J'ai toujours eu le goût d'inventer des histoires et le lointain rêve d'un jour les partager sur grand écran.
Autant la musique accompagne mon quotidien à la manière d'une BO , autant le septième art m'anime et m'inspire aussi loin que je puisse m'en rappeler comme moyen le plus approprié pour s'exprimer..
Le film de cinéma donne toute sa place à l'humain dans son processus de création, car il est au centre de chacun des rouages d'où éclot la magie.
L'interprétre donne un peu de sa vie et de sincérité au personnage qu'il incarne, et permet à la mise en scène armée du son, de l'image, et d'innombrables tricheries; d'offrir un véritable souffle de vie à un script, la fiction peut alors exister et devient capable d'emporter le public dans sa ponctuelle réalité parallèle.
En 2008, ne connaissant rien à la fabricationd'un film, j'ai décidé d'aborder les tournages de fictions.
N'ayant alors pour baggage qu'un court cursus théorique universitaire mais nulle formation dans un des domaines de compétences des faiseurs de films.
Je suis entré par la porte de la régie qui représente le lien vitale, pour le bon déroulement du tournage, entre la réalité et la fiction. Le poste d'assistant régisseur adjoint est abordable avec du bon sens, une capacité à s'adapter et une bonne dose d'énergie étant donné la longueur des journées.
Cela m'a permis autorisé à approcher la mécanique d'un tournage. Afin de mieux en connaître les tours et après quelques plateaux aussi divers qu'intéressants en tant que régisseur j'ai décidé de m'intéresser au poste d'assistant réalisateur.
Je me suis rendu compte au fur et à mesure des courts-métrages, publicités et clips que j'ai tourné à ce poste qu'avec celui de chef-opérateur, ils étaient les deux clefs à la bonne maîtrise d'un tournage quand bien sûr la régie a "géré" le réel en amont et que le réalisateur est dans son film. Le poste de premier assistant réalisateur m'intéresse beaucoup même s'il résonne en totale contradiction avec mon organisation dans ma vie personnelle qui est moins "temporisée".
Mon intention première était de pouvoir porter mes scénarii à l'écran et aujourd'hui après plus de 15 ans à arpenter les tournages des films d'autres, je mes sais enfin suffisamment mûr pour entrer en action.
J'ai pu m'essayer à la réalisation sur quelques clips grâce notamment à un ami artiste. L'expérience m'a plus mais je souhaite aujourd'hui partager mon univers à l'écran. L'automne 2025 est une période idéale pour le tournage de mon premier film (CM17') intitulé "Sauf qui peut" .
Les financements sont compliqués à réunir côté CNC, région car très loin de certaines grilles de lectures.
Après avoir essayé il y a quelques années à deux reprises en passant par deux producteurs de la région rhône-alpes. J'ai les capacités aujourd'hui de réunir une partie des fonds qui me permettront une totale liberté po pour lequel sont déjà partants au casting et à la technique des professionnels aguerris du cinéma.
Le fil conducteur de mes histoires s'incarne dans une question :
Où et quand naît ou meurt notre capacité à agir ?
Merci d'avoir pris le temps de lire ces quelques lignes et pour qu'il y ait des histoires il en faut déjà une donc n'hésitez pas à soutenir mon premier film si le coeur vous en dit !