PAUL, LA MUSIQUE ET LES FILLES

Synopsis :

À 25 ans, Paul rêve de rock, de littérature américaine et d’amours passionnées. En attendant, il squatte le canapé de sa soeur et essaye d’oublier Madeleine à coups de pintes dans les bars de Ménilmontant. Le temps d’une journée, d’une audition dans une salle des fêtes, à un récital à l’Opéra, en passant par une manifestation rythmée par des chants de luttes, la réalité le rattrape et Paul se demande s’il n’est pas temps de se réveiller.

Note d'intention du réalisateur :

Paul, la musique et les filles c’est l’histoire d’un jeune homme plus si jeune que ça qui n’a plus vraiment prise sur sa vie, sur son quotidien.

Paul a entre vingt cinq et trente ans. C’est un âge angoissant, où il semble grand temps de faire face à ses responsabilités. Mais faut-il pour autant renoncer à tous ses fantasmes pour rentrer dans la vie, la vrai ? Ne faut-il pas démystifier ces rêves (pour Paul vivre de la musique, être connu et reconnu) afin de pouvoir peut-être un jour les atteindre ? 

J’ai le même âge que Paul, et toutes ces questions me trottent dans la tête depuis quelques années. Le point de départ du film, c’était ce sentiment de stagnation, se sentir incapable de faire évoluer les choses, par orgueil, en pensant qu’un coup du destin viendra tout débloquer.

Le film se déroule le temps d’un week-end, du vendredi soir au dimanche matin. On suit Paul qui surnage dans son quotidien, toujours en tension, en bataille avec le monde extérieur et les gens qui l’entourent : sa soeur, les membres de son groupe, sa famille, son amour de jeunesse… Le film a cette forme de dynamique que l’on peut retrouver dans les films de Cassavetes, notamment dans Shadows, et dans les premiers films des frères Safdie. J’aimerais réussir à transposer l’aspect très « New-Yorkais » de ces films dans le Paris de Ménilmontant d’aujourd’hui. 

Où nous en sommes ?

Grâce à une première collecte nous avons pu atteindre la moitié de nos objectifs. Nous vous addressons encore un énorme merci pour votre aide, sans vous nous n'aurions pas pu partir en tournage. Nous sommes très fière de ce que nous avons pu accomplir grâce à vous, les images sont à la hauteur de nos espérances et l'énérgie que chacun à mis sur le film fut merveilleuse.

Malgrè cela, l'aventure est loin d'être fini ! Concretement, nous sommes parti en tournage avec les fonds nécessaire pour assurer la location du matériel image et lumière. Nous avons, avant le tournage, pris la décision de faire un prêt pour assumer les frais de régie, le transport des acteurs et des personnes de l'équipe technique, la décoration, les accessoires, le maquillage et les costumes.

Nous attendons des financements de la part de l'Université de Paris 8 ainsi que le soutien du CROUS pour rembourser ce prêt.

Aujourd'hui, le film est parti en post-production. Le montage se fait à Marseille. 

Nous avons encore des frais inhérent au tournage à rembourser et la post-production nécessite des fonds que nous n'avons pas pu encore débloquer. Actuellement, nous avons besoin d'assumer les déplacement du réalisateur et du monteur en région, les disques durs, la création de DCP mais également le lancement de la campagne de communication autour du film.

Où va l'argent ? 

Pour rassembler les moyens et conditions nécessaires à la fin de la construction de ce film nous avons besoin de votre aide !

Nous souhaitons rappeler aux donateurs que la collecte bénéficie du mécénat. Chaque don ouvre droit à une défiscalisation de 66% pour les particuliers et de 60% pour les entreprises. La plateforme PROARTI prend en charge l’émission des reçus fiscaux auprès des donateurs. Pour exemple, dans le cas d'un don de particulier,  si vous soutenez le projet à hauteur de 100€, il vous coûtera 34€.

Et après ?

 Le film finit, nous aimerions lui donner la plus grande visibilité possible. Nous planifions d’inscrire le film dans la plupart des festivals concernés : en France à Clermont-Ferrand, à Pantin et aussi à l’international. En parallèle, nous voudrions contacter des chaines de télévisions et des plateformes numériques comme ArteTv, Bref… Il y a dans le film une thématique universelle, propre à la jeunesse, que nous aimerions partager avec le plus grand nombre.

Une projection sera bien évidemment organisée, d’abord dans Paris ou en proche banlieue, puis nous aimerions en organiser dans d’autres villes de France.