TILL THE END

AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION,
DIFFUSION
CRÉATION ÉMERGENTE

Présentation du projet

Till the end est un projet de court métrage musical ambitieux. Le réalisateur Jonathan Steuer, la compagnie de danse Outsider et le musicien Jack Bartan s'allient pour créer cette ambiance surnaturelle de dernière rave avant la fin du monde. Le Château de Fontainebleau nous ouvre exceptionnellement ses portes pour un tournage nocturne en plan séquence. 

 

 

                                

 

 

Le projet

Concept: 

Il fait nuit et la lune brille d’une intensité surnaturelle, la fin du monde est proche. Nous suivons en plan séquence un jeune couple au bord de la rupture qui se rend malgré tout à une étrange soirée dans un château sans âge. Dernier bal avant la fin. Le couple pénètre dans l’immense batisse, la soirée bat son plein, les gens dansent dans une ambiance fantasmagorique. Là, les deux âmes s’expriment à travers la danse, comme un ultime sursaut de vitalité.

 

 

 

                                  

 

 

Je souhaite dans ce film développer une réelle progression narrative et dépasser le simple film de danse. Mettre la danse au service de la narration comme la pantomime. Les personnages évoluent de salles en salles au rythme de la danse.

Je veux avant tout provoquer des sentiments forts et ambigus chez le spectateur, une synesthésie naturelle entre l’image et le son. Je veux le spectateur attiré, absorbé presque malgré lui, comme un vertige face à un précipice.

J’ai imaginé un film en quatre actes : une introduction où nous découvrons nos protagonistes, un couple au bord de la rupture, qui arrive en voiture à une soirée sauvage. Nous découvrons aussi à la fin de cet acte, une lune anormalement énorme. Le second acte, le couple consomme sa rupture, du moins symboliquement. Ils se séparent, la jeune femme s’enfuit mais l’homme ne peut se résoudre à la laisser partir et la suit. Au troisième acte, ils courent, errent, déambulent ou dansent dans les couloirs sinueux du château comme une parade pour se reconquérir. Au dernier acte, la femme a atteint une scène. Elle prend la tête d’un groupe de danseurs. L’homme la rejoint et dansent ensemble.

Lorsque notre couple arrive à la fête, je veux que l’ambiance soit pesante. Plus que l’atmosphère électrique entre un couple qui vient de se disputer, je veux que l’on ressente une inquiétante étrangeté. Un truc cloche. La foule danse mais beaucoup d’émotions différentes les émulent. On observe une sensation de fin du monde.

Je veux que mon film saute à pieds joints dans l’expressionnisme. Nous percevons la réalité à travers les yeux de nos protagonistes. Cette fin du monde, c’est la fin de leur monde. Pour cela, nous utiliserons des focales courtes au plus proche des personnages pour renforcer l’aspect immersif de film tout en jouant sur les déformations induites par l’objectif.

De plus, je projette d’éclairer l’action uniquement avec des spots postés derrière les fenêtres du château symbolisant la lumière excessive d’une lune prête à s’écraser sur la terre.

La foule danse. Ils dansent. Le monde se fait plus stylisé. Les corps se tordent, se contorsionnent, transpirent, suintent. Le corps est une problématique centrale dans mon œuvre. J’ai besoin d’explorer leur limite, lécher les peaux et les textures avec ma caméra. Faite de larmes et de sueur, glorifiant l’énergie de ces corps en transe qui dansent et qui s’étreignent de manière fugace.

L’utilisation de plan séquence me permet de garder une unité de temps et de lieu qui m’intéresse tout particulièrement dans ma volonté d’explorer ces interactions humaines. Ce format sera rythmé entre de longs plans flottants et des moments au rythme frénétique. Enfin, quand la fatigue engourdit les corps et l’esprit, nos protagonistes se rapprochent et leur couple renaît.

Je cherche avec ma mise en scène une forme différente de narration afin de rendre justice aux sensations que l’on éprouve. L’atmosphère doit être palpable. L’image doit être organique et brutale.

 

 

                                  

 

 

Rencontre avec Jonathan, historique

J’ai rencontré Jonathan il y a maintenant un an. J’ai tout de suite été frappé par l’énergie, la fougue et la passion qu’il dégageait. A 18 ans il avait déjà réalisé plusieurs dizaines de films de danse, un film pour Red Bull, des projets avec Arte, un court métrage, monté une compagnie de danse et il parlait de ses prochains projets avec des étoiles dans les yeux. J’ai rapidement su que j’avais envie de travailler avec lui et nous avons lancé plusieurs projets ensemble. Une publicité en plan séquence avec des danseurs dans un champ de lin, un ambitieux clip en plan séquence où nous suivons un soldat de la première guerre mondiale sortir d’une tranchée et monter au front et celui que nous vous présentons aujourd’hui.

Le projet.

Ce projet naît d’une vision commune entre l’artiste et Jonathan : Un plan séquence dans un château majestueux avec des dizaines de danseurs. L’idée de pouvoir ramener une culture de danse underground dans un lieu magique, empreint d’histoire. Un discours sur la fin du couple mis en parallèle avec le sentiment que la fin du monde, propre à notre génération. Cohérence avec ce que nous faisons, ce que Jonathan fait et l’œuvre musicale. Le plan séquence.

Depuis que nous avons créé Incendie, nous nous efforçons de produire des œuvres de plus en plus ambitieuses, à la frontière entre le clip et la fiction. Ces projets que nous défendons sont à la fois des œuvres personnelles, des regards sur le monde et à la fois des défis collectifs que nous relevons avec nos équipes. Ce clip s’inscrit dans cette continuité et dans celle de du chemin artistique de Jonathan. En effet, son travail se construit depuis le début autour de la danse, notamment underground avec toujours une volonté de retranscrire au plus proche l’énergie et le réelle de ces performances, souvent en utilisant le plan séquence. Il développe également des projets de fiction autour de la danse et ce clip s’inscrit à la frontière entre ces deux formes.

Le plan séquence.

L’autre défi majeur du tournage, c’est bien sûr le plan séquence. Nous ne souhaitons pas le “tricher”, nous souhaitons vraiment que le film fini soit une et une seule prise du plan. Pour se faire nous organiserons bien sûr des répétitions hors du décors avec les danseurs pour que les chorégraphies et mouvements dans l’espace soient bien intégrés pour tout le monde. Nous ne pourrons malheureusement pas disposer du décor à notre convenance nous devrons donc faire un travail préparatoire à l’aide de techniques de visualisations 3D des espaces pour que l’équipe technique puisse préparer en amont la mécanique et l’installation du décor. La veille du tournage, nous procéderons à l’installation des lumières et au premier rodage
mécanique de la caméra. La journée de tournage sera donc séparée en deux temps : des répétitions puis le filmage à partir de la mi-journée.

Les danseurs.

Pour que ce film marche, nous avons besoin d’un casting de danseurs extrêmement exigeant. En plus des deux personnages principaux nous aurons plusieurs centaines de danseurs dans le film et nous ne pourrons pas nous permettre de trop grandes différences de niveau entre les différents danseurs car nous avons l’impérieuse nécessité que la chorégraphie de caméra et la chorégraphie de danse fonctionnent rapidement. Heureusement nous pouvons compter sur l’impressionnant réseau de danseurs de Jonathan et sa compagnie Outsider. Nous avons déjà travaillé avec certains de ces danseurs et nous savons que le niveau et l’exigence de danse seront au rendez-vous.

Le décor.

Nous avons l’immense privilège d’être soutenu dans notre démarche par le château de Fontainebleau avec qui nous sommes en train de finaliser un contrat de co-production. Ils sont très sensible au projet et le considère comme une opportunité d’exploiter le château différemment. Il nous ont fait la généreuse offre de mettre totalement en participation les frais de
location du château et nous pourrons compter sur eux pour faciliter au maximum la fabrication du projet.
Ce projet représente un défi technique et artistique extrêmement motivant pour toute l’équipe et nous espérons qu’il saura vous toucher.

 

 

 

Qui sommes nous ? 

                                                             

                                                                               Le réalisateur : Jonathan Steuer

 

Jonathan est un jeune réalisateur de 20 ans, passionné par les corps et le mouvement il commence à réaliser des films de danse avec les plus grands danseurs du moment (Lil Bucks, Les Twins...). Il monte sa compagnie de danse “Outsider” et monte un spectacle qu’il joue dans toute la France depuis 1an et prochainement au palais des glaces. Depuis 3 ans il a réalisé plusieurs clips et court-métrages, des films pour Courrege, Dior, RedBull ainsi qu’une campagne ambitieuse pour plusieurs créateur de luxe (Jacquemus, Hermes, Agnes B) autour du Lin.
Il développe un véritable rapport chorégraphique à la caméra et ses projets sont remplis de plans séquences ambitieux.
Il développe un long-métrage avec Bel-Air Media, une série d’anthologie avec Arte. Il vient de signer le clip «Les oiseaux» de Pierre de Maere, produit par Incendie. Un plan séquence qui nous entraine dans les tranchées de la guerre 14-18.
 

 

                                                             

                                                                              L'artiste musicien : Jack Bartman 

 

Musicien depuis ses 10 ans, Jack Bartman a composé pour de nombreux projets cinématographiques et scéniques.
Fasciné par les cultures de la rue ou des clubs, cet artiste autodidacte explore sans cesse de nouvelles manières de mettre en scène sa musique. Aujourd’hui, il entame une collaboration solide avec les danseurs tout en travaillant sur son troisième album.

 

                                                             

                                                                                              Les danseurs 

 

OUTSIDER est une compagnie de danse créée en 2020 par Jonathan Steuer. Outsider, c’est l’histoire d’un pari. Celui de réunir des danseurs pluridisciplinaires dont les personnalités nourrissent des créations artistiques innovantes. Outsider, c’est la compagnie qui se réinvente, sur le fond et sur la forme. De par son fonctionnement, ses valeurs et son regard, elle se veut novatrice et unificatrice. Outsider, c’est aussi une ambition. Celle d’être présente sur la scène comme sur les écrans. Car consciente des enjeux de la digitalisation, la compagnie met son savoir-faire en image au service du mouvement, de l’humain et de la création. Nos deux danseurs principaux Julie et Mounir sont issus de cette compagnie. 

Julie Vives se situe entre danse classique et contemporaine et se forme à l’Académie internationale de la Danse où elle aura l’opportunité de travailler aux côtés de plusieurs chorégraphes (Aziz Baki, Benoît Swan Puffer, Abdur Ahim Jackson...). Ces expériences ainsi que sa pratique des arts martiaux la poussent à développer son identité. Julie grandit également à travers
les voyages. De l’Espagne à l’Italie en passant par l’Arabie Saoudite, s’ensuit une formation de Technique Gaga en Israël au Suzanne Delal Center. La danseuse se nourrit de toutes ces différentes rencontres pour faire évoluer son art. Elle continue de s’enrichir, de parfaire ses connaissances de la danse contemporaine en explorant les différentes manières de la traverser.

Bboy Mounir est multiple champion de France et champion du monde, et danse depuis 15 ans. Après un apprentissage du breakdance, il se forme à l’AID où il découvre la danse contemporaine. Aujourd’hui il fait partie des grands talents français et représente son pays d’origine lors de prestigieuses compétitions internationales ou pour certaines marques comme Disney ou Nike. Mondialement reconnu pour sa pédagogie, il parcourt le monde pour partager son expérience lors de workshops.

 

                                                                                            La production

INCENDIE FILMS est fondée en 2017, produit des films pour la musique, le cinéma et la publicité. Véritable studio créatif nous abordons chaque projet comme un défi artistique et technique et nous avons à coeur de mêler performance de mise en scène et narration. Nous avons produit plus de 100 clips pour des artistes de tous horizons
(Moby, Booba, Louane, NTO, Hamza, Malik Doudi ...).

A quoi sert l'argent collecté

L'argent collecté servira à rémunérer une partie de l'équipe technique, aux décors, costumes et accéssoires du film ainsi que pour la post-production.


Objectif de collecte

10 000,00 €

Montant Global

53 407,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Equipe technique

Equipe son 292,00 €
Equipe déco & costumes 3 073,00 €
Equipe prise de vue 2 930,00 €
Equipe production et régie 1 174,00 €
Equipe de réalisation 2 324,00 €
Equipe de post production 1 017,00 €
Dossier artistique 750,00 €
SOUS TOTAL 11 560,00 €

Charges sociales

Techniciens 7 027,00 €
SOUS TOTAL 7 027,00 €

Décors et Costume

Décors 1 000,00 €
Costumes 800,00 €
SOUS TOTAL 1 800,00 €

Transports, régie et défrayement

Repas 3 126,00 €
Véhicules 4 200,00 €
Transports figuration 3 100,00 €
Divers ( sécurité, ménage..) 4 600,00 €
SOUS TOTAL 15 026,00 €

Matériel technique

Matériel caméra 2 714,00 €
Matériel son 648,00 €
Matériel machinerie 2 052,00 €
Matériel électrique 3 078,00 €
SOUS TOTAL 8 492,00 €

Frais généraux producteur / Assurance / Imprévus

Frais généraux 4 502,00 €
Imprévus (4%) 3 000,00 €
Assurance et frais financiers 1 120,00 €
SOUS TOTAL 8 622,00 €

Commission pro arti

Commission pro arti 880,00 €
SOUS TOTAL 880,00 €

TOTAL

TOTAL 53 407,00 €

Recettes

Désignation Montant

Pré financement

Apport Incendie Films 10 000,00 €
Apport ? 7 407,00 €
CNC 25 000,00 €
SOUS TOTAL 42 407,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 10 000,00 €

TOTAL

TOTAL 52 407,00 €

Contreparties

Pour 400 et +

pour 400,00 € et +

0 ARTINAUTES

Mention de votre nom au générique

Envoi du making-off du court métrage

Pour 1000 et +

pour 1 000,00 € et +

1 ARTINAUTE

7 DISPONIBLES

Mention de votre nom au générique

Envoi du making-off du court métrage

Photo de tournage dédicacée par Jonathan Steuer et Jack Bartman

Pour 2 500 et +

pour 2 500,00 € et +

1 ARTINAUTE

3 DISPONIBLES

Mention de votre nom au générique

Envoi du making-off du court métrage

Photo de tournage dédicacée par Jonathan Steuer et Jack Bartman

Visionnage du court métrage en exclusivité à Paris avant sa sortie officielle

Pour 5 000 et +

pour 5 000,00 € et +

1 ARTINAUTE

1 DISPONIBLES

Titre de production associé au générique

Mention de votre nom au générique

Envoi du making-off du court métrage

Photo de tournage dédicacée par Jonathan Steuer et Jack Bartman

Visionnage du court métrage en exclusivité à Paris avant sa sortie officielle