corps. Ils me fascinent car ils sont pour moi les territoires des désirs, du poids de la vie, de l’amour, de la haine. J’ai à cœur de filmer, guetter, chasser, ce qui bout sous la peau. Dans mon moyen- métrage Je Vois, la caméra suit un corps de jeune homme en lutte avec le corps de sa grand-mère alitée. Dans mon long-métrage Brûle le Sang, le corps d’un jeune aspirant prêtre est embarqué dans une spirale de violence par le corps de son grand frère enragé, à fleur de peau.
Je souhaite avant tout que mon cinéma soit une chorégraphie tragique, ironique, si humaine. Je veux montrer la beauté sous ces combats. J’aime pousser les corps à bout, et recueillir ce qui reste comme seule vérité, lorsqu’on ne peut plus parler. Je souhaite ainsi poser le spectateur en témoin, par une caméra dynamique, immersive. La caméra sera toute-voyante, équipée d’objectifs larges. Elle sera fluide, très proche des personnages. Je veux pousser mes acteurs là où ils ne s’attendent pas. La caméra dansera toujours autour de mes personnages, comme un ballet.
Une grande tendresse sous-tend l’action. En Géorgie, elle est omniprésente, mais très rarement verbalisée. Mon cinéma, comme outil d’expression de mes sentiments, est donc violent, tiraillé, mais aussi très tendre. Cette tendresse se trouve dans le silence et la lenteur de certaines scènes. La puissance du silence permet de dépasser tout jugement que l’on peut émettre sur les personnages. On les comprend, on les regarde vivre, en partageant ce temps présent avec eux. J’aime prendre le temps de décrire la cellule familiale géorgienne, qui cohabite entre tradition et débrouille quotidienne, avec la cuisine comme lieu de vie au centre de tout.
L’harmonie se trouve, pour moi, dans ces moments de silence, où les corps seuls dialoguent. J’utiliserai ce procédé régulièrement, par exemple en filmant en plan- séquence la scène où les deux frères montent à la main un piano dans la cage d’escalier. Et je compte bien ne pas tenir les acteurs au courant avant le jour du tournage, ceci afin de préserver leur spontanéité dans l’épreuve.
LA MOSAÏQUE NIÇOISE
L’arène cinématographique de Brûle le sang vient de ma fascination pour Nice et la Côte d’Azur. Nice, ville-monde, mosaïque de populations immigrées des quatre coins du monde. Les langages se côtoient : niçois, ukrainien, arabe dialectal, russe, cap-verdien, géorgien, italien, anglais... J’ai à cœur de montrer cette diversité et de la faire écouter au spectateur.
Nice est un décor très paradoxal que je souhaite sublimer. Ainsi la lumière alternera entre des intérieurs sombres, vaporeux, et des extérieurs saturés et poussiéreux. Au niveau urbain, le paradoxe est total : les palmiers côtoient les poubelles, les palaces jouxtent les HLM délabrés, les tunnels emmènent des travailleurs pauvres nettoyer les beaux appartements. Ce paradoxe déjà présent dans Je Vois me fascine visuellement ; Brûle le sang le mettra à l’honneur.
Nice me fascine aussi par l’obsession de la sécurité et la méfiance qui y règnent. Elle est la ville la plus vidéo-surveillée de France avec des milliers de caméras au regard insensible, robotique. Je souhaite aujourd’hui y opposer le mien, que j’espère cru et tendre, comme je ressens la réalité.
NOTE DU PRUDUCTEUR
En mai 2019, nous avons été impressionnés par un moyen métrage de 36 minutes tourné en plan-séquence intitulé « Je Vois ». Nous avons demandé à rencontrer son réalisateur, Akaki Popkhadze, afin qu’il nous présente ses futurs projets. C’est ainsi qu’a commencé un long travail d’écriture et de développement de « Brûle le Sang » entre ce réalisateur franco-géorgien et notre équipe, jusqu’au tournage du film commencé fin aout 2023.
Le projet d’Akaki est ancré dans une réalité sociale difficile (les quartiers populaires de Nice) et un contexte culturel fort (la communauté géorgienne) qu’il connait bien. A la fois film de gangster, drame familial et thriller, il nous embarque dans une histoire haletante de deux frères géorgiens, que tout oppose. Comme le montre son moyen métrage, Akaki n’hésite pas à assumer ses choix de mise en scène jusqu’au bout, sans concession artistique, et c’est ce parti pris radical qui a fait le succès de son précédent film, en même temps qu’il nous a convaincu de son talent.
Nous sommes persuadés qu’Akaki sera en mesure de réaliser un premier long métrage très personnel, qui puisse s’adresser à la génération des 18-29 ans, une génération que nous aimerions attirer au cinéma plus souvent pour voir des films indépendants, portés par des sujets forts et intenses auxquels ils pourront s’identifier : la fraternité, le déracinement et le sens de la communauté.
Par son genre et ses thématiques, Brûle le Sang sera au croisement d’un cinéma d’auteur exigeant et d’un cinéma plus grand public, tels qu’ont pu l’être des films tels que Little Odessa de James Gray, Corpus Christi de Jan Komasa, Pusher de Nicolas Winding Refn, ou encore Un Prophète de Jacques Audiard. Notre ambition, comme première mondiale, serait l’une des compétitions cannoises en mai 2024. Notre film devrait trouver non seulement son public parmi la jeune génération, mais également auprès d’un public plus âgé, sensible aux films d’auteur sélectionnés dans les plus grands festivals.
Soutenez notre film et faites partie de l'aventure !
A quoi sert l'argent collecté
Financer un film est un travail de longue haleine. Nous sommes parvenus à financer le tournage, mais il nous manque encore 60.000€ pour financer complètement la dernière étape (cruciale) du film : la postproduction.
Avec une contribution de 60.000€, vous pouvez jouer un rôle essentiel dans la réalisation de ce film. Votre soutien nous permettra d'engager les meilleurs créatifs et les meilleurs techniciens à différentes étapes de la postproduction, afin de créer une expérience cinématographique inoubliable.
Nous allons procéder par palier de 20.000€ en trois fois :
1) le premier palier de 20.000€ nous permettra de financer une partie du montage : monteur, assistant monteur, salles de montage, équipement, exports, etc.
2) le deuxième palier de 20.000€ sera affecté à la composition et à la fabrication de la musique originale : compositeur, musiciens, studio d'enregistrement, mixage, mastering, etc.
3) le troisième palier de 20.000€ permettra de financer des effets spéciaux (VFX). Même si "Brûle le Sang" n'est pas un film de science-fiction avec de la création 3D, tous les films nécessitent des apports en VFX par ajout (flammes, brûlures, fumée, impacts de balle...) ou effacement (suppression d'éléments de décors indésirables).
Grâce à vous, nous allons pouvoir finaliser notre film...
L'équipe de "Brûle le Sang"
Objectif de collecte
13 300,00 €
Montant Global
223 490,00 €
Désignation | Montant |
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POSTPRODUCTION |
|
Composition originale | 20 000,00 € |
Musiques additionnelles | 10 000,00 € |
Supervision de la postproduction et de la musique | 10 000,00 € |
Traitement des rushes | 10 300,00 € |
Montage | 50 500,00 € |
Postproduction son | 45 890,00 € |
Etalonnage | 10 600,00 € |
Effets spéciaux | 20 000,00 € |
Génériques et film annonce | 7 000,00 € |
Sous-titrages | 1 700,00 € |
Livrables | 15 000,00 € |
Transport et frais de séjour après-tournage | 22 500,00 € |
SOUS TOTAL | 223 490,00 € |
TOTAL |
|
TOTAL | 223 490,00 € |
Désignation | Montant |
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Financements belges |
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Tax Shelter | 30 300,00 € |
SOUS TOTAL | 30 300,00 € |
Financements français |
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Cine+ | 80 000,00 € |
Adastra Films | 15 060,00 € |
Crédit d'impôt cinéma | 38 130,00 € |
SOUS TOTAL | 133 190,00 € |
Proarti |
|
Financement participatif proarti | 13 300,00 € |
TOTAL |
|
TOTAL | 176 790,00 € |
PRECEDENT COURT-MÉTRAGE DU RÉALISATEUR :
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INFLUENCES ET FILMS COMPARABLES
Contreparties
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Le plan de travail est un document extrêmement important de la production. Il est fait par l'assistant-réalisateur et contient toutes les infos du tournage (date, décors, scènes, casting...). Il vous permettra de suivre en temps réel l'avancement du tournage.
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Recevez les DVD des longs métrages d’Adastra Films THE STRANGE ONES et PULSE, dédicacés par les producteurs.
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Avant-première sur Paris ou sur la Côte d'Azur au 2eme semestre 2024.
Envoi du poster et des DVD de THE STRANGE ONES et PULSE au moment de la sortie DVD de BRÛLE LE SANG.
Contreparties inférieures + Grand Poster dédicacé par le réalisateur et quelques acteurs du film
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NB : Le grand poster remplace le poster A3 ou A2 de la contrepartie inférieure.
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Vous pourrez participer à la journée de tournage selon vos disponibilités (Attention : fin de tournage le 9 octobre 2023 !)
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Avant-première sur Paris ou sur la Côte d'Azur et remise de l’accessoire Collector au 2eme semestre 2024.
Contreparties inférieures + Participer à une journée de post-production + Diner avec l'équipe du film
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Dinez avec l'équipe du film : réalisateur, producteurs et quelques acteurs, pour en savoir plus sur le monde du cinéma, le film, les anecdotes de tournages, les motivations du réalisateur…
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Fête de fin de tournage : début octobre 2023.
Participation à la journée de post-production : hiver 2023-2024
Diner avec l’équipe du film : à déterminer en fonction de vos disponibilités.
Contreparties inférieures + 2 Invitations à la Première Mondiale et à sa soirée VIP
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0 ARTINAUTES
Soyez invités à la première mondiale ainsi qu’à la soirée VIP juste après (pour 2 personnes).
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La Première Mondiale aura lieu en 2024 (date et lieu à déterminer).