Un rêve Occitan

Une web-série de Vincent Mardelet sur les mystères de l'Occitanie ( Réalisation de deux épisodes).
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION,
DIFFUSION,
DÉMOCRATISATION CULTURELLE

Présentation du projet

Un rêve occitan est un projet de série web-documentaire indépendante.

Son l'objectif est de revisiter l'histoire mystérieuse de l’Occitanie en mettant en avant ses résurgences contemporaines dans les lutes sociales et culturelles dans un monde en crise et transition…


POURQUOI CETTE SERIE ?

Ce projet me tient à coeur depuis maintenant plusieurs années, puisque j’ai commencé à chercher dès 2010, mais ma passion pour cette région et ses mystères date en réalité de mes études.

Portée au départ par mon intérêt pour les cathares et les troubadours, cette quête m’a ensuite conduit jusqu’à la fin du monde en 2012 à Bugarach et aux mystères du Razès dans l'œuvre de Jules Verne.

Dans cette région comme dans d’autres endroits du monde, les visions de phénomènes OVNI se sont multipliés. Ce qui se révèle m’amène dans divers lieux et soulève d’autres questions liées aux Cathares et aux Templiers, ainsi qu'aux Visions de Fatima et aux peuples de la mer. Aux travers de mythes, de légendes et de symboles découverts sur place, émerge le récit surprenant d’un savoir oublié …

J’ai à ce jour réussi à réaliser les deux premiers épisodes de cette série, presque exclusivement à partir de mes propres moyens (épisodes que vous pouvez visionner juste plus bas) ; le financement participatif que je lance maintenant permettra de poursuivre la série avec la réalisation des prochains épisodes.

Votre soutien à cette campagne de financement me sera réellement précieux pour optimiser le niveau technique des prochains épisodes, et me donner la possibilité de m’équiper en matériel et solliciter davantage de professionnels pour l’écriture, la réalisation, la promotion, la distribution et l’édition…

L'idée de départ était de réaliser 7 épisodes, mais avec le montage des 2 premiers et les éléments que j’ai découverts par la suite, je me suis rendu compte que je pourrais en faire beaucoup plus.

C'est selon les moyens qui résulteront de ce crowdfunding et des autres sources de financement, que la série pourra continuer à se développer.

Les épisodes sont construits selon la dynamique de mon propre cheminement : l’équipe actuelle envisage d’aller jusqu’à 12 épisodes ( comme les 12 boules des quatres branches de la croix symbole de la Région Occitanie.)

J’apparais d’abord comme un personnage naïf et désabusé, qui accepte comme une voie de connaissance l’immersion dans les différents univers rencontrés, qu'ils soient rationnels, fantasmés, mystiques ou orientés idéologiquement.

Malgré son côté en apparence un peu décalé, mon personnage est également animé par une réelle soif de savoir et de compréhension.

Avec cette série, je vous invite à vous joindre à mon exploration des mystères d’une étonnante en vous faisant partager une quête qui vous emmènera vers des découvertes riches de sens.

Inspiré par l’esprit du Gai Saber (Gai savoir) des Troubadours, je tente de construire mes épisodes avec l’idée que des savoirs restés cachés peuvent être accessibles à tous de manière simple et ludique.

Je vous propose de visionner la bande annonce du premier épisode : « Le début de la fin » pour vous faire découvrir l’univers de cette série documentaire.

Bande-annonce - épisode 1 - Le début de la fin :


GENESE DE L’EPISODE 1 :

J'ai commencé à venir dans l'Aude et dans l'Ariège à partir de 2012 pour y faire du repérage et des images.

Les années suivantes, je revenais de temps en temps pour y faire des rencontres, suivre des évènements, réaliser des prises de notes, des prises de sons, des images et des interviews, sans vraiment trouver comment attaquer le sujet.

Au départ, ma thématique principale était celle des cathares.

La construction initiale s’est avérée difficile à réaliser, notamment à cause du manque de traces tangibles concernant le passé du Catharisme Occitan, mais aussi du fait de la diversité des interprétations sur un même sujet.

Début 2019 j'étais assez découragé car je ne savais pas par quel bout commencer, jusqu'a ce qu'une chute de ski en février m’immobilise pendant plusieurs mois.

J'avais du temps. J’ai donc fait un état des lieux sur l'ensemble des rushes accumulés et petit à petit une construction a pris forme.

Je me suis efforcé d'utiliser les contenus créés pendant mes recherches (notes audio, images tournées avec des caméras que j’ai eu à ce moment-là, ou à l'arraché avec des caméscopes), plus comme les outils d'un chercheur qui met au jour des éléments et se doit de les mémoriser, que comme un réalisateur qui suit une histoire pré-écrite.

J'ai ensuite fait un travail de recherche d'archives ­— libres de droits le plus souvent — sur le web (source INA, films américains, journaux d'informations télévisées, Art vidéos, citations, extraits poétiques).

Lorsqu’un récit a commencé à émerger du croisement de ces multiples empreintes audiovisuelles, j'ai lancé un petit pot commun de 2000 E pour finaliser le travail d'écriture et de montage.

Le 1er épisode se présente donc comme la reconstruction du cheminement même de mon travail, avec les aléas de parcours et aboutit à Bugarach et la fin du monde en décembre 2012.

Connaissez vous Bugarach ? cette montagne qui, avait-on prédit en 2012, devait être l’ultime refuge pour les survivants de l’apocalypse ?

Vous pouvez le découvrir en regardant le premier épisode de la série :

Episode 1 - Le début de la fin :


Agnès Varda dit qu’il n'y a pas de technique seule, « c'est le sujet qui impose la technique ».

Réalisation cousue main, «bricolée» en quelque sorte : c’est le parti pris — un peu contraint, certes — des moyens limités, mais aussi d’une souplesse technique qui peut s’adapter à saisir les inflexions des sujets traités, questionner les relations du réel et de l’imaginaire dans le déroulement des épisodes.


LE DEUXIÈME ÉPISODE

Avec l'obligation de confinement, j'ai décidé de monter un deuxième épisode, un peu comme je l'avais fait lors du premier, puisque ce n'était pas le meilleur moment pour espérer trouver une structure de production. Je me faisais à l'idée que je devrais produire moi-même ma série et, profitant des vacances d'été déconfinées, j'ai pu faire à nouveau des prises de vues.

En juillet, une collaboration avec l'association H.O.R pour filmer l'ensemble de leurs manifestation à Rennes-les-Bains, m’a permis d'interviewer les intervenants sur place avec la possibilité d’utiliser ces contenus rapidement.

Bande-annonce - épisode 2 - On n'est pas sorti de la berge :


Comme à la fin du premier épisode, je ne savais toujours pas pourquoi il y avait eu cet évènement de fin du monde en 2012 à Bugarach — que les médias avaient alors beaucoup caricaturé comme un délire apocalyptique new age —, je décide d’en savoir plus sur les ramifications de cette histoire et reprends ce que m’avait dit Charly Samson sur cette montagne mystérieuse, au printemps 2012.

J’avais presque oublié qu’il m’avait parlé de la venue de Jules Verne, et de son utilisation de l'écriture codée dans l’un de ces romans : Clovis Dardentor.

Vous pouvez suivre cette enquête dans le deuxième épisode…

Episode 2 - On n'est pas sorti de la berge :


LE TROISIÈME ÉPISODE

A travers l’exploration de Bugarach et des romans de Jules Vernes émerge l’image de la barque à la fois céleste et terrestre…

Barque terrestre qui a porté les Saintes Maries de la Mer au pays des gens du voyage.

La Vierge Marie de la Basilique Notre Dame de la Fin des Terres est une énigme stimulante : sa nef en pierre est chargée de symboles à décoder et nous entraine dans la voie de Marie-Madeleine et du Féminin sacré…


LE QUATRIÈME ÉPISODE

Rennes-le-Château et Rennes-les-bains forment un triangle avec Bugarach. Des évènements y ont lieux régulièrement et des histoires mystérieuses aux multiples ramifications y sont racontées.

Quels sont les enjeux contemporains de ces mystères déjà tant rebattus ?

Dans les prochains épisodes nous traiterons avec votre soutien :

- la tradition alchimique et médicale de Montpellier

- le parcours initiatique de Nîmes ( place d’Assas )

- la ville de tous les périls selon Nostradamus : Agde

- la connvivencia entre les 3 monothéismes ( inspirée par Lunel

- la spécifié de la langue Occitane et ses liens avec le Celtisme

- la résurgence du Catharisme à travers Montségur et les grotte d’Ussat les Bains

- la musique sacrée des Troubadours à travers Puivert et les festivals locaux

- les mystères Templiers à travers leurs forteresses et villages fortifiés

et bien d’autres choses

Pour finir la série avec la conjonction des opposés : quand le soleil rencontre la lune ( O C) l’orient l’occident ; il sera temps de se réveiller ….


LE REALISATEUR

Après un cursus complet aux Beaux arts d’Avignon où j’ai obtenu le DNSEP avec une création scénique et audiovisuel, j’ai étudié les arts traditionnels du Bouddhisme du Tibet et leur philosophie.

J’ai ensuite enseigné pendant dix ans, en milieu scolaire et dans différentes structures éducatives et sociales, la photo, les arts plastiques et la vidéo. Mais j’espérais pouvoir reprendre la recherche commencée pendant mes études, qui m’avait mené sur des chemins inattendus liés à l’Histoire et aux mythes.

J’avais déjà en tête la réalisation d’un documentaire-fiction sur cet inconnu de l’Histoire, Émile Baudin, dont j’avais réalisé un pilote pendant mes études.

Comme je manquais de connaissances dans le milieu de la réalisation et de la production et qu’il fallait que je gagne ma vie, je me suis lancé dans les captations de concerts de musique et de spectacles.

Mais je ne me réalisais pas dans ce monde d’artistes et je ressentais la frustration de ne pas suivre mes propres aspirations.

Je me suis encore impliqué dans plusieurs autres projets de réalisation de documentaires, mais j’observais toujours ce repli du monde artistique sur lui-même, et j’étais plus inspiré par les modèles anciens de chercheurs, alchimistes ou nomades, que par une carrière d'artiste dans un monde effréné et lancé vers un futur improbable.

J’avais déjà mis les pieds dans la méditation et le chamanisme, et je ressentais beaucoup d’interêt à faire se rencontrer l’art, la technique et les savoirs traditionnels et ancestraux.

Cette petite voix intérieure m’a décidé à partir en quête avec les moyens du bord.

Votre participation me permettra de vous emmener dans ce fascinant voyage...

Vincent Mardelet

A quoi sert l'argent collecté

Vos contributions sont défiscalisables : un don de 50 € vous coûtera en réalité 17 €. (66% de défiscalisation.)

100 € vous coûtera 34 €.

Si vous donnez 250 €, il vous en coûtera 85 €. 

Et ainsi de suite.


Je ne suis pas parti sur une approche classique de la réalisation avec l’écriture d’un scénario et le financement par le biais d’un producteur.

Je suis d’abord allé sur place et me suis immergé dans des éléments que j’ai recueillis ; ainsi mon projet a pris forme progressivement.

Comme je n’ai pas beaucoup de relations dans le milieu audiovisuel, il ne m’a pas été aisé d’aborder des producteurs avec cette idée, assez inhabituelle pour eux, et les quelques professionnels que j’ai contactés n’ont pas donné de suite favorable.

Finalement ce sont des amis dans la réalisation qui m’ont encouragé à me lancer en auto-production indépendante via les réseaux sociaux.

Enfin, pour débuter ce financement participatif, je me suis adressé à l’association H.O.R (Heuristique Occitane Résurgence) — avec laquelle j’ai travaillé en audiovisuel sur l’un de leurs événements — qui a accepté de devenir la structure porteuse.

Le budget auquel vous allez participer servira donc à réaliser les deux prochains épisodes de la série, c’est à dire le N°3 et N°4.

J’ai intégré dans ce budget du matériel à louer et/ou à acheter, du défraiement pour les déplacements et les frais de logements et de nourriture, un pourcentage pour l’administration de l’association, le salaire des techniciens du son, de l'image, du montage et du mixage, ainsi que mon salaire de réalisateur.

Vous trouverez ci-après le détail complet de ces engagements.

Merci beaucoup à vous de me soutenir dans ce projet de réalisation.


Objectif de collecte

6 600,00 €

Montant Global

23 330,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Salaires

Prises de vue, son, montage, effets (charges comprises) 10 500,00 €
SOUS TOTAL 10 500,00 €

Matériel et machinerie

Loc et/ou achat trépieds et slider 550,00 €
Achat Kit micro cravate + micro camera 750,00 €
Achat Kit Eclairage intérieur + autonome extérieur 350,00 €
Loc et/ou achat camera et drone etc 2 100,00 €
SOUS TOTAL 3 750,00 €

Défraiement : Transports, hébergements, repas

Repas 850,00 €
Hébergements 600,00 €
Transports 800,00 €
SOUS TOTAL 2 250,00 €

Frais divers

Achats de droits artistiques (Musiques, films) 850,00 €
Frais divers et imprévus 2 300,00 €
Administration et comptabilité 1 050,00 €
Assurances 600,00 €
Commission proarti (8%) 2 030,00 €
SOUS TOTAL 6 830,00 €

TOTAL

TOTAL 23 330,00 €

Recettes

Désignation Montant

Proarti

Financement participatif proarti 6 600,00 €

TOTAL

TOTAL 6 600,00 €

« Nous croyons tous plus ou moins obscurément que l'humanité commence au monde moderne... »

Ce constat un peu triste, Charles Péguy le faisait il y a plus d'un siècle. Depuis, le malaise, qui n'a cessé de grandir dans notre civilisation, a plongé dans l'inconfort moral et dans la désorientation un nombre croissant d'individus. Pour apaiser leur angoisse, beaucoup s'occupent, consomment, s'étourdissent ou se distraient. D'autres se sentent poussés vers une aventure à laquelle rien ne les avait préparés : ce sont les chercheurs.

Bien sûr ils se trompent assez souvent, sur l'objet de leur quête, sur la route à suivre, sur la manière de s'orienter, sur la valeur de leurs croyances ou de leurs fantasmes. Il n'en reste pas moins que c'est par eux que se fera le monde de demain. Que celui qui n'a jamais erré leur jette la première pierre.

Ce qu'ils cherchent en réalité, à leur façon si maladroite et si confuse, c'est justement cela : se reconnecter à l'humanité de toujours. Oui, mais comment s'y prendre ? En quel lieu, en quel temps peut-on faire cela ? Il est bien difficile de le savoir. Trop d'informations manquent, trop de certitudes font défaut. En définitive on ne peut que le supposer, l'imaginer.

Il s'agirait, disons, d'un pays qui aurait un cœur secret, frémissant, mais non inaccessible ; où l'homme serait encore pleinement relié à la nature ; où la vie entière, simple, pourrait s'écouler dans la lumière de la vérité. Un pays où l'individu n'aurait pas oublié sa race, et saurait de lui-même prendre son rang parmi les générations, entre ses ancêtres et sa descendance. Un pays qui spontanément verrait fleurir la civilisation dans ses plus beaux atours : la liberté, l'éducation, la culture, la poésie, l'amour.

Occitanie est l'un des noms de ce pays. Occitanie rêvée bien sûr ; mais certains parmi les plus fins connaisseurs n'ont-ils pas affirmé justement que l'Occitanie, ça n'a jamais été rien d'autre que cela : un rêve ? Un rêve très ancien

sans doute, car ce n'est pas d'hier que ce pays se cherche, s'invente, essaie de s'incarner. Et un rêve inachevé, dramatique, amer.

Rêve féodal d'abord, ou plutôt impérial. La maison de Saint-Gilles, qui fut un temps la candidate la plus sérieuse à l'empire de l'Occitanie, était issue des anciens comtes de Rouergue, une vieille famille d'origine carolingienne. Au XIIIème siècle les Raymondins sont foudroyés en plein essor. Rêve fraternel aussi. Dans une société marquée par les inégalités de toutes sortes, l'idéal chevaleresque apporte l'espoir d'une vraie humanité, une aspiration légitime et universelle à la vérité, à la justice et à l'amour : c'est le « parage » et la « courtoisie ». La croisade fait disparaître presque tous les chevaliers occitans. Rêve spirituel enfin. Les « Bons hommes » et les « Bonnes femmes » parcourent en tout sens le pays, semant un message de paix, de pardon et de salut. Ils disparaîtront bientôt dans les flammes de Montségur.

À n'en pas douter cette triple catastrophe a durablement marqué la mentalité occitane, avant d'être lentement oubliée. Mais voici qu'après bien des siècles resurgit une ancienne mémoire, au temps des querelles identitaires et communautaires. Elle persiste et perdure, malgré les guerres de chapelles, les à- peu-près de l'information et les tentatives de récupération. On aimerait savoir pourquoi.

Ainsi, par exemple, que signifie la vogue des néo-cathares ? Au-delà d'un mystère facile, et une fois renoncées toutes les chasses au trésor (qui certes ont leur intérêt, outre de prêter à confusion avec les Templiers, les Wisigoths, et autres mythologies méridionales...), que reste-t-il, vraiment, de ce qu'on appelle encore le catharisme ? Pourquoi cet héritage, si mal compris parfois, si déformé, serait-il aujourd'hui plus précieux qu'un autre ? De qui parlons-nous, quand nous évoquons ces hommes qui s'opposèrent frontalement aux autorités morales, religieuses ou politiques de leur temps ? Et pourquoi continuons-nous si volontiers à le faire, au point, pour certains, d'y consacrer toute une vie ?

On l'aura compris, ce sont les raisons profondes de cet engouement qui constituent la véritable énigme du phénomène néo-cathare. Ce sont elles qu'il faudrait interroger, le plus directement et le plus clairement possible. Ainsi se définirait plus précisément l'objet d'une véritable enquête : non pas les hommes et

les faits eux-mêmes, mais les motivations réelles des discours qui les prennent pour matière — et elles sont peut-être plus nombreuses qu'on ne croit. Car on s'aperçoit vite — et l'on devait s'y attendre — que chacun a ses idées sur ces questions si débattues, et défend des intérêts moraux ou intellectuels, une vision qui n'appartiennent qu'à lui.

Comment, donc, épouser la multiplicité des points de vue, pour les éclairer tous ? Il nous a semblé que, dans une enquête portant sur les opinions et les représentations, le parti le plus radical serait le plus fécond : celui d'une subjectivité préalable, assumée et durable. Vincent s'est chargé très vite d'incarner ce personnage de vrai-faux naïf embarqué dans une entreprise qui le dépasse, entraîné dans des aventures et des rencontres surprenantes, et finalement rendu à sa propre solitude intérieure, désarroi fécond qui lui permet d'interroger, outre les modes qui passent, le monde tel qu'il se donne à voir, surtout dans ses dysfonctionnements. Ainsi se dessine, dans notre projet artistique, la somme des thèmes et des questionnements que l'individu en recherche doit affronter pour accéder à sa propre conception de la réalité, plus juste, plus apaisée, plus humaine sans doute.

Pierre-Alain Drules.

Contreparties

Lien pour visionner les deux épisodes

pour 20,00 € et +

11 ARTINAUTES

En participant avec un minimum de 20 euros vous obtiendrez un lien pour visionner les deux épisodes gratuitement.

Votre nom dans le générique + lien

pour 50,00 € et +

4 ARTINAUTES

En participant à un minimum de 50 euros, votre nom et prénoms seront inscrit en fin de générique et vous obtiendrez un lien pour visionner les deux épisodes gratuitement.

Votre nom dans le générique + lien et bonus

pour 150,00 € et +

4 ARTINAUTES

En participant à un minimum de 150 euros, votre nom et prénom seront inscrit dans le générique des épisodes 3 et 4comme contributeurs et vous obtiendrez un lien pour visionner les deux épisodes gratuitement. Vous pourrez aussi obtenir un lien privé pour télécharger des bonus sur simple demande.

Votre nom comme contributeur généreux + lien et DVD

pour 1 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

Pour votre participation à un minimum de 1000 euros, votre nom et prénom seront inscrit dans le générique des épisodes N°3 et 4 comme contributeurs généreuxet vous pourrez recevoir un DVD des 4 épisodes avec des bonus sur simple demande et vous obtiendrez un lien pour visionner les deux épisodes gratuitement.

Votre nom comme contributeurs exceptionnels + lien, DVD et invitations

pour 5 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

A partir d'une contribution de 5000 euros, votre nom et prénom seront inscrit au début des épisodes N°3 et 4 avec la mention "contributeurs exceptionnels" et vous pourrez recevoir un DVD des 4 épisodes avec des passages et des interviews en bonus sur simple demande et vous obtiendrez un lien pour visionner les deux épisodes gratuitement. Vous serez également invités à toutes les manifestations liés au projet.