
Reconnexion à la nature
Les arts vivants pour le viant : documentaire de création sur la reconnexion à la nature par l'art vivant
Par: Cultures Eco Actives
Collecte Terminée
| AUDIOVISUEL - CINÉMA
| PRODUCTION, DIFFUSION
| ENVIRONNEMENT
5 000,00 € demandés
Soutiennent
Recommandent
Suivent
Présentation du projet
Consciente du potentiel de sensibilisation par l’art et la culture en général, Cultures Eco-Actives concentre son projet collaboratif autour de la valorisation, la promotion, et le développement d’une transition environnementale dans et par la culture.
L’opération comprend la réalisation d’un documentaire de création de 30 minutes sur 4 à 6 expériences artistiques qui permettent la reconnexion à la nature et aux paysages par l’art vivant.
Le court-métrage témoignera des modalités de mise en œuvre et processus créatifs, partagera les motivations et ressentis des artistes et du public.
Lui-même création artistique poétique, il sera largement diffusé au niveau local, national et européen, en partenariat avec différents réseaux artistiques et environnementaux. Il pourra également être utilisé par les partenaires, comme outil de sensibilisation à l’environnement ou de mobilisation des acteurs culturels pour le travail sur les consciences, nécessaire aux transitions à mener.
Un site internet éco-resopnsable facilitera sa diffusion.
Le contexte
De nombreux acteurs culturels du territoire haut alpin ont entamé une démarche de prise en compte environnementale dans leur pratique artistique. Dans le domaine des arts vivants, cette démarche va jusqu’à proposer des créations en interaction émotionnelle avec la nature et les paysages. De fait, le territoire montagnard et rural haut alpin s’y prête particulièrement. Ce type d’expérimentation artistique commence juste à se développer dans les arts vivants, alors qu’elle existe depuis plus longtemps dans les arts visuels.
Ces modes de sensibilisation doivent être mis en avant pour pouvoir être multipliés. Ils permettent de nouveaux récits, la transformation de nos imaginaires, la prise de conscience et l’envie d’agir par une reconnexion à la nature et aux paysages. Par leur démarche de réduction des impacts dans la mise en œuvre, ils ouvrent également un champs des possibles auprès de leurs publics.
La cible de cette valorisation d’initiatives positives par documentaire est les acteurs de la culture dans un premier cercle, les publics dans un second cercle, et la population, notamment urbaine, grâce à la large diffusion du court-métrage. L’échelle de sensibilisation est nationale et européenne.
Le tournage
Le tournage aura lieu pendant des représentations des propositions artistiques objet du film, afin de collecter les émotions et ressentis des artistes et publics. Il se déroulera principalement dans les Hautes Alpes, en milieu montagnard, et dans le Parc National des Ecrins. Il pourrait commencer en août 2023 si le budget est rassemblé.
La réalisatrice
Après des études de cinéma à Paris et des voyages au long cours, Isabelle s'est installée dans le Briançonnais. Monteuse et réalisatrice tout terrain, elle a réalisé plusieurs documentaires ancrés dans le territoire, "Déplacer les montagnes", "Gözün aydın, que tes yeux brillent", "Routes et Racines", "Ecrins, esquisse d’un caractère", "Lombarde et Sirocco »... qui nous parlent de déracinement et d’enracinement, d’histoire intime et collective, de lien au territoire, de parcours de vie, d’engagement, de choix ou de non choix. Et de la richesse des rencontres et de l’altérité. Elle travaille de façon très expérimentale et ses films cherchent à ouvrir des espaces pour se raconter et s'approprier un récit de soi. Depuis 2016, Isabelle est aussi art-thérapeute. Elle cultive sa capacité à écouter et accueillir pour laisser émerger la créativité, l'imprévu, l'élan de vie. L’écriture, la danse, et le jeu font partie de sa boite à outils.
Nature humaine, compagnie El Pudu -Enquête artistico-expérimentale. A travers une réflexion protéiforme sur la place de la nature dans nos vies et le lien intime que nous entretenons avec elle, ce voyage sonore et visuel nous invite à partager nos émotions, de l’endémophilie à la solastalgie, du dialogue – parfois verbal- avec la nature, de l’oubli dans la nature, de la sagesse de la nature, de la sérénité chaotique de l’arbre, de tous les verts, du soin réciproque, de la « possession » de plantes, de l’hivernation. .. du renard sous les pneus. Réalisée pendant le confinement, cette exploration nous rappelle combien la nature nous est précieuse.
Mon âme au bord de l’eau - Marie Favereau - Performance poétique. Lors d'un temps suspendu dans la nature, l’artiste évolue aux abords des rivières, mi-animale, mi-humaine. Par le travail du masque, elle capte son propre inconscient, et par là-même nos inconscients. Elle les ouvre à une écoute transformée de la nature, de ses bruits, formes, interdépendances, avec un accent sur l’eau, les berges, la vie des berges, à travers le corps, le mouvement, le ressenti d'une femme. Elle génère l'empathie, nous invite à la suivre dans une expérience d'incarnation de ces êtres vivants, et à ressentir la sauvagerie et sa domestication.
Histoires itinérantes, au fil du GR 54 -Anne-Claire Dromzée et Sophie Kahn – Contes et film d’animation. Ce voyage initiatique nous embarque dans l’intimité des oiseaux, des arbres, et autres éléments naturels qui peuplent le mythique massif des Ecrins. A travers leurs regards poétiques, les artistes nous transportent, avec humour et tendresse, dans la réalité de la nature, telle qu’observée et racontée par les hommes. Tous les sens sont sollicités, dans une communion avec les « personnages » de ces histoires. Nous n’envisageons plus la nature de la même façon… et l’envie de continuer l’itinérance initiatique nous poursuit. C’est en marchant qu’on fait le chemin.
Balade insolite, compagnie Isabelle Mazuel - Balades dansées en pleine nature. Propices à explorer la relation avec les éléments, l’architecture, la nature, ces balades nous embarquent dans notre propre danse. Le bruit du vent et son souffle sur la peau, le contact de l’herbe, de la terre et autre sol, le regard sur un paysage proche ou lointain, l’odeur d’une fleur, sont autant de perceptions suscitant le mouvement, le geste et la danse. Toutes ces sensations incitent le corps à s’exprimer et à danser. Elles rappellent le lien fort qui nous unit à la nature, le bien être corporel et intérieur qu’elle nous procure quand on s’autorise à la ressentir, le soin mutuel à retrouver avec elle.
A quoi sert l'argent collecté
1 er palier : 5000 €
2 ème palier : 25 000 €
L'argent collecté servira à couvrir les frais de tournage/montage, sous titrage, la préparation et co-construction du scénario, des interviews et des textes, et tous les frais de diffusion et communication, pour un impact le plus large possible : consciente du potentiel de sensibilisation par l’art et la culture en général, Cultures Eco-actives a recensé les démarches positives du territoire et leur capacité à essaimer et faire rêver une autre intervention de l’homme dans la nature. La mobilisation pour des changements d’usage en découlera.
L’opération permettra de produire un outil de communication sur un sujet encore peu développé. Il constituera un support pour les actions de Cultures Eco Actives visant à promouvoir et faire ressentir la capacité de l’art à toucher, éveiller, faire rêver, proposer un autre possible, dans le sens d’une meilleure responsabilité écologique et environnementale des populations.
Le documentaire sera largement utilisé pour l’échange et la mise en mouvement au sein du milieu culturel (projection/débat dans des meetings professionnels nationaux et européens, pour des programmes de formation, proposition de support d’article pour la presse) et de la population ( diffusions dans des cinémas et salles, lors d’ateliers, disponibilité sur le web...).
Des références seront ainsi promues à large échelle, permettant la production d’autres initiatives culturelles allant dans ce sens, et d’associer le secteur culturel à l’objectif de transition environnementale de la société.
Le documentaire constituera un état de l’art, témoin d’une époque (archivage). Il sera le point de départ de collaborations autour de ces modes d’investigation des imaginaires : d’autres projets nationaux et européens seront construits sur sa base.
Le montant de la collecte serait réajusté en cas d'obtention de financements publics supérieurs.
Le premier palier permettra de promouvoir les propositions artistiques et en observer une lors d'une programmation, en interrogeant artistes et publics.
Le deuxième palier permettra la réalisation du documentaire, sans sous titrage.
Le dernier palier permettra les sous titrages et une diffusion large du documentaire.
Objectif de collecte
5 000,00 €
Montant Global
55 266,00 €
Désignation | Montant |
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Autres frais |
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Frais de collecte | 3 000,00 € |
Déplacements suite collecte | 5 000,00 € |
le Fanzine | 2 000,00 € |
SOUS TOTAL | 10 000,00 € |
Moyens humains : production et diffusion |
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Réalisation et sous titrage | 15 200,00 € |
Productrice et diffusion | 17 000,00 € |
SOUS TOTAL | 32 200,00 € |
Moyens matériels : production et diffusion |
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Déplacements tournage et diffusion | 1 000,00 € |
Web et supports de communication | 2 013,00 € |
imprévus | 1 000,00 € |
Frais généraux | 9 053,00 € |
SOUS TOTAL | 13 066,00 € |
TOTAL |
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TOTAL | 55 266,00 € |
Désignation | Montant |
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Recettes publiques |
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ADEME | 13 580,00 € |
Financeurs locaux | 2 500,00 € |
SOUS TOTAL | 16 080,00 € |
Recettes privées |
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Billetterie | 500,00 € |
Autofinancement | 436,00 € |
SOUS TOTAL | 936,00 € |
Proarti |
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Financement participatif proarti | 5 000,00 € |
TOTAL |
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TOTAL | 22 016,00 € |
Contreparties
Commentaires

il y a 1 mois
hi