APRÈS L'AMOUR

Festival AVIGNON - Albatros théâtre du 7 au 30 juillet 2022 - 14H45
ARTS DE LA SCÈNE
DIFFUSION

Présentation du projet

APRÈS L'AMOUR de Daniel SOULIER

Mise en Scène de Jean-Marc Galéra

Avec Annette Benedetti et Jean-Marc Galéra

Festival OFF d'Avignon

Du 7 au 30 juillet 2022 à l'ALBATROS THÉÂTRE

LE PROJET

La Compagnie Scènes en Seine se lance dans l’aventure du plus grand festival de théâtre européen : le Festival OFF d’Avignon 2022 ! Ce festival est une réelle opportunité pour notre compagnie de montrer notre tout dernier spectacle à un public et des programmateurs venus de toute la France pendant 3 semaines ! Mais c’est aussi un investissement humain et financier. C’est pourquoi nous faisons le choix d’une collecte participative sur Proarti. Vos dons ouvriront droit à une déduction fiscale.

Nous avons découvert « Après l’amour » alors que nous faisions des lectures pour préparer un cabaret satirique, La Crise sur le Gâteau. Ce fut le coup de cœur immédiat, comme une évidence pour l'écriture de Danièle Soulier qui mèle cocasse et poignant. Avignon nous apparaît comme le festival qui pourrait ouvrir la possibilité que cette création soit vue par de nombreuses personnes et tourne partout en France.

Brève histoire du projet

"Après l'Amour" est la 15ème création de la Compagnie Scènes en Seine et 4 ème coproduction de notre compagnie avec le Théâtre de l'Accalmie

Initalement programmée au Conservatoire G. Litaize de Montereau-Fault-Yonne en Novembre 2020 la création a du être reportées 2 fois à cause de la crise covid. Une première fois en Mai 2021 pour 2 réprésentations réservées aux professionnels et une 2ème fois en Novembre 2021pour le Public.

Depuis le spectacle a été représenté 12 fois et a reçu à chaque fois un très bon accueil du public

Les partenaires de ce projet sont la Ville de Montereau-Fault-Yonne(77), La Comunauté de commune Bazois-Loire-Morvan (58), La Commune de Saint Seine (58)

L'HISTOIRE

"ENTRE RIRE ET EMOTION"


« Après l’amour » est une comédie d'un réalisme féroce. Le dialogue est précis, impitoyable parfois; il s’en dégage une poésie toute crue, toute sèche, et pourtant pleine d’humanité.
On déguste le quotidien d’un vieux couple trop ordinaire pour être ordinaire, et qui nous fait glisser du rire aux larmes : Elle, Jeanne, l’épouse acariâtre, malheureuse de nature, a passé sa vie à tout économiser, même les sentiments. Lui, Henri, l’époux docile, taiseux par manque de mots, encaisse les reproches par habitude du compromis.

Passer du rire au rêve. Voir fleurir un peu de tendresse.
Entendre enfin ces deux êtres parler des plaisirs de la vie, du pain frais qui craque sous la dent, du goût du sel sur les œufs.
Sont-ils passés à côté du bonheur ? Et puis, qu'est-ce que le bonheur ? Y a-t-il une vie après l’amour ?

NOTE D'INTENTION

Nous défendons un théâtre qui mêle les genres et les tons, où la comédie prend des accents de tragédie, où la lucidité pointe son ironie et la poésie entache le réalisme, bref un théâtre qui pense et qui rit, qui "donne accès" à une quête du sens, pour parler de l'homme de toujours à l'homme d'aujourd'hui.

LA PRESSE
T’as d’beaux vieux, tu sais !

Ces vieux-là, Jeanne et Henri, sont des retraités, des « pauvres de métier », pour reprendre l’expression très juste de Daniel Soulier.
Des vieux qui ont trimé toute leur vie durant, dans une perpétuelle lutte, se fabriquant leur propre malheur, par manque d’envies, de désirs, par manque d’imaginaire, aussi.
Ils sont là, devant nous, dans leur cuisine faite de toile cirée, lino et papier peint assortis.
(…)
Il faut une sacrée palette de jeu pour parvenir à exprimer la moelle de ce message humaniste qu’est cette pièce.
C’est évidemment le cas d’Annette Benedetti et Jean-Marc Galéra qui vont nos procurer bien des émotions.
Les deux comédiens ont su placer le curseur à son exacte place.
Dans ce spectacle, ils ne sont allés ni du côté des Deschiens, ni de celui de l’émission belge Strip-tease.Ils ont parfaitement su mettre en avant l’ambivalence existentielle de leurs personnages, à la fois attachants et horripilants. Ni caricatures, ni photographies.
S’ils vont nous faire beaucoup rire, nous allons être également très émus.
Melle Benedetti est formidable en repoussante mégère.
En blouse rose sur un tricot synthétique, avec un fichu en permanence sur la tête, elle ravit le public en faisant siennes les répliques percutantes de l’auteur, dites avec un plaisir évident.
On aurait

SCÈNES EN SEINE et THÉÂTRE DE L'ACCALMIE

Une collaboration fructueuse

SCÈNES EN SEINE

La Compagnie Scènes en Seine a été créée en Septembre 2003 par Annette Benedetti, elle est depuis soutenue par la Ville de Montereau, la DRAC Ile de France et l'ARS. Par ses activités de CRÉATION, de « petites formes » théâtrales, contées, musicales pour JEUNE et TOUT PUBLIC et de FORMATION ARTISTIQUE pour enfants, adolescents et adultes, elle s'adresse à un public large novice, amateur ou éclairé.

QUELQUES CRÉATIONS

Poison de Lot Vekemans

Zoom de Gilles Granouillet,

Nature D’Ogre Conte Musical de Céline Harlingue

Boulevard du Vaudeville d’après Feydeau, Courteline…

Napoléon ou l’empire des femmes écriture collective d’après la correspondance amoureuse de Napoléon

Elles diront d’Elles Création collective d’aprèsGérard Levoyer, Caroline Paliulis et Xavier Durringer.

Accalmies Passagères de Xavier Daugreilh,

THÉÂTRE DE L'ACCALMIE

"Le théâtre n’est pour nous ni une marchandise ou un objet de consommation, ni un lieu ou un moyen de se “distinguer”. C’est une fête civique, celle de la liberté et de l’intelligence, de la sensibilité et de l’amour, une fête où l’on célèbre, comme dit Louis Jouvet, le seul libre échange dans l’univers, celui des sentiments et des idées."

C'est autour de cette profession de foi qu'Annette Benedetti et Jean-Marc Galéra, après des années de compagnonnage entre leurs deux compagnies, s'associent autour d'un projet commun, et fondent en octobre 2014, à Saint-Seine en Bourgogne, le Théâtre de l'Accalmie. Ils concrétisent ainsi leur souhait de s'inscrire davantage dans une région qui leur tient à cœur, et renforcer les liens avec les habitants. Ils espèrent nourrir des fruits de leur expérience professionnelle la vie culturelle du territoire, sensibiliser et amener de nouveaux publics vers une pratique culturelle et artistique, et donner accès à un théâtre populaire et exigeant.

QUELQUES CRÉATIONS

Natasha ou le lapin de Gerd de Jean-Louis Bourdon,

Histoires Deux, la comédie du couple de Feydeau à Ribes

En Coproduction avec Scènes en Seine :

Après l’amour de Daniel Soulier

La Crise sur le Gâteau Création collective, Cabaret satirique

Le Malade Imaginaire de Molière

Les Sept Jours de Simon Labrosse de Carole Fréchette.


FAQ

Oui, vous pouvez calculer le montant de votre déduction fiscale en cliquant sur "soutenir" - "je souhaite défiscaliser en tant que" - tapez le montant que vous souhaitez donner > le "montant après réduction fiscale" s'affichera automatiquement à droite.

Suivre toutes les étapes nécessaires en remplissant bien les champs adresse mail (sur laquelle vous recevrez le reçu fiscal) et celui de votre adresse postale (champ obligatoire pour l’édition d’un reçu fiscal).

Je contacte proarti : 06 52 37 93 09 // contact@proarti.org

Bien sûr, plusieurs modes de paiement sont proposés.

En vous rendant sur notre site internet : www.scenes-en-seine.fr ou notre page facebook : facebook/Scenes.en.Seine

A quoi sert l'argent collecté

Vos dons nous permettront de rembourser les frais liés à la salle et d'offrir une plus grande visibilité de notre spectacle lors du Festival où des centaines de compagnies seront présentes !

Si les dons récoltés atteignent :

- le 1e pallier , 2820 euros : nous pourrons assurer la location de la salle

- le 2e pallier , 4000 euros :  l'argent collecté nous permettra de renforcer les moyens de communication

- le 3e pallier , 5820 euros : vous participerez à la promotion de notre spectacle et lui donnerez une plus grande visibilité auprès du public (encart publicitaire, programme OFF, etc).


Objectif de collecte

4 000,00 €

Montant Global

15 675,00 €

Dépenses

Désignation Montant

REALISATION

Tractage/Affichage 500,00 €
Publicité/Promotion 500,00 €
Encart 500,00 €
Programme du Off 316,00 €
Location de salle 2 820,00 €
Location Parking 90,00 €
Frais de régie et fournitures 100,00 €
Transport 300,00 €
Défraiements 750,00 €
Assurance 30,00 €
SOUS TOTAL 5 906,00 €

SALAIRES ET CHARGES

2 comediens +1 régisseur 4 500,00 €
Charges Sociales et Patronales 1 735,00 €
Congés Spectacles 650,00 €
SOUS TOTAL 6 885,00 €

SERVICES

Frais de gestion 540,00 €
Attachée de presse 1 500,00 €
SACD 524,00 €
Part Proarti 320,00 €
SOUS TOTAL 2 884,00 €

TOTAL

TOTAL 15 675,00 €

Recettes

Désignation Montant

SUBVENTIONS

Ministère de la Culture/FONPEPS 1 775,00 €
SOUS TOTAL 1 775,00 €

RECETTES

Billeterie 3 600,00 €
SOUS TOTAL 3 600,00 €

AUTRES PRODUITS

Apport Compagnie 6 300,00 €
SOUS TOTAL 6 300,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 4 000,00 €

TOTAL

TOTAL 15 675,00 €

L’AUTEUR


Daniel Soulier est né en 1950 à Bellac en Haute-Vienne.
Après avoir été conducteur de locomotives à la SNCF, Daniel Soulier débute comme acteur à Paris en 1971 avec Mehmet Ulusoy et le Théâtre de la Liberté.
En 1977, il rencontre Antoine Vitez avec lequel il travaille pendant plus de dix ans au Théâtre des Quartiers d'Ivry puis au Théâtre national de Chaillot non seulement comme acteur mais aussi en tant que metteur en scène et marionnettiste. Il réalise entre autres à Chaillot des spectacles de marionnettes d'après Swift, Supervielle, Calvino, Lewis Carroll, Collodi.
Il a joué également sous la direction de Georgio Strehler, Mireille Larroche, Isil Kasapoglu.
Comme metteur en scène, il a créé notamment Marivaux, Lesage, Molière, Pinget, Ionesco, Guitry.
En 1988, il fonde la compagnie Soulier-Fabre, basée en Afrique noire et agissant dans le cadre de la coopération. Il crée Délire à deux de Ionesco, Architruc de Pinget (1988), Voyage en bourgeoisie d'après Sacha Guitry (1989), Dom Juan de Molière (Yaoundé - Avignon 1992), Biboubouah! de Ferdinand Allogoh Oké ( Libreville, Gabon 1994), Opérette Brazzavilloise ( Brazzaville, Congo 1994).
Sa première pièce, Après l'amour, écrite en 1989, est mise en scène par Jean-Christian Grinevald au Théâtre national de Chaillot en 1991, reçoit le prix Nouveaux talents de la SACD en 1992 et est traduite en plusieurs langues. Suivent Bernard est mort (une comédie musicale montée par Didier Patard à Paris), Les Chutes du Zambèze (Jean-Christian Grinevald Théâtre national de Chaillot, 1995), Rue des soucis, La Veuve et le grillon (Daniel Soulier,1995), L'Audition (Gérard Audax, 1996), Dionysos (Daniel Soulier, 1996), Clownesques, Les Punaises. Il est édité par Le Bruit des Autres.

LE MOT DE L’AUTEUR

« Il s'agit là d'un combat entre deux pauvres.

Pas des pauvres de hasard, victimes ou laissés-pour-compte d'une société de profit, non. Des pauvres de «métier », de ceux qui fabriquent du malheur par goût, par volonté ; de ceux pour qui le malheur et la misère sont une nécessité, un moteur, un ressort de la vie. Pour qui la vie n'est pas une rigolade, mais une âpre lutte. Enfin de ceux qui vivent au-dessous de leurs moyens, par manque d'imagination, mais surtout par manque d'imaginaire, de ceux qui économisent parce que « on ne sait jamais », « au cas où », « des fois que ... »

Donc un couple qui se déchire, patiemment, avec constance et opiniâtreté. Lui est à la retraite, suite à une longue vie de labeur, militant communiste car il faut bien changer le monde, ça ne peut pas continuer comme ça. Elle, retraitée également, malheureuse de naissance, de nature, mauvaise et méchante comme la peste. Elle se méfie de tout, à tout hasard, et surtout du communisme, qui menace de tout changer, comme si ce n'était pas déjà assez pire comme ça.

Ils ont traversé la vie et abordent la mort avec une remarquable égalité d'humeur, un courage inébranlable, habitués qu'ils sont à la douleur et à la misère. »

Daniel Soulier / préface à l’édition de sa pièce Après l’amour / prix Nouveaux talents de la SACD

QUELQUES EXTRAITS

LUI — Tu m'as pris l'Huma ?

ELLE — Le voilà ton huma. J'en ai marre du communisme !

LUI — Oh ! c'est pas si souvent !

ELLE - C'est bien assez, pour ce que ça change !

Il feuillette frénétiquement le journal.

ELLE —Qu'est-ce que tu cherches ?

LUI — Rien. Fiche-moi la paix !

ELLE — Ah ! sois poli ! Sinon terminé l’huma. Mais qu'est-ce que tu cherches? Elle jette un œil au journal par dessus l’épaule d’Henri. La nécrologie! C'est donc ça qui t'intéresse tant ? La nécrologie. Tiens, à propos, j'ai rêvé que tu étais mort...

(Elle enlève la capuche puis prend une pomme et range le sac de pomme)

LUI — Ha! mort ?

ELLE— Oui ! mort ! Et tu parlais..., tu parlais...

LUI — Ha ! je parlais ?

ELLE — Oui ! tu parlais ! J'ai rêvé que tu étais mort et que tu parlais.

LUI — A qui ?

ELLE — A moi, bien sûr ! A qui d'autre ? Qui t'écouterait ?

LUI — Et je parlais de quoi ?

ELLE — Je n'en sais trop rien. Je ne me souviens plus. Du communisme, sans doute.

LUI — Ha ! du communisme ?

ELLE — Sans doute ! Et de quoi d'autre ?

LUI — J'ai fait un drôle de rêve, moi aussi.

ELLE — Allons bon ! (vers lui) et quoi donc, mon pauvre homme ?

LUI — J'ai oublié. Je n'arrive pas à me rappeler.

ELLE— Ça ne m'étonne pas !... Elle jette un autre coup d’œil au journal. Mon Dieu ! Il y en a bien, des morts, là-dedans ! C'est pas possible ce qu'il y en a ! Une pleine page ! Et qu'est-ce que tu cherches donc là-dedans ?

LUI — Je ne cherche rien ; je lis les noms, c'est tout. Ça me fait plaisir. Tous ces noms de morts, qui les lira, à part nous, les vivants ? Et qui saura qu'ils sont morts ? Si personne ne lit ça, plus per­sonne ne saura.

ELLE — Mon pauvre homme ! Tu es mou ! Tu as toujours été mou, et tu seras toujours mou. Un mou : voilà ce que tu es ! J’en ai marre du communisme.,,

LUI — Je suis de permanence vendredi à la sec­tion.

ELLE - Tu n'iras pas !

(...)

LUI — Nous sommes au printemps ; et au prin­temps, il pleut ! C'est comme ça dans tous les pays tempérés.

ELLE — On peut dire qu'on a de la chance de vivre dans un pays tempéré !... Si ça pouvait aller un peu tempérer ailleurs!... Ça ne serait pas un mal que ça soit un peu moins tempéré par chez nous ! Je commence à en avoir à mon aise et suf­fisamment de vivre dans un pays tempéré. Re­garde-moi ça ! On est déjà le vingt mars, il pleut ! En avril, il pleuvra encore, car il n'y a pas de rai­son que ça s'arrête! Il nous reste mai et juin, un été pourri et on sera déjà à Noël ! Si tu crois que c'est une vie! C'est du propre ! Ça oui ! C'est du propre ! Mais toi, tu t'en fous du temps qu'il fait! Qu'il pleuve ou qu'il vente, toi, tu as ton journal et tu es content!

LUI — Toujours lisant. En plus, à la fin du mois, on passe à l'heure d'été.

ELLE — On n'est qu'en mars et on passe en été à la fin du mois !

LUI — C'est écrit dans le journal. Tiens! Le dernier dimanche de mars, on va avancer l'heure d'une heure pour passer l'été. Tu sais, ça va être comme pendant la guerre.

ELLE — Encore heureux qu'on n'ait pas les Allemands avec !... Et puis j’ai jamais compris à quoi ça sert d'avancer l'heure d'une heure ? C'est pas pour ça qu'on va plus vite !

LUI — C'est pour économiser le pétrole.

ELLE — Si on veut économiser le pétrole, on n'a qu'à ne pas en acheter et marcher à pied !... Et puis d'abord, je ne vois pas le rapport qu'il y a entre l'heure et le pétrole.

LUI —Je vais t'expliquer...

ELLE — Tu es bien taillé pour expliquer quoi que ce soit ! Tais-toi !

LUI — Mais si ! Ecoute donc : le soir, s'il fait nuit plus tard, tu allumes la lumière plus tard et ça use moins de courant, et le courant, c'est fait avec du pétrole ; et voilà !

ELLE - Et le matin, si on ne veut pas user de courant, on attend qu'il fasse jour pour se lever, et ça, c'est malin ! Ah oui ! c'est malin ! Mon pauvre homme ! Si tu crois que c'est intelligent !

(...)

ELLE - Ça y est donc ! Te voilà mort, mon pauvre homme... Ça devait arriver, à force... Enfin, &cc

Contreparties

Manquerait plus que çà!

pour 10,00 € et +

1 ARTINAUTE

Un GRAND MERCI de notre part sur NOTRE SITE INTERNET et NOTRE PAGE FACEBOOK

(réduction d'impôt particuliers: 7€)

T'as intérêt!

pour 25,00 € et +

4 ARTINAUTES

Une AFFICHE DÉDICACÉE du spectacle OU DU FESTIVAL OFF

+ un grand merci de notre part sur notre site internet et notre page facebook.

(réduction d'impôt particuliers: 16€)

C'est du propre!

pour 50,00 € et +

1 ARTINAUTE

Une PLACE TARIF DÉTAXE (8 €) à Avignon

+ une affiche dédicacée du spectacle ou une affiche dédicacée du Festival OFF

+ un grand merci de notre part sur notre site internet et notre page facebook

(réduction d'impôt particuliers: 33€)

Tu peux être fier!

pour 80,00 € et +

2 ARTINAUTES

Une PLACE OFFERTE sur la représentation de votre choix

+ une affiche dédicacée du spectacle ou une affiche dédicacée du Festival OFF

+ un grand merci de notre part sur notre site internet et notre page facebook

(réduction d'impôt particuliers: 53€)

C'est bien bon pour nous!

pour 100,00 € et +

5 ARTINAUTES

Une CARTE POSTALE en direct du Festival

+ une place offerte sur la représentation de votre choix

+ une affiche dédicacée du spectacle ou une affiche dédicacée du Festival OFF

+ un grand merci de notre part sur notre site internet et notre page facebook

(réduction d'impôt particuliers: 66€)

Le clocher de Landouge

pour 200,00 € et +

0 ARTINAUTES

Le LIVRET ILLUSTRE DU SPECTACLE

+ une carte postale

+ une place offerte sur la représentation de votre choix

+ une affiche dédicacée du spectacle ou une affiche dédicacée du Festival OFF

+ un grand merci de notre part sur notre site internet et notre page facebook

(réduction d'impôt particuliers: 132€)

Le 7ème ciel

pour 300,00 € et +

0 ARTINAUTES

DEUX PLACES OFFERTES pour la représentation de votre choix

+ le livret Illustré du spectacle

+ une carte postale

+ une affiche dédicacée du spectacle ou une affiche dédicacée du Festival OFF

+ un grand merci de notre part sur notre site internet et notre page facebook

(réduction d'impôt particuliers: 198€)

Le paradis

pour 500,00 € et +

2 ARTINAUTES

DEUX DÉTAXES à 8 euros chacune à Avignon

+ deux places offertes pour la représentation de votre choix

+ le livret Illustré du spectacle

+ une carte postale

+ Une affiche dédicacée du spectacle ou une affiche dédicacée du Festival OFF

+ un grand merci de notre part sur notre site internet et notre page facebook

(réduction d'impôt particuliers: 330€)