LIfE

La vie est un mensonge
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION

Présentation du projet

Bonjour à tous,

Eh oui, le tournge de LIfE est terminé depuis quelques jours.

Les images sont dans la boite et il reste maintenant beaucoup de travail de post-production pour arriver au film terminé .

C'est à ce titre que nous commençons dans quelques jours une campagne de crowdfunding avec le site ProArti.

En effet, cette production indépendante reste fragile et il nous manque une part conséquente du budget pour arriver à nos fin sans sacrifier la qualité finale.

A quoi cette participation va-t'elle servir?

Les sommes que nous allons récolter grâce a votre implication et votre générosité serviront à financer l’ensemble de la post-production du film, du montage image jusqu’à la copie finale, en passant par le montage les effets visuels, le sous-titrage, etc.

De plus une partie des sommes récoltées financeront la promotion du film lors de sa sortie salles (affiche, bande-annonce, attaché de presse,etc…) ainssi que l’organisation d’avant-première à laquelle seront invités tous les contributeurs.

Comment donner ?

Chaque participation est précieuse pour que le film puisse voir le jour dans les meilleures conditions.

Cerise sur le gateau, cette campagne est défiscalisable de vos impôts à 66% pour les particuliers et 60% pour les entreprises.

Par exemple, un don de 50€ ne vous coûtera réellement que 17€ !

Une fois la campagne terminée, vous recevrez immédiatement un certificat de défiscalisation pour les impôts.rci!

 

À PROPOS DU FILM

Genre : Comédie Dramatique

Durée : 90'

Auteur-Réalisateur : Dragan NIKOLIC

Casting : Natacha REIGNER, Marie-Christine BARRAULT, Mogamed BECHIEV, Suzon JOURDAN

Lieux & Période de tournage : Caromb et ses environs (Vaucluse 84)

                                                    Septembre à Octobre 2022

Sortie salle : 2ème semestre 2023

Producteur Délégué : Éric PORCHER - Cinéscience

Producteur Associé & Distributeur : Arnaud KERNEGUEZ - KapFilms Distribution

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LIfE - SYNOPSIS COURT

Depuis la mort brutale de son fils Guillaume, à l’âge de 20ans dans un accident de voiture, Sarah, vit recluse dans sa maison du sud de la France. L’histoire commence cinq ans plus tard, quand un soir d’été, Sarah surprend David, l’ami d’enfance de son fils, orphelin de naissance, qui se baigne dans sa piscine. Celui-ci, tout juste rentré du Canada, va se faire embaucher par Sarah pour s’occuper de son jardin, malgré le regard désapprobateur de Patricia, la « gouvernante/infirmière » de Sarah. David a l’impression d’avoir trouvé́ une mère de substitution. Sarah, un fils. Progressivement, Sarah et David vont s’abandonner à une idylle amoureuse. Mais l’apparition de Mathilde, jeune femme délurée, va faire basculer leur histoire dans le drame...

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LIfE - SYNOPSIS LONG

Depuis la mort de son fils à l’âge de 20 ans, à la suite d’un accident de voiture, Sarah, vit recluse dans sa maison dans le sud de la France. Elle partage son quotidien avec Patricia, sa fidèle gouvernante, toutes les deux ont fait de cette maison un temple de deuil et d’ennui, dédié à la répétition du quotidien et des besognes. Jardiner, entretenir la piscine, préparer le déjeuner, et le diner, voilà les éléments qui rythment la vie des deux femmes enfermées dans le cocon qu’elles se sont bâti.

Un soir, Sarah entend du bruit du côté du jardin et tombe nez à nez avec un jeune homme se baignant sans vergogne dans sa piscine. Surprise, et même affolée, c’est là qu’elle reconnaît David, le meilleur ami de son fils défunt, le dernier à l’avoir vu avant son accident fatal. David, qui rentre juste d’un séjour à l’étranger, s’est impulsivement dirigé vers cette maison qu’il connaît tant. Pour une raison qui semble lui échapper, il s’y est faufilé en douce et a sauté dans la piscine de son ancien ami. Sarah tout d’abord scandalisée par cette visite nocturne est ensuite attendrie par cet individu qui semble ressurgir de son passé. Il s’avère que David cherche un travail, qu’il a la main verte, elle l’engage donc pour s’occuper du jardin et de la piscine.

David, orphelin depuis sa tendre enfance, n’est de retour en France que pour quelque temps. Sans maison ni foyer, il passe ses nuits dans une tente plantée au sein d’une station de camping. Au fil des jours, Sarah se montre de plus en plus protectrice du garçon. Elle l’invite à s’installer dans le studio situé au fond de son jardin. Patricia se méfie de ce nouvel élément qui menace la stabilité et la sérénité de leur cocon.

C’est dans le studio, autrefois l’antre de Guillaume, que David a passé une partie de son adolescence, en compagnie de Mathilde, la petite amie de Guillaume avec qui David partageait une complicité toute particulière. Aujourd’hui, David prend ses marques dans ce studio. Et pour ce qui est de Mathilde, la complicité d’autrefois, se consume aujourd’hui à l’abri des regards comme deux âmes maudites, presque comme s’ils s’obligeaient à le faire pour se salir eux-mêmes. Leur relation est ambiguë, teintée de haine et de mépris.

Sarah et David, liés par le vide laissé par Guillaume, par une même solitude et une même mélancolie, tissent une amitié douce, intime et profonde. David se confie à elle, lui joue du piano, lui parle de son passé, des œuvres qui l’ont marqué́. Il semble avoir trouvé́ pour la première fois une maison, une famille, une certaine sérénité́. Il repeint les murs du studio, se l’approprie et efface petit à petit toute trace de Guillaume.

Patricia elle, se montre de plus en plus sceptique et envieuse quant à l’attention portée au jeune homme, elle ne manque pas de le lui faire comprendre par le biais de remarques et regards réprobateurs. Sarah confronte Patricia à ce sujet et lui confirme que le jeune homme a bien sa place parmi elles.

Un jour, David perd connaissance à la suite d’une insolation. Sarah, catastrophée et sans doute toujours traumatisée par l’accident de son fils, prend peine à réagir efficacement. Elle s’y prend tant bien que mal, pour mettre le jeune homme à l’abri, et fait venir un médecin. David est hors de danger, or pour Sarah l’incident éveille en elle un instinct protecteur. David loge désormais dans la chambre d’amis de la maison principale, c’est là que leur relation prend une tout autre tournure.

Les jours passent et David devient de plus en plus taquin avec Sarah, qui n’est pas insensible à ses charmes. Depuis la fenêtre de la maison, les deux personnages ressemblent à deux adolescents, fleuretant, se bagarrant dans le jardin. Un soir, David s’introduit dans la salle de bain de Sarah. Elle est stupéfaite par son geste, mais ne riposte pas.

Le lendemain, Sarah est toute confuse par la soirée charnelle qu’elle vient de passer avec David. À la suite d’un après-midi passé en compagnie de sa demi-sœur avec qui elle entretient une relation conflictuelle, Sarah, affaiblie émotionnellement, trouve à nouveau refuge dans les bras de David. Elle se confie, lui parle de son passé de sa famille, de ses peines et de ses amours. Leur rapport mue et devient unique. Cette relation improbable unit deux âmes perdues, elle devient presque une évidence.

Des impératifs familiaux éloignent Patricia de la maison pour quelques jours. Ce qui permet aux deux amants de se construire une idylle amoureuse et sexuelle. Coupe de glace à gogo, films à la télé́, pizzas et piscine, ce temps bucolique semble durer quand Patricia reporte son retour à maintes reprises.

Un jour, David se rend à la boulangerie, Mathilde l’aperçoit au loin, il l’a laissé́ sans nouvelles depuis quelques semaines, elle décide de le suivre et de le confronter. De retour à la maison, David trouve la porte du grenier ouverte et y pénètre. Il y découvre une salle remplie de souvenirs et d’objets appartenant à Guillaume. Un berceau, toute sorte d’affaires, et au centre, une urne contenant les cendres de son ami. David qui jusque-là n’était pas au courant de l’existence de ce mausolée, avance perplexe et porte l’urne dans ses bras. Mais lorsque Sarah le rejoint là-haut, pris par surprise dans cet espace ténébreux, il lâche l’urne qui se fracasse sur le sol. À la vue de ce spectacle déchirant, elle est prise d’une colère sombre et met David à la porte.

Le jeune amant est profondément blessé par les mots de Sarah, il se retranche dans son studio. On tape à la porte, c’est Mathilde. Sarah traverse le jardin, se rend au studio, probablement pour s’excuser de sa réaction. Elle est choquée à la vue de David en pleine étreinte avec l’ancienne petite amie de son fils. Sarah affrontera David à ce sujet. Le ton monte, les reproches s’accumulent, le douloureux souvenir de Guillaume rejaillit. C’est insupportable, Sarah met en pièces le grenier et détruit frénétiquement l’installation funèbre à l’honneur de son fils. David tente au mieux de la calmer et cette déchirante explosion de passion se conclut par une étreinte passionnée des deux amants. Ce grenier qui tentait de garder l’esprit de Guillaume intact n’a fait qu’emprisonner celui de Sarah. Cette dernière sort finalement de son antre et s’en va voir la mer avec David. Elle redécouvre le monde extérieur après cinq années de réclusion. À leur retour, les deux amants tombent nez à nez avec Patricia qui est profondément choquée de cette liaison. Elle préfère démissionner. Sarah ne rétorque pas et la laisse faire, résolument décidée à préserver cette idylle libératrice qu’elle entretient avec David. Les remparts de cette maison c’est Patricia qui les a érigés, son départ pourrait la défaire de son malheur.

Les deux amants se retrouvent donc seuls, leur relation est dépourvue d’obstacles dorénavant. Cependant ce rêve doux et tendre prend une tournure ténébreuse. Lorsque David tente d’enlever les feuilles qui bouchent la gouttière de son studio sur le toit de la maison, il tombe nez à nez avec Mathilde. Leur échange est d’une violence et d’une acidité sans nom. David lui avoue son amour pour Sarah. Mathilde fidèle à son tempérament déluré et revanchard le pousse dans un excès de colère du haut du toit. À la vue du corps du jeune homme fracassé au sol, elle prend la fuite, laissant le pauvre David balbutier ses derniers appels au secours.

C’est Sarah qui découvrira le corps inerte de son amant. Patricia, de retour, persuade sa patronne d’enterrer le jeune homme dans le jardin, afin d’éviter tout ennui avec la police. En l’espace de quelques heures, David, si vif portant, se retrouve parmi les morts.

Une fois de plus la vie ôte à Sarah ce qu’elle a de plus cher. La prison qu’elle s’est bâtie une première fois ne prendra que quelque temps pour s’ériger à nouveau. Patricia, les besognes, l’entretien de la piscine du jardin, sa vie reprend une même tournure. Le musée à la mémoire de Guillaume est remplacé par un hommage à David.

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Note de réalisation.

Pour mon film, j’ai été attiré par la représentation de deux solitudes profondes, de deux « âmes » traumatisées. Pour David, orphelin, l’absence d’une famille, surtout d’une mère, et pour Sarah, la perte de son fils. Mais, c’est la manière dont ces deux êtres — entre lesquelles semble pourtant se dresser le fossé d’une génération — vont se réparer, s’entraider, chacun venant progressivement colmater la plaie de l’autre.

Par certains aspects, je me retrouve dans le personnage de David. Moi-même ayant été confié à la DASS dès l’âge de six ans, la quête d’une mère de substitution ne m’a jamais été étrangère.

Sarah est à un âge où la société ne la considère plus comme « désirable ». Or, David, par sa vitalité, sa jeunesse et son amour, libère Sarah, qui s’ouvre à nouveau à la vie. Certes, il ne s’agirait là pas du premier film traitant de la relation d’une femme mûre avec un jeune homme. Nous nous confrontons à une relation tabou qui n’est pas vécue comme telle par les deux amants.

La faille dans laquelle s’immisce spécifiquement mon film, est que, quoi qu’on en dise, la retenue de Sarah tient moins à l’écart d’âge qu’à la présence, toujours parasitante, de son fils mort. Même si David prend la place symbolique de Guillaume au départ, très vite, de manière évidente, l’idylle naissante va laisser place à un amour-passion.  

L’inceste étant — dans la littérature grecque —, une faute sujette à la punition des dieux, on pourra voir dans la mort accidentelle de David une résurgence du tragique. Le couple tout juste formé projetait son exil, souhaitant abandonner un temps le lieu de la culpabilité, le foyer, pour mieux s’arracher à la réalité amère. L’histoire se répète donc pour Sarah : l’enfant de substitution puis amant, lui est à son tour arraché. Il aura été une parenthèse dans sa solitude, parenthèse au cours de laquelle les interdits ont été levés, et où les possibles se sont ouverts.

L’instabilité de David, que laissent transparaître ses pulsions ainsi que son carnet noir, journal débordant de fureur et de noirceur rythmeront un flux filmique majoritairement solaire. Il a toujours rêvé d’être Guillaume, l’enfant chéri de Sarah. Il aime que Sarah s’occupe de lui, comme son fils. Ce sont des sensations qu’il n’a jamais connu à l’orphelinat.

Mon histoire cristallise la magie d’un amour renforcé par l’interdit, et qui subsiste après la mort des amants. Mon intention n’est pas seulement de filmer un drame psychologique et sociologique, mais de montrer que le sentiment amoureux transcende tout.  J’aime cette poésie qui mêle l’irréalité du son et le réel de l’image.

Mes influences pour mon film, sont Plein Soleil de René Clément, La Leçon de Piano de Jane Campion, Sur la route de Madison de Clint Eastwood, Call Me By Your Name de Luca Guadagnino, ou encore La Piscine de Jacques Deray. Cinq exemples de passions amoureuses dévorantes.

Dragan Nikolic

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Note de production.

Le Genre...

Ça commence comme une comédie romantique et se termine comme un drame, mais c’est surtout l’histoire d’une renaissance, même si malheureusement elle n’aboutira pas.

Le genre renvoi aux grands classiques de la tragédie grecque (le paysage méditerranéen, les rapports humains dysfonctionnels, etc.) même si le film évolue dans un registre où les sentiments restent confinés dans l'intimité.

L'Auteur-Réalisateur

Au fur et à mesure de nos disscussions, j'ai acquis la conviction que Dragan Nikolic maitrisait parfaitement son sujet et les ressorts dramatiques à convoquer. Il possède aussi une vision très précise du processus cinématographique à mettre en place, notamment pour assurer l'empathie nécessaire que le spectateur doit ressentir pour le personnage principal.

Le Casting

Le développement du film a pris une dimension supplémentaire lorsque Natasha Régnier nous à confirmé son accord. Son enthousiasme pour le rôle a conforté notre intuition qu'elle était la comédienne idéale pour incarner Sarah. Elle saura parfaitement apporter l'humanité et la détresse de ce personnage de femme mûre, détruite par un drame familial. Son accord a été déterminant dans la réécriture de la dernière version du scénario et s'est approprié le personnage avec enthousiasme et professionnalisme. Le distributeur salles est d'ailleurs enchanté de l'arrivée d'une comédienne identifiée, titulaire de plusieurs prix d'interprétation, dont celui du Festival de Cannes pour La vie révée des Anges et du César du Meilleure Espoir, entre autre récompense, ainsi que pour les films de François Ozon, Costa Gavras, etc... Un atout majeur pour la communication et la promo au moment de la sortie. Le reste du casting s'est confirmé, Marie-Christine Barrault, Mogamed Bechiev et Suzon Jourdan. L'ensemble des seconds rôles et de la figuration ont été confiés à des comédiens de la région.

La production

Pour LIfE, ce premier film a été entièrement tourné en Région sud, dans le Vaucluse, dans la commune de Caromb et ses environs. Grâce à la Commission du Film Vaucluse, nous avons trouvé la propriété idéale pour le décor principal du film. Fin avril/début mai nous avons finalisé les repérages des décors secondaires dans les communes limitrophes.

La Distribution

C'est le distributeur KAPFILMS Distribution qui se chargera de la ditribution salles, vidéo, DVD, etc... pour la France. Il à distribué plusieurs films que j'ai produit et je connais donc très bien la qualité de son travail. Après avoir distribué près de 50 films en 10 ans, il a maintenant augmenté son potentiel de sorties grâce au soutien de plusieurs partenaires financiers.

Nous espérons que ce film éveillera votre intérêt et vous remercions de l'attention que vous lui acorderez.

A quoi sert l'argent collecté

Les sommes que nous allons récolter grâce a votre implication et votre générosité serviront à financer l’ensemble de la post-production du film, du montage image jusqu’à la copie finale, en passant par le montage les effets visuels, le sous-titrage, etc.

De plus une partie des sommes récoltées financeront la promotion du film lors de sa sortie salles ainsi que l’organisation d’avant-première à laquelle seront invités tous les contributeurs.


Objectif de collecte

45 000,00 €

Montant Global

106 500,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Post-production

Sous-titrage et copie diverses, promotion 7 500,00 €
Montage image et son 51 000,00 €
Mixage et musique 23 000,00 €
Conformation, etalonnage et livraison 25 000,00 €
SOUS TOTAL 106 500,00 €

TOTAL

TOTAL 106 500,00 €

Recettes

Désignation Montant

Apports

CINESCIENCE 61 500,00 €
SOUS TOTAL 61 500,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 45 000,00 €

TOTAL

TOTAL 106 500,00 €

Contreparties

Votre nom au générique

pour 25,00 € et +

0 ARTINAUTES

Votre nom au générique + Une affiche dédicacée du film

pour 50,00 € et +

0 ARTINAUTES

Votre nom au générique + Une affiche dédicacée du film + deux places pour voir le film à sa sortie

pour 100,00 € et +

0 ARTINAUTES

Votre nom au générique + Une affiche dédicacée du film + Une invitation à l’avant-première.

pour 150,00 € et +

1 ARTINAUTE

24 DISPONIBLES

tre nom au générique + Une affiche dédicacée du film + Une invitation à l’avant-première + Un BluRay du film au moment de son édition vidéo.

pour 200,00 € et +

0 ARTINAUTES

Toutes les contreparties précédentes et notre reconnaissance éternelle !

pour 1 000,00 € et +

0 ARTINAUTES