Qu'il en soit ainsi.

un film réalisé par Mathis Sananes
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION

Présentation du projet

Note de la production :

Cela fait maintenant presqu’un an que Mathis est accompagné par notre société (SIC) PICTURES. Un an que nous travaillons ensemble afin de présenter le travail le plus abouti possible. Un travail à la hauteur de l’ambition que nous partageons : faire des films que nous voudrions voir et qui parlent à tous.

Qu’il en soit ainsi ! est le premier film produit de Mathis Sananes. C’est pourquoi nous avons eu à cœur de rester attentifs aux détails afin d’aboutir le projet le plus mature possible. Par ailleurs, le film aborde des thématiques fortes et universelles : la filiation, l’amour, l’errance et surtout la quête de soi. Il était donc impératif pour nous d’éviter le double écueil de l’incompréhensibilité et de la caricature.

En bref, Qu’il en soit ainsi ! est un premier film qui associe avec maîtrise l’exigence d’un film d’auteur et l’accessibilité d’un film populaire.

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Note de l’auteur :

C’est par amour pour ses oeuvres et plus particulièrement La Pomme d’or de l’Eternel Désir, que j’ai décidé d’écrire ce court-métrage largement influencé des romans de Milan Kundera. Dans Qu’il en soit ainsi !, on suit un fragment de vie de Charles et de son meilleur ami le Narrateur lors de l’une de leurs nombreuses péripéties amoureuses.

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Univers et personnages :

C’est à travers la préparation de leur rendez-vous galant du jour et les mots forts de la voix-off du Narrateur, que le film révèle la complexité des deux personnages.

« Charles n’a plus vingt ans. Il a une femme, et le pire c’est qu’il l’aime. C’est comme ça, il le sait, mais n’a toujours pas osé se l’avouer. Il vit depuis plusieurs années une aventure illusoire, une aventure qui lui rappelle sa jeunesse, mais qui ne remplacera jamais l’amour qu’il a pour sa femme. »
Charles se renferme dans un exercice de séduction illusoire, sans jamais aller au bout de ses rendez-vous, perdu entre l’amour qu’il porte pour sa femme et la peur de voir sa jeunesse et sa liberté lui échapper.

Le Narrateur, quant à lui, est terrifié à l’idée de voir son meilleur ami le remplacer par sa femme. Cette peur l’oblige à suivre son compère dans des aventures amoureuses futiles au lieu de se concentrer sur la femme qui l’intéresse réellement, Giulia, la petite soeur de Charles. Ces non-aventures lui permettent de fuir ses peurs et son besoin de devenir acteur de sa propre vie.

Pour accompagner les personnages, il sera important de modeler un univers propres à ma vision de Montmartre, entre réaliste et Onirique (Jean-Pierre Jeunet, Albert Dupontel, etc.), en se concentrant sur des détails clés. Les petites rues montantes parsemées de pavés, les bistrots et restaurants roses, verts et rouges, la couleur acre des immeubles, les cinémas et théâtres, les clubs de sports, les tenues vestimentaires des passants, les musiciens, les lecteurs sur les bancs, les rues marchandes, l’omniprésence du Sacré-Coeur, on parle ici d’une ville sophistiquée, caractérisée en trois points par : l’art, l’élitisme intellectuel et le sport.

Mais l’une des forces de la mise en scène résidera dans le contraste entre les deux protagonistes et l’univers qui les entoure. Ce mode de vie anachronique reflétera leur incapacité à gagner en maturité. Tandis que le monde dans lequel l’action se situe est principalement moderne (le style vestimentaire des figurants et des personnages secondaires, leur façon de s’exprimer, les voitures qui passent, la décoration des restaurants, l’omniprésence de la technologie etc.), Charles et le Narrateur adoptent eux un style et un langage beaucoup plus classique et soutenu. Il faudra alors jouer sur des costumes qui rappelleront les années 1960, inspirés des personnages incarnés par James Dean, Alain Delon ou encore Steve McQueen. De plus, ce contraste sera renforcé par l’utilisation d’une vielle Autobianchi, d’un vieux sac de tennis et d’autres objets en décalage temporel avec le reste de l’univers. Cet effet de style a pour ambition de symboliser visuellement le dénis de certaines personnes face à leur besoin de maturité.

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Caméra

Qu’il en soit ainsi ! est basé sur un concept fort, qui alterne entre des séquences qui théorisent la séduction et des séquences qui mettent en pratique ces théories. Les séquences théoriques m’inspirent un cinéma dynamique, parsemé d’effets de style (Wes Anderson, Edgar Wright, etc.), tandis que les séquences pratiques m’inspirent un cinéma plus humain et plus sobre (François Truffaut, Thomas Vinterberg, etc.).

C’est donc aussi par différents artifices photographiques que la mise en scène prendra son sens. Les séquences théoriques, de flash-backs et de rêves que j’imagine filmées de façon mécanique et fluide (tripod, dolly, steadycam, etc.) contrasteront avec les séquences pratiques que j’imagine filmées et montées de façon plus organique, plus proche d’un cinéma réaliste (caméra à l’épaule, utilisation de jump-cuts, etc).

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Musique

Qu’il en soit ainsi ! sera en partie porté par une bande originale qui apparaitra à plusieurs reprises dans le film (à la fin de la scène avec Giulia, dans la voiture devant le studio, etc.). Cette bande originale pourra être composé par mon ami, collègue et producteur de nombreuses bandes originales de long-métrages : Laurent Aknin.

Mais le film comportera aussi des titres déjà existants, allant du jazz des années 1960 à la French Touch du vingt-et-unième siècle en passant par des styles plus hybrides. Ces musiques seront attentivement incorporées au montage puisqu’elles alterneront entre intradiégétique et extradiégétique.

L’industrie musicale est de plus un thèmes omniprésent tout au long du film. Le « home studio », que l’on pourra voir apparaitre chez Giulia juxtaposé au véritable studio devant lequel ont rendez-vous les deux protagonistes, reflètent parfaitement l’évolution de cette industrie au 21ème siècle.

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Conclusion

Bien qu’il ne s’agisse que de mon premier projet produit par une société de production, avec Qu’il en soit ainsi ! j’ai pour ambition de réaliser un film à l’image du cinéma que j’aime. J’espère pouvoir en faire un film complexe qui combinera les thèmes et les idées de mise en scène que j’ai toujours voulu voir au sein d’un même film. J’espère de plus qu’il reflètera un cinéma moderne tout en faisant honneur aux plus grands classiques.

A quoi sert l'argent collecté

L'argent collecté servira d'abord à rémunérer comme il se doit les techniciens ainsi que les interprètes travaillant sur le film. 

Le projet se construisant autour d'un concept visuel fort, votre participation nous permettra de nous donner les moyens de notre ambition pour permettre au film de se rapprocher au mieux de la vision du réalisateur. 

Nous souhaitons rappeler aux donateurs que la collecte bénéficie du mécénat. De ce fait, chaque don ouvre droit à une défiscalisation de 66% pour les particuliers et de 60% pour les entreprises. La plateforme PROARTI prend en charge l’émission des reçus fiscaux auprès des donateurs. Pour exemple, dans le cas d'un don de particulier,  si vous soutenez le projet à hauteur de 100€, il vous coûtera 34€.


Objectif de collecte

400,00 €

Montant Global

45 193,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Coûts directs

Moyens techniques 10 000,00 €
Assurances/Divers 2 000,00 €
Equipe technique 15 250,00 €
Equipe artistique 1 770,00 €
Charges sociales 10 113,00 €
Décor/Costumes 600,00 €
Transports, défraiements, régies 2 000,00 €
SOUS TOTAL 41 733,00 €

Coûts indirects

Imprévus 1 725,00 €
Frais généraux 1 735,00 €
SOUS TOTAL 3 460,00 €

TOTAL

TOTAL 45 193,00 €

Recettes

Désignation Montant

Aides privées

(SIC) Pictures 5 000,00 €
SOUS TOTAL 5 000,00 €

Aides publiques

Adami 5 000,00 €
SACEM 2 500,00 €
Procirep 5 000,00 €
SOUS TOTAL 12 500,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 400,00 €

TOTAL

TOTAL 17 900,00 €

Caméra :

Qu’il en soit ainsi ! est fondé sur un concept fort, qui alterne entre des séquences qui théorisent la séduction et des séquences qui mettent en pratique ces théories. Les séquences théoriques m’inspirent un cinéma dynamique, parsemé d’effets de style (Wes Anderson, Edgar Wright, etc.), tandis que les séquences pratiques m’inspirent un cinéma plus humain et plus sobre (François Truffaut, Thomas Vinterberg, etc.).C’est donc aussi par différents artifices photographiques que la mise en scène prendra son sens.
Les séquences théoriques, de flash-backs et de rêves que j’imagine filmées de façon mécanique et fluide (tripod, dolly, steadycam, etc.) contrasteront avec les séquences pratiques que j’imagine filmées et montées de façon plus organique, plus proche d’un cinéma réaliste (caméra à l’épaule, utilisation de jump-cuts, etc).

Musique :

Qu’il en soit ainsi ! sera en partie porté par une bande originale qui apparaitra à plusieurs reprises dans le film (à la fin de la scène avec Giulia, dans la voiture devant le studio, etc.). Cette bande originale pourra être composé par mon ami, collègue et producteur de nombreuses bandes originales de long-métrages : Laurent Aknin. Mais le film comportera aussi des titres déjà existants, allant du jazz des années 1960 à laFrench Touch du vingt-et-unième siècle en passant par des styles plus hybrides. Ces musiques seront attentivement incorporées au montage puisqu’elles alterneront entre intradiégétique et extradiégétique.

L’industrie musicale est de plus un thème omniprésent tout au long du film. Le « home studio », que l’on pourra voir apparaitre chez Giulia juxtaposé au véritable studio devant lequel ont rendez- vous les deux protagonistes, reflètent parfaitement l’évolution de cette industrie au 21ème siècle.

Contreparties

Votre nom au générique

pour 48,00 € et +

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Un grand MERCI! Votre nom au générique.

Invitation à l'avant-première

pour 500,00 € et +

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5 Invitations à l’avant-première du film à Paris et cadeau affiche du film signée par les comédiens, avec votre logo en caractères privilégiés.

Offre d'emploi

pour 1 500,00 € et +

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Possibilité de poster vos offres de stage sur la plateformejobteaserde l’ESSEC Business School (Partenaire officiel du Film).

Projection et journée sur le tournage

pour 3 500,00 € et +

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Organisation d’une projection du film dans votre entreprise avec l’équipe du film et 2 invitations une journée sur le tournage au cœur de Montmartre (+ possibilité de figurer dans le film = prêtez-vous au jeu et rentrer encore un peu plus dans l’intrigue).

Cocktail de networking

pour 5 000,00 € et +

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Organisation d’un cocktail networking/forum de recrutement de votre entreprise sur le campus de l’ESSEC Business School (Partenaire Officiel du film).

Grand mécène

pour 10 000,00 € et +

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Mention du nom de l’entreprise en caractère privilégié aux côtés des producteurs accompagnée de toutes les contreparties précédentes.