De quelles couleurs sommes-nous faits?

AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION,
DÉMOCRATISATION CULTURELLE

Présentation du projet

COLLECTE TERMINEE. MERCI A TOUTES ET A TOUS POUR VOTRE SOUTIEN

De quelles couleurs sommes-nous faits est un film documentaire de Romuald Vuillemin

produit par Anem Ponem Productions.

Date de sortie prévue début 2020.

De quelles couleurs sommes-nous faits ? raconte le quotidien de demandeurs d'asile, rencontrés au cours d'un périple à travers la France. Pour réaliser ce documentaire, nous avons besoin de votre aide pour financer dans un premier temps le tournage qui va durer près d'un an et ensuite une partie du montage.

Quelques mots du réalisateur

Je m’appelle Romuald Vuillemin.

Je suis cinéaste et auteur de plusieurs films documentaires.

Dans le flux d'informations, il y a comme une banalisation de ce qui se déroule en mer Méditerranée et une volonté de criminalisation par les pays européens de l'action des ONG qui viennent au secours des migrants. En refusant d’accueillir les bateaux des ONG qui recueillent des migrants, l’Europe a montré son extrême égoïsme et sa faculté à se replier sur elle-même.

Depuis 2014, près de 18 000 personnes se sont noyées en mer.

Nous ne pouvons pas rester indifférents ni ne rien faire. Mon travail documentaire est tourné depuis longtemps vers la marge, vers les populations sensibles, oubliées. Comment traverser ce monde en disant je n'ai rien vu, je n'ai rien fait. Chaque action pour aider les populations les plus faibles, aussi minime soit-elle, est une nécessité.

Les personnes migrantes sont des centaines de milliers partout en Europe et en France, à vivre dans la clandestinité. Ils n’ont pas de visage, souvent pas d’existence officielle, parfois depuis très longtemps.

Difficile de savoir quelles souffrances subissent ceux et celles qui décident de prendre la route. Autant de personnes autant d’histoires singulières, autant de désirs de vivre.

Quelle place peut-on donner à ces gens qui se réfugient chez nous ?

J’ai donc décidé de les faire témoigner sur leur vie en France après leur arrivée.

Ils quittent leur pays parce que c'est la guerre, la crise économique, parce que la dictature y sévit où pour d’autres raisons beaucoup plus personnelles.

Obtenir des papiers est un gage de survie pour eux et un parcours du combattant. Beaucoup n’en n’obtiennent pas. Beaucoup se cachent parce que retourner chez eux est impossible. Nous avons le devoir de les accueillir et pourtant c’est l’inverse qui se produit depuis que l’Etat a décidé de durcir sa politique d’immigration. Depuis plus de 30 ans les législations relatives à l’entrée et à l’installation des personnes étrangères sur le territoire national se durcissent. Il est de plus en plus difficile d’être régularisé.

J’ai donc envie de donner la parole, malgré la difficulté que cela représente, à ces personnes, sans visage, sans statut mais aussi à celles qui ont obtenu des papiers, pour qu’elles racontent leur quotidien.

Que sait-on d’eux ?

Que connait-on de leur culture ?

Que ressentent-ils loin de chez eux ?

Quelle vie pour eux aujourd’hui ?

Ces quelques questions interrogent sur la place que nous leur faisons.

Réaliser un projet de ce type, ça demande beaucoup de temps, beaucoup de moyens matériels et logistiques.

Je vais parcourir la France pendant de longs mois à la rencontre de ces personnes. Pour ces raisons, je voudrais vous solliciter en participant à l’élaboration de ce documentaire. J’ai besoin de vous pour que ce film se fasse en toute indépendance et pour que la parole des personnes migrantes puisse exister.

Le film en quelques mots

Ali s’est suicidé en prison. Eve l’a soutenu pendant des mois sans savoir qu’il avait de graves problèmes psychiatriques. Sidi, Naby, Abou, Efe et les autres sont vivants. Loin de la mort, ils vivent le plus souvent dans la clandestinité. Que reste-t-il du voyage entrepris jusqu’à nos rives occidentales ? Que reste-t-il des espoirs du départ ? Qui sont ces gens, invisibles quand ils n’ont pas de papiers, qui rêvent d’un autre possible? Au-delà de l’immigration, ce film est une traversée de la France où la caméra enregistre la parole des personnes migrantes et de celles qui les soutiennent pour exister.

Présentation générale

Il y a ceux qui ont un visage et ceux qui ont une voix. Il y a ceux qui ont une existence légale et il y a ceux qui n’entre dans aucune catégorie et doivent vivre dans l’attente, la peur et l’inconnu.

De quelles couleurs sommes-nous faits ? est un film documentaire qui aborde le thème de la migration. L’idée générale du film est de donner la parole à des immigrés avec ou sans papiers pour qu’ils racontent face à la caméra ou de façon anonyme quelle est leur vie en France.

Peu importe leur statut : immigrés économiques ou climatiques, réfugiés, etc., ce film documentaire porte un regard sur une partie de la population qui n’a pas de visage où un visage déformé par les clichés et les à priori. Cette population a une réalité. Le plus souvent étudiée de façon statistique ou anthropologique; lui donner la parole, c’est tenter de faire avancer l’idée qu’il y a une seule espèce d’êtres humains.

La crise des migrants de 2015 a porté cette problématique au-devant de la scène médiatique. Pourtant l'histoire des migrations montrent que ces déplacements de populations ont toujours existé. Porter un regard sur ces hommes et ces femmes, c’est leur permettre d’exister.

L’enjeu du film est de rendre compte du drame qui se joue devant nous mais également de faire émerger la dimension humaine de l’autre dans notre société.

Ainsi, nous recueillons la parole des personnes qui cherchent un refuge en France mais aussi ceux et celles qui leur apportent un soutien sans faille.

Synopsis

Dans un train de banlieue parisien, le paysage défile en noir et blanc : des zones industrielles, des lotissements de résidences secondaires, des immeubles, le périphérique et ses embouteillages. C’est l’hiver. Les rivières débordent. Une voix off égraine le récit de réfugiés sur leur passage en Lybie et l’arrivée en Europe après leur traversé de la Méditerranée :

« Ils nous ont emprisonnés dans un camp. Puisqu’on n’avait pas d’argent, on devait travailler pour payer le voyage. L’enfer pour nous a duré 5 mois pendant lesquels on était battu avec tout ce qui leur tombait sous la main : des barres de fer ou de bois, des tuyaux. On recevait des décharges électriques si la cadence de travail ne suffisait pas ou pour n’importe quelle autre raison. On avait un petit bol de bouilli par jour avec à peine d’eau. On entendait des gens crier. On savait qu’ils étaient torturés sans raison juste comme ça par cruauté. On savait qu’ils y en avaient d’autres qui étaient violés, beaucoup de femmes oui, mais des hommes aussi. Des gens mouraient autour de nous sans qu’on puisse rien faire. Si quelqu’un était trop faible pour aller travailler, il était abattu. D’autres ont été tué en tentant de s’échapper. »

Gare de l’Est, une personne dort à même le sol. Les gens passent sans se soucier d’elle.

« En août 2017, je savais qu’Ali était mort. J’ai réuni tout ce que j’avais de lui et je me suis dit je vais raconter sa vie car je possède tout de lui, sa vie intime, privé, ses états d’âme. Après sa mort, j’ai retrouvé dans ses affaires que j’avais récupérées son dossier médical. Ses affaires qui avaient encore son odeur, plutôt l’odeur de la souffrance et ça m’a bouleversé. J’avais décidé d’écrire son histoire et de mettre des vidéos que j’avais filmées de lui tel qu’il était avant d’être rattrapé par la folie qu’il avait déjà avant de le rencontrer et que je n’avais absolument pas soupçonnée. »

Ali était afghan. Eve l’a recueilli à son domicile. Depuis son décès par suicide à la prison de Fleury-Mérogis en 2017, elle reste encore incrédule de la situation des migrants à Paris. Son quotidien a basculé quand elle aperçoit de sa fenêtre, une centaine d’afghans s’installer sur la place de la République pour y dormir. Plus encore que les attentats de novembre 2015, la situation intolérable que provoque cet afflux de réfugiés bouleverse sa vie. Elle se met en quête d’aider ces personnes pour leur rendre une dignité bafouée. Elle en accueille certains la nuit. Et notamment Ali qu’elle va héberger de long mois et soutenir avant de découvrir sa folie. Ali est un homme détruit par la torture subie dans son pays. Des traumatismes graves le traversent. Les séquelles irrémédiables font de lui un homme à l’affût qui va l’amener à séjourner plusieurs fois en prison jusqu’à ce dernier acte où il décide d’en finir en se pendant au fond de sa cellule.

Difficile de savoir quelles souffrances subissent ceux et celles qui décident de prendre la route. Autant de personnes autant d’histoires singulières, autant de désirs de vivre.

L’histoire d’Eve et d’Ali l’afghan est un cheminement. Les images remontent le temps, font le chemin en arrière jusqu’aux rives de la Méditerranée. Le film est une succession de portraits tissés au fur et à mesure des rencontres. Au-delà des témoignages qui hurlent le désespoir des traversées et des routes migratoires où de nombreuses personnes perdent la vie en tentant d’échapper à leur destin. La parole raconte la difficulté d’exister comme étranger, simplement d’être un homme ou une femme dans notre pays. Le récit convie la mémoire de ceux qui viennent en France et qui pour la plupart vivent dans le silence et la précarité.

Vivre sans-papiers, c’est aussi disparaître, devenir invisible. Officiellement ne pas exister. Officieusement s’inscrire dans le quotidien de la cité avec le danger d’être arrêté et expulsé. Ces personnes ont une histoire. Elles ont un présent : celui d’être ici avec toute la difficulté qu’impliquent l’éloignement et l’absence des proches.

Je retrouve Abdallah dans un café. Il sort de la télé libre où il suit une formation pour devenir journaliste. Quand je lui pose la question quant à son avenir, il est clair :

« J’ai vécu ici deux ans sans papiers. C’est un peu difficile car toujours tu dois te cacher. Je suis arrivé en 2015 et j’ai attendu 2 ans avant d’avoir une réponse positive pour le visa. J’ai vécu en Libye presque 5 ans. J’ai traversé la Méditerranée jusqu’en Italie. Mon objectif, c’était d’aller en Angleterre. Je ne peux pas te dire pourquoi je suis parti mais j’étais en danger. J’ai dû quitter mon pays. Je n’avais pas d’autre choix. J’ai voulu vivre dans un autre pays africain. Après 5 ans en Lybie, il y a eu la guerre et c’est devenu très dangereux pour moi. Je ne pouvais pas rentrer dans mon pays et je ne pouvais pas rester en Libye. À ce moment-là j’ai décidé de traverser la Méditerranée pour venir en Europe. Pour moi les papiers ne sont pas très importants. Ce sont les humains qui sont importants. Si je ne trouve pas de solution ici, maintenant que j’ai un visa rien ne me retient. J’irai tenter ma chance en Allemagne. Ici ou ailleurs, c’est de ma liberté qu’il s’agit. En quittant le Tchad, j’ai tout laissé derrière moi. Je n’ai plus rien à perdre sinon ma liberté. »

Souvent revient dans la parole des étrangers, ce sentiment de ne pas être comme les français. Nabi parle avec Cmall, un étudiant de Villejuif de ce racisme latent, sous-jacent comme une récurrence génétique, un héritage historique. Naby aborde l’idée qu’il y a comme un honneur à être présent sur le sol français alors même que les conditions de vie sont complexes. Il fait part de sa lassitude : se sentir déconsidéré simplement parce qu’il est noir.

Sidi vit au premier étage de l’immeuble. Il y a 7 lits dans un studio. Un coin fumeur de 2 mètres sur 2 à l’extérieur. Sidi cuisine un mafé pour agrémenter du poulet. Abou, allongé sur son lit, trie des papiers administratifs. Il les range pour les avoir à disposition rapidement. Il sort très peu. Il a peur. Sidi est comme un grand frère pour Abou. Il le rassure ou le motive pour qu’il ne craque pas. Le plus souvent, ils ont très peu de contact avec les autres, nous les français. Communautarisme et peur d’être contrôlé favorisent également ces absences d’échanges.

Mustapha rame le sourire aux lèvres. Le canot flotte tranquillement sur le plan d’eau du bois de Vincennes où Eve a décidé de les emmener ce samedi après-midi. Derrière l’épaule de Mustapha, Manab explique comment il a été séparé de sa famille en Grèce. Une nuit, on leur a dit d’embarquer sur des bateaux. Dans la précipitation, il est monté à bord d’une autre embarcation. Depuis 2 ans, il est sans nouvelles de ses proches.

« Je loge dans une chambre d’un foyer. Mais j’y vais rarement juste pour dormir quelques heures. Le reste du temps je préfère être dehors. Voir des gens. Je fais des cauchemars toutes les nuits. J’aimerais que ça s’arrête. C’est mon père qui a voulu quitter Kaboul. Il était policier. Il a eu peur pour sa famille. Alors un jour, il nous a dit qu’on partait. Moi, je voulais rester à Kaboul. »

Pourquoi réaliser ce film ?

Le réalisateur Jean-Louis Comolli à propos du cinéma documentaire s’emploie à dire qu’il n’y aura jamais assez de film et qu’il faut en faire tant que l’on peut pour raconter le monde. Raconter les hommes. Raconter l’altérité.

Que s’est-il passé pour que nous ayons oublié l’histoire récente ? Sommes-nous amnésiques ou l’histoire est-elle un irrésistible bégayement ?

Plus que l’obtention de papiers, l’être humain a besoin de l’autre, de l’attention qu’on lui porte et au-delà de la tendresse et de l’affection. Le film s’écarte des stéréotypes pour permettre à des visages visibles où invisibles d’exprimer leurs ressentis.

Pouvons-nous rester sans rien faire contre la machine administrative qui a décidé au nom du politique d’enfermer les personnes migrantes dans une tour infernale. Ils sont prisonniers de leur propre errance parce que nos sociétés occidentales vieillissantes et riches ont peur de voir en eux un avenir possible et nécessaire. Ces populations continueront à migrer tant qu’elles seront économiquement et politiquement soumises à la désolation dans leur propre pays.

Comment parler, comment énoncer la difficulté d’être un réfugié, un demandeur d’asile, un simple immigré venu chercher un autre possible dans la France de 2018 alors que les législations relatives à l’immigration ne cessent de se durcir depuis 30 ans et qu’un Etat peut refuser l’accès à ses ports d’un navire rempli de migrants sauvés de la mort ? Comment dire cette réalité sinon en donnant la parole à ceux qui sont les premiers concernés : les immigrés ?

La question au cœur du film est quelle vie as-tu ici et maintenant ?

Où en sommes-nous ?

Le film se construit au gré des rencontres et du temps passé dans des squats où les personnes migrantes trouvent parfois un refuge. Recueillir la parole de l’autre peut-être douloureux pour celui qui la porte. On doit s’apprivoiser. Apprendre de l’autre, se rapprocher, être en confiance demande du temps. Les repérages se terminent. Le moment du tournage commence mais la route est encore longue.

Anem Ponem Productions est une association qui produit des films documentaires et des vidéos expérimentales. Depuis février 2015, elle s’est transformée en Sarl pour répondre aux exigences de la production.

Anem Ponem Productions est née en 2006 du désir de faire en région un autre cinéma avec la volonté de se détacher au maximum du formatage actuel des productions. Nous avons pour vocation d’aider à la création et à la diffusion d’œuvres audiovisuelles originales. Le choix des projets se base autant sur les qualités humaines et sociales des intentions que sur leurs approches cinématographiques.

Pour plus d’informations : https://anemponem.wordpress.com/

A quoi va servir l’argent ?

Avec 4000 euros auquel vous retirez 8% pour le site hébergeur, nous pourrons envisager de payer les frais au cours du tournage qui se déroulent dans plusieurs endroits du territoire et pendant plusieurs mois. Si nous parvenons à ce montant, dans un second temps, nous pourrions aller plus loin et financer un possible montage puis une post-production.

PS 1 : Si vous voulez continuer à nous soutenir, n'hésitez pas à en parler autour de vous, certaines personnes ont peut-être besoin de plus de temps avant de comprendre cette démarche de financement solidaire et l'intérêt que cela a pour nous.

PS 2 : Faites circuler l'info via vos réseaux sociaux !

A quoi sert l'argent collecté

Avec 4000 euros auxquels vous retirez la commission pour le site hébergeur, nous pourrons envisager de payer les frais au cours du tournage. Si nous parvenons à ce montant, dans un second temps, nous pourrions aller plus loin et financer un possible montage puis une post-production.


Objectif de collecte

2 900,00 €

Montant Global

33 348,00 €

Dépenses

Désignation Montant

transports/régie

déplacements 2 000,00 €
Défraiement 1 000,00 €
hébergement 2 000,00 €
SOUS TOTAL 5 000,00 €

Personnel

Personnel 10 000,00 €
SOUS TOTAL 10 000,00 €

charges sociales

charges sociales 9 800,00 €
SOUS TOTAL 9 800,00 €

Tournage

caméra 2 000,00 €
SOUS TOTAL 2 000,00 €

Post-production

montage 3 900,00 €
mixage 1 500,00 €
étalonnage 800,00 €
SOUS TOTAL 6 200,00 €

Divers

commission Proarti 348,00 €
SOUS TOTAL 348,00 €

TOTAL

TOTAL 33 348,00 €

Recettes

Désignation Montant

Fonds propres

Anem Ponem Productions 19 000,00 €
vente (divers) 5 348,00 €
SOUS TOTAL 24 348,00 €

subventions

diffuseur (en cours) 5 000,00 €
SOUS TOTAL 5 000,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 2 900,00 €

TOTAL

TOTAL 32 248,00 €

« Les poètes déclarent que le racisme, la xénophobie, l’indifférence à l’autre qui vient qui passe qui souffre et qui appelle sont des indécences qui dans l’histoire des hommes n’ont ouvert la voie qu’aux exterminations, et donc que ne pas accueillir, même pour de bonnes raisons, celui qui vient qui passe qui souffre et qui appelle est un acte criminel. »

Patrick Chamoiseau. Extrait de la déclaration des poètes. Frères migrants. Seuil

Suivez l'actualité du projet !

  • Collecte terminée

    La collecte est maintenant terminée. Nous avons recueilli près de 3000 euros. Un grand merci aux 42 contributrices (et eurs), à celles et à ceux qui ont partagé le projet, qui en ont parlé et à toutes celles et ceux qui nous soutiennent. Nous pouvons envisager de poursuivre le tournage du film tout au long de cette année, retourner dans les squats de demandeurs d'asile, poursuivre les rencontres qui se sont nouées depuis un an. Nous vous tiendrons informé du projet tout au long de son avancement. Merci encore et bonne journée. L'équipe du film

  • ça avance

    Bonjour à tous, Quelques nouvelles du financement participatif pour le film de Romuald Vuillemin qui progresse... doucement. Nous sommes encore loin de la somme demandée mais il nous reste deux semaines pour atteindre nos objectifs et beaucoup d'entre vous ont déjà répondu présents. Un grand merci à vous donc. Le travail avance, Romuald passe du temps dans un squat tousoulain où environ 300 personnes d'origines diverses s'organisent dans leur nouvelle vie. Le lieu, une banque avec des bureaux qui font office de chambres, et des gens qui partagent leur quotidien et leur expérience. Guinéens, Tunisiens, Tchadiens,... avec leur histoire singulière, cohabitent dans des conditions précaires qu'ils arrivent peu à peu à améliorer. Peu de prises de vue encore, le temps est à l'immersion, à la rencontre, à prendre sa place dans cette communauté pluri-ethnique... Pour ceux qui souhaitent participer à l'aventure, il n'est pas trop tard, même un petit don est le bienvenu ! Viviane

  • De quelles couleurs sommes-nous faits ?

    Bonjour à tous,

    le financement avance mais nous avons encore du chemin à parcourir. Merci à tous ceux qui ont rejoint la collecte pour soutenir De quelles couleurs sommes-nous faits?

    N'hésitez pas à partager la collecte et à parler de ce projet autour de vous.

    En vous remerciant de votre aide. A bientôt

    La production

Contreparties

remerciement

pour 1,00 € et +

3 ARTINAUTES

Un très, très grand merci de la part de la production.

au générique

pour 10,00 € et +

2 ARTINAUTES

Un très, très grand merci de la part de la production et votre nom au générique.

invitation

pour 30,00 € et +

7 ARTINAUTES

Un très, très grand merci, votre nom au générique et une invitation à une projection du film.

carte personnalisée

pour 50,00 € et +

2 ARTINAUTES

Un très, très grand merci, votre nom au générique, une invitation à une projection du film et une carte postale personnalisée dédicacée par le réalisateur.

un dvd du film

pour 80,00 € et +

2 ARTINAUTES

Un très, très grand merci, votre nom au générique, une invitation à une projection du film, une carte postale personnalisée dédicacée par le réalisateur et 1 dvd du film.

clef usb et bonus

pour 100,00 € et +

3 ARTINAUTES

Un très, très grand merci, votre nom au générique, une invitation à une projection du film, une carte postale personnalisée dédicacée par le réalisateur et une clef USB contenant le film et des bonus.

Participation

pour 140,00 € et +

0 ARTINAUTES

Un très, très grand merci, vous participez de manière privilégiée et votre nom sera inscrit au générique comme tel, une invitation à une projection du film, une carte postale personnalisée dédicacée par le réalisateur et une clef USB contenant le film et des bonus.

Huile

pour 250,00 € et +

0 ARTINAUTES

Un très, très grand merci. Vous participez de manière privilégiée et votre nom sera inscrit au générique comme tel. Vous recevrez une invitation à une projection du film, une carte postale personnalisée dédicacée par le réalisateur et une clef USB contenant le film et des bonus.

Et surtout, vous devenez l'heureux détenteur d'un tableau certifié authentique de Romuald Vuillemin le réalisateur qui est également plasticien. Huile sur toile. 20X20


Toile

pour 400,00 € et +

0 ARTINAUTES

Un très, très grand merci. Vous participez de manière privilégiée et votre nom sera inscrit au générique comme tel. Vous recevrez une invitation à une projection du film, une carte postale personnalisée dédicacée par le réalisateur et une clef USB contenant le film et des bonus.

Et surtout, vous devenez l'heureux détenteur d'un tableau certifié authentique de Romuald Vuillemin le réalisateur qui est également plasticien. Huile sur toile. 50X50

un film une oeuvre

pour 700,00 € et +

0 ARTINAUTES

Un très, très grand merci. Vous participez de manière privilégiée et votre nom sera inscrit au générique comme tel. Vous recevrez une invitation à une projection du film, une carte postale personnalisée dédicacée par le réalisateur et une clef USB contenant le film et des bonus.

Et surtout, vous devenez l'heureux détenteur d'un tableau certifié authentique de Romuald Vuillemin le réalisateur qui est également plasticien. Huile sur toile. 80X80