MONTAGNES RUDES

Association des Lueurs pour les Yeux
ARTS DE LA SCÈNE
PRODUCTION

Présentation du projet

Salut TOI!

Tu vas voir en dessous là je décris mon projet, une histoire d'écriture qui dure depuis 4 ans, une création sonore qui débute bientôt et une metteuse en scène qui m'attend pour commencer le boulot sur scène en novembre! Tu vas découvrir un bout de ma création que je raconte là ! Merci de me lire. Force et douceur pour l'hiver!

Marie Carrère

 

La PETITE HISTOIRE, autrice Marie Carrère.

C’est en 2018, dans un petit village entouré des montagnes pyrénéennes que je commence l’écriture de cette histoire. Je me souviens, il avait neigé beaucoup plus que de raison, j’étais dehors, posée sur un ensemble de chaises et table en plastique blanc, le visage au soleil, je faisais tourner mon café fumant avec ma cuillère et mes yeux étaient rivés sur un cône de glace, accroché aux tuiles de la maison, il gouttait sur une pierre en ardoise. Ploup, ploup, ploup. Mes yeux ont quitté la glace et ont rejoint les lignes de mon carnet. Je ne savais pas que c’était les premiers mots d’une écriture qui durerait 4 ans, qui fabriquerait un univers, qui changerait avec moi jusqu’à ces lignes que je suis en train d’écrire. Quand j’écris, je ne sais pas où je vais, les lieux, les personnages se présentent à moi et je les rencontre. 

Ella, c’est mon personnage principal, je l’ai rencontrée de suite. J’ai écrit à partir d’elle, une adolescente qui ne veut pas grandir, qui comprend qu’il y a des règles du jeu mais qui ne comprend pas ces règles. J’ai voulu écrire à travers ce regard car c’est celui qui me sauve parfois. Quand j’ai fait l’effort de regarder le monde qui m’entoure à travers des regards sociologiques, historiques, empathiques et toute la bande des mots qui finissent par la même terminologie, et que mon cerveau rempli d’explications pour donner du sens au monde qui m’entoure s’aplatit en un mouvement, celui de mes yeux vers le ciel, j’essaye alors de retrouver l’énergie de mes 16 ans  : TOUT CELA N’A AUCUN SENS. 

J’ai écrit en solitaire et de manière imprévisible pendant un bon moment, le temps de rencontrer cet endroit, les Montagnes Rudes, de rencontrer la communauté qui y vit. Le temps de comprendre ce qui s’est passé là-bas pour le relier à ce qui se passe ici. Je voulais écrire une histoire éminemment politique mais avec les mots du conte. 

Mon deuxième personnage principal, Jeannette, est arrivé quand j’ai décidé d’être dans un processus plus cadré. Jeannette, c’est celle qui détient la mémoire  : des luttes passées, des histoires de la communauté, du début du monde… Elle sait ce qui s’est passé et a l’intuition de ce qui se passera  : FAIRE LA PART DE CE QUI NOUS APPARTIENT. Jeannette est survenue à la mort de ma grand-mère. Ella et Jeannette ont besoin l’une et l’autre pour grandir.

Le décor étant posé, mon enfant commençant à aller à la crèche, je commence les résidences d’écriture, partage mon histoire avec d’autres, imagine des scénarios avec des petit.e.s et des plus grand.e.s. C’est en 2020 que je décide de la faire lire à mon amie Myriam Cheklab, rencontrée dans une compagnie de théâtre de l’opprimé.e, partenaire de scène et de créations en tous genres, elle m’aide à écrire au plateau, en impro, à suivre un premier fil. Je fais plusieurs résidences d’écriture avec elle, j’écris mon histoire, elle écrit une thèse sur les pédagogies décoloniales. Ce travail me permet de construire une première forme de 15 minutes, le début de l’histoire que je présenterai lors de la deuxième session de formation à la Maison du conte. 

C’est Clara Guenoun qui me pousse à aller voir du côté de la Maison du Conte et je fais la formation «  Architecture de la langue  » avec Pépito Matéo en 2021. Il me donne alors des contraintes qui font sacrément avancer l’histoire et son écriture. Le groupe m’aide à explorer différemment mon univers et j’affine l’écriture de la cosmogonie des Montagnes Rudes. C’est à ce moment-là qu’arrive mon troisième personnage, Astre, enfant des étoiles et de la Terre, elle vit dans deux mondes dont elle se doit d’être le lien. Elle me permet d’exprimer l’inacceptable.

À la sortie de la formation je décide de réaliser un collectage sur la souffrance pour complexifier les rapports de pouvoir en jeu dans l’histoire. Ainsi, je reçois des dizaines de témoignages autour de la question  : si vous pouviez confier vos plus grandes souffrances à une pierre pour qu’elle vous en débarrasse, quelles seraient-elles  ? Ce collectage m’emmène à travailler l’écriture sonore du spectacle comme un autre élément central de l’histoire.

L’histoire est bien née, je décide de l’éprouver à travers plusieurs disciplines, avec différentes personnes qui m'offrent un bout de temps précieux pour avancer.

Enfin, l’écriture est minutieuse car elle a l’ambition de parler du monde, de ses rapports de pouvoir et de domination, sans parler à la place de, sans parler pour, sans parler avec le langage politique, mais à travers une histoire.  Fabriquer une communauté qui rentre en résonance avec la grande histoire qu’on connaît sans exister vraiment, sans emprunter, sans s’approprier des histoires. Rencontrer une communauté de l’invisible, de l’histoire oubliée. Parce que quand le pouvoir est violent avec certaines communautés, seules les communautés protègent de la violence du pouvoir. Le pouvoir ici s’écrit à travers un personnage central, Delorca, chef d’entreprise, géant métaphorique de ce monde. 

Le processus d’écrire se termine avec une bataille, un soulèvement organisé, collectif.

 

MONTAGNES RUDES: l'histoire

Montagnes Rudes c’est un endroit protégé du monde. On raconte qu’il est le lieu de la chute d’une étoile, qu’il est veillé par Ourania la gardienne du ciel et qu’aucune injustice ne peut l’atteindre. Montagnes Rudes c’est l’endroit où vivent Ella, Jeannette et leur communauté. 

Ella n’est pas née là mais connaît cet endroit par coeur. Mèche plaquée devant les yeux elle regarde le monde avec des yeux affutés depuis son âge adolescent. Jeannette elle est d’ici, son corps dessine ses cinquante années et dans sa tête: la mémoire de toutes les histoires de sa communauté, transmises de génération en génération. Montagnes Rudes, c’est l’endroit refuge d’une communauté, travaillant les pierres avec des savoirs ancestraux, dans un lien précieux avec celles ci. Montagnes Rudes est un endroit protégé mais l’imprévisibilité du monde a laissé les traces d’une tension permanente qu’ils s’efforcent d' oublier, jusqu’à qu’elle revienne. Par un murmure d’abord. Le murmure de Gino, enfant des Montagnes, qui a entendu dire ailleurs que Delorca, un grand chef d’entreprise rachetait toutes les carrières du pays. A la recherche d’une pierre spéciale il ne s’arrêtera que lorsque qu’il l’aura trouvée. L’imprévisible se précise, Montagnes Rudes est recherché, les lourds nuages qui entourent les montagnes ne suffiront pas à le protéger de ce géant du commerce. Ella cherche les vérités là où elle ne les reconnait pas, Jeannette raconte la communauté. Leurs liens maintiennent un équilibre. L’imprévisible arrive comme dans un cauchemar, Montagnes rudes se nomme désormais Carrières Delorca. Ella, Jeannette et les autres décident de rester: devenir la main d’oeuvre c’est encore avoir la main. 

Montagnes Rudes se vend dans les villes, le commerce des Pierres de soins a démarré, les pierres de leurs montagnes sacrées, des pierres pour soigner la souffrance ailleurs. 

Une goutte de trop, une de celle qui remplirait un océan tout entier, le soulèvement se prépare, collectif.

 

INTENTIONS 

Vous dire mon impuissance.

Te parler des Montagnes

Raconter une histoire oubliée, invisible 

Ëtre loin et ici

Parler de souffrance 

Réfléchir avec vous

Je tremble, nous tremblons

Vous parler de luttes 

Te donner rendez vous pour se soulever

 

LE FINANCEMENT

Je fais appel à vous afin de financer la création sonore qui démarrera en Janvier 2023 et la première partie de la mise en scène qui commencera dès Novembre 2022. Pour ceux et celles qui peuvent/veulent participer, vos dons nous permettront un élan tout aussi important qui est celui de rémunérer les gens qui vont travailler à concrétiser cette histoire sur scène pour qu'un jour, en fin d'année 2023 je l'espère, elle puisse être jouée. Même si je vais postuler à des financement, dans l'attente de ceux-ci je veux pouvoir avancer! 

RECHERCHES SONORES

Je fais du son depuis un moment maintenant: réalisations de contenus radiophoniques (interviews, fictions sonores, chroniques), animation de plateaux et collaboration à la technique (montage et studio). Je connais le pouvoir des voix qui résonnent. En faisant mon collectage sur la souffrance, en me voyant confier ces voix de vulnérabilités, j’ai décidé de les faire entendre dans le spectacle. Cette idée grandit en même temps que j’explore la possibilité que plusieurs passages soient entendus autrement, par d’autres voix, d’autres formes. Un dispositif qui s’inscrit aussi dans l’oralité, en ricochet avec la parole conteuse. Avec Ludo avec qui j’ai déjà travaillé, nous croisons nos regards.

Naissent alors les propositions sonores suivantes:  des ambiances sonores des montagnes rudes avant et après l’arrivée de Delorca, la voix intérieure d’Ella comme une ponctuation de son cheminement interne, un cauchemar qui viendrait raconter l’appropriation des terres par Delorca,, des voix qui témoigneraient de la souffrance des villes, des voix…

Le conte est un art résolument sonore et immersif. Pour ce spectacle j’ai donc choisi de placer les spectateurs dans des conditions d'écoute les plus propices à cette histoire en utilisant la quadriphonie (procédé qui consiste à placer 4 enceintes qui forment un carré. le spectateur se trouvant au centre de ce carré). La narration contée proviendra de la scène face au spectateur mais de nombreuses ambiances viendront "entourer" le spectateur sur les cotés et ailleurs et ceci pour venir enrichir le récit et les sensations. L'idée est de créer un continum entre la scène et les spectateurs. 

La matière sonore de ce spectacle sera composée d'ambiances  réalisées à partir de sons du réel. Il s'agit d'une matière documentaire que l'on transformera pour l'amener vers la fiction et le récit de ce conte. Un musicien interviendra également pour composer une bande son plus mélodique nécessaire à certaines parties de l'histoire.

 

L'ASSOCIATION DES LUEURS POUR LES YEUX

L’association « Des lueurs pour les yeux » nait en 2017, de la rencontre entre MYRIAM CHEKLAB ET MARIE CARRÈRE et d’une création scénique à la croisée de l’éducation populaire et du théâtre. Cette première création, qui porte le nom de la compagnie, a dessiné son mouvement.  Partir de soi, et des rencontres qui font ce que nous sommes, pour créer à travers une matière vivante, pour mettre en valeur des paroles à la fois intimes et politiques.

Des lueurs pour les yeux est une association qui se propose de défendre des créations hybrides, expérimentales, imprévisibles, et qui questionnent nos réalités. Elle rassemble des artistes « couteau-suisse » qui s’appuient sur différentes formes de savoirs pour proposer des ateliers et des objets artistiques fabriquées avec tou·tes et pour tou·tes.

Notre pratique s’inscrit dans une dynamique d’auto-éducation. Croiser nos regards et nos savoirs professionnels, militants, artistiques : conte, musique, création sonore, théâtre de l’opprimé.e et éducation populaire ; ainsi que toutes les expériences que nous avons pu traverser dans nos vies.

Rencontrer ceux et celles qui sont là, qui savent, qui explorent, qui créent, pour grandir de leurs pratiques et de leurs connaissances, pour se sentir légitimes et illimité.e.s ensemble. Construire nos propositions en cherchant à ce qu’elles soient les plus inclusives et attentives aux réalités des personnes rencontrées en atelier ou en spectacle.

Des lueurs pour les yeux est une association qui veut ancrer ses propositions dans des réflexions politiques. On ne vous apprend rien : le monde fonctionne d’une certaine manière et, sur divers aspects, plutôt mal. Des lueurs pour les yeux tente de penser l’articulation des oppressions et des luttes de résistances antiracistes, féministes et queers pour créer des propositions artistiques et pédagogiques avec un imaginaire plus grand que celui imposé par les normes. 

Engagé·es, passionné·es et concerné·es, Des Lueurs pour les yeux est une invitation à regarder de côté, au-delà des évidences, tout en fabriquant de la force, de la magie et du rêve pour les petit.e.s comme pour les grande.s. Et pour signifier à chaque personne qu’elle a bien sa place dans ce monde.

 

DESSINS:

Jade Clisson 

06 45 59 79 97

https://www.facebook.com/jadeclissonart/

https://www.instagram.com/lady_art_rose/

A quoi sert l'argent collecté

L'argent collecté servira à couvrir la création sonore du spectacle et une partie de la mise en scène de la fin d'année 2022.


Objectif de collecte

2 200,00 €

Montant Global

2 700,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Création sonore et mise en scène

Mise en scène 700,00 €
Création sonore 2 000,00 €
SOUS TOTAL 2 700,00 €

TOTAL

TOTAL 2 700,00 €

Recettes

Désignation Montant

Proarti

Financement participatif proarti 2 200,00 €

TOTAL

TOTAL 2 200,00 €

ÉCHOS                                             

C'est une histoire oubliée, une histoire qui vient faire écho à celle que j'écris. J'aimerais vous la raconter.

C'est l'histoire d'un Mont sacré. Un mont qui se trouve sur les terres que les Lakotas, tribu du peuple sioux, appellent « les six grands père ». nommé d'après la Terre, le Ciel et les quatre directions. Ce mont fait partie des Black Hills, une chaine de montagnes que les Lakotas vénèrent depuis plus de 3 000 ans et qu’ils considèrent comme la terre sacrée centre de l’Univers et lieu de naissance de leurs ancêtres.

Il y a un Mont sacré, là où tout a commencé. Berceau historique et culturel où les premiers ancêtres sont nés.

Jusqu’à l'arrivée des conquistadors, des fusils, des batailles sanglantes pour arracher la terre. Chasser et massacrer les ancêtres, s'approprier leurs terres.  Découvrir, s'installer, s'approprier, coloniser, combattre, tuer

1868 les Lakotas gagnent la bataille qui leur permet de récupérer les Black Hills, un traité est signé, il stipule qu'elles leurs appartiennent désormais à perpétuité. La perpétuité est relative à qui contrôle le temps et l'espace.

1874 la découverte de gisements aurifères déclenche une ruée vers l'or et de nouvelles batailles. Le traité est rompu, la guerre éclate une nouvelle fois entre les tribus indiennes et l'armée américaine.

1876 les premières nations capitulent, les vaincus sont déportés dans des réserves et les terres confisquées une nouvelle fois.

1885 - Charles E. Rushmore, homme d'affaires et juriste, en mission dans la région des Black Hills.
il demanda à ses accompagnateurs le nom d'une montagne qOn lui répondit qu'elle n'en avait pas vraiment et que désormais on l'appellerait "Mont Rushmore" 

1927, pour commémorer les 150 premières années de l’histoire des États-Unis un sculpteur proche du Ku kux klan et 400 ouvriers sont embauché pour tailler dans le granit du Mont quatre visages hauts de 18 mètres. Quatre visages de présidents américains esclavagistes et ou anti autotochnes Le Mont est meurtri, dans sa roche est gravé le symbole de la suprématie blanche, comme un titre de propriété indélébile qu'ils appelleront « sanctuaire de la démocratie».

Sanctuaire de la honte, profanation d'une terre volée.En 1980, la Cour suprême ordonne aux États-Unis de payer plus de 100 millions de dollars pour cette saisie illégale. Les tribus rejettent l'argent, insistant sur le retour des Black Hills, qu'elles considèrent comme sacrées.

Il y a un Mont sacré que les Lakotas appellent « les six grand pères ». Terre sacré, considérée comme le centre de l'univers, c'est là où tout a commencé. Le berceau historique et culturel où les premiers ancêtres sont nés. Ils n'ont jamais cessé de lutter.

 

 

MATIÈRES

FILMS

PRINCESSE MONONOKÉ- Hayao MiyazakiAu XVe siècle, durant l’ère Muromachi, la forêt japonaise, jadis protégée par des animaux géants, se dépeuple à cause de l’homme. Un sanglier transformé en démon dévastateur en sort et attaque le village d’Ashitaka, futur chef du clan Emishi. Touché par le sanglier qu’il a tué, celui-ci est forcé de partir à la recherche du dieu Cerf pour lever la malédiction qui lui gangrène le bras.

NO MORE SMOKE SIGNALS - Fanny Bräuning. Une station de radio isolée sur une petite colline du Dakota du Sud, fondée dans les années 1970 par des militants du mouvement de résistance des Indiens d'Amérique du Nord : KILI RADIO, "La voix de la nation Lakota". Un lieu oublié, entre lutte et espoir, entre légendes indiennes et vie quotidienne dans la réserve la plus pauvre des États-Unis.

LES SPLENDIDES- Meryem Bahia Arfaoui-  Arte. "Personne n'a fait plus d'allers-retours en prison qu'une maman. Personne ne tient autant les murs qu'une soeur. Et qui raconte nos histoires, à nous, les meufs de cité ? » https://www.arte.tv/fr/videos/105858-000-A/les-splendides/

CHINE: LE DRAME OUÎGHOUR- Romain Franklin - Arte. Dans cette terre des "montagnes célestes" à l’ouest du pays, riche en ressources − charbon, pétrole et gaz…− et porte d’entrée stratégique des nouvelles routes de la soie chères à Xi Jinping, on estime aujourd’hui à plus de 1 million le nombre de personnes détenues arbitrairement. 

BOUQUINS

PETITE FEMME MONTAGNE -Terese Marie Mailhot- Éd.Dépaysage. Je tirais mon pouvoir des montagnes et j’ai choisi de vivre dans le désert..

ALLER À LA RIVIÈRE- Luz Volckamm- Éd. Blast. À l’instar d’une rivière, les mots se déversent : en apparence paisibles, ils remuent le fond, retournent la vase, explorent les profondeurs.

100 NUITS DE HERO- Isabel Greenberg- Éd Casterman. Trahison, loyauté, folie, mauvais maris, amants fidèles et infidèles, sages veilles biques, lunes qui descendent du ciel,  instruments de musique au franc-parler, des amis, des frères, des pères, des mères et par-dessus tout, beaucoup, beaucoup de sœurs.

PODCAST

L’ACTU DES OUBLIÉ.E.S-TOUT LE MONDE DÉTESTE AMAZON. L’Actu des Oublié.e.s s’intéresse aux luttes contre la multinationale Amazon. Et plus particulièrement à ce qui se passe de l’autre côté de l’Atlantique où les salariés d’un entrepôt de l’État de New York ont créé le premier syndicat de l’entreprise sur le sol américain. https://rapportsdeforce.fr/linternationale/lactu-des-oublie-e-s-tout-le-monde-deteste-amazon-050313604

PRISONNIÈRES ET VISITEUSES - UN PODCAST À SOI- Charlotte Bienaimé. Série consacré à la violence, à la colère, à l'articulation entre le genre et la prison. Qu’elles soient prisonnières, proches de prisonniers ou victimes de violences, qu’est-ce que la prison fait aux femmes ? 

LES COEURS BRISÉS- LES PIEDS SUR TERRE. Chacun d’entre eux a senti son cœur se fendre, se briser et ils se souviennent exactement du jour où c’est arrivé. 

Y’A T’IL UNE « CULTURE BLANCHE » - KIFF TA RACE. Rokhaya Diallo et Grace Ly. Contrairement aux cultures non-blanches qui ont su, malgré la violence du colonialisme, perpétuer leurs traditions, leurs coutumes ou leurs danses, le monde occidental a vu disparaître ses pratiques culturelles populaires en même temps qu’il imposait son empire colonial.

MUSIQUE

  1. ENFANTS DU DESTIN Médine (SARA, NOUR, DAOUD, ATAÎ, DAVID, SOU-HAN, PETIT CHEVAL, KUNTA KINTE)-
  2. B met des bombes- YN
  3. DARLING, DARLING- Chapelier Fou

 

Contreparties

Goutte

pour 5,00 € et +

9 ARTINAUTES

40 DISPONIBLES

Une carte postale avec un petit mot doux de remerciement.

Ricochet

pour 50,00 € et +

2 ARTINAUTES

38 DISPONIBLES

Une carte postale avec un petit mot doux et une vidéo d'un conte par Marie C.

Rocher

pour 100,00 € et +

3 ARTINAUTES

34 DISPONIBLES

Une carte postale avec un petit mot doux et deux invitations à une représentation de "Montagnes Rudes"

Montagne

pour 200,00 € et +

0 ARTINAUTES

Une carte postale avec un mot doux + une vidéo d'un conte par Marie C.+ deux invitations à une représentation de Montagnes Rudes.