Collectif 36bis

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Membre depuis le 18/01/2017
Site web : http://www.collectif36bis.com
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Biographie




LE COLLECTIF 36 BIS

C’est en 2012, à la sortie de leurs études au Théâtre national de Strasbourg, qu’Alain Carbonnel et Brice Cousin, imaginent le Collectif 36bis. Partant du principe que pour faire du théâtre il faut au moins être deux, ils décident de créer un regroupement d’artistes (metteurs en scènes, comédiens, danseurs, circassiens, techniciens, scénographes), partageant leurs savoirs, leurs outils, leurs regards, leurs influences afin de s’enrichir les uns les autres. Le Collectif 36bis, c’est avant tout l’envie de faire un Art accessible à tous. S’ouvrir vers le public en proposant des formes variées, le sensibiliser au spectacle vivant en allant à sa rencontre : partager, discuter, rire, pleurer, détruire toute barrière entre l’artiste et le spectateur afin de pouvoir partager un instant d’humanité… Outre ses actions de créations et d’explorations, le collectif 36bis souhaite transmettre l’amour des arts, par le biais de rencontres et de projets citoyens, car initier le spectateur, c’est le rendre plus sensible et plus attentif au monde.

 

LA CHARMANTE COMPAGNIE

La Charmante compagnie s’est constituée autour de la défense des écritures contemporaines. Les rencontres avec les auteures Bruno Allain (Tu trembles, créé en avril 2014 à Confluences), Dorothée Zumstein (Never, Never, Never, crée en mars 2017 au Théâtre Studio d’Alfortville) et aujourd’hui Sabryna Pierre ancrent aujourd’hui la volonté de Marie-Christine Mazzola de faire découvrir au plus grand nombre et sans fioriture ces dramaturgies du présent. La recherche scénique de cette metteure en scène se construit autour de la restitution des dimensions sensitives du théâtre et vise à rendre le spectateur actif dans le regard qu’il porte et le rapport qu’il entretient au plateau. Elle envisage le théâtre comme lieu de réunification face à un monde qui se livre trop souvent sous le signe de l’éclatement et de la frontière, et ses créations cherchent à retisser le lien qui nous unit (mais trop souvent nous échappe) par la remise en question de notre impuissance sociétale.