DANTON, Les Derniers Jours du Lion

ARTS DE LA SCÈNE
PRODUCTION

Présentation du projet

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DANTON, Les Derniers Jours du Lion

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Qui sommes-nous ?

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Nous sommes Étienne, Samuel, Yves-Pol, Maxime, Barbara, Jean-Baptiste, Pierre et Viollaine.

Nous sommes l'équipe de « DANTON, LES DERNIERS JOURS DU LION ».

Le 31 mars 2021, nous serons Georges, Camille, Maximilien, Louise, Antoine, Jacques-René, et Lucile. Ce sera la première de notre spectacle à l’Essaïon Théâtre.

Pour cela, depuis plusieurs mois, on travaille. Enfin, on travaille, puis on s'arrête, puis on reprend, puis ... Sinécure de tout comédien en 2020 ! Cela aurait pu être déprimant si nous n'avions pas vu les énergies se fédérer autour de nous (Merci à l’Essaïon Théâtre, à l’association « Histoire et Patrimoine », à la Ville et à la Communauté de Communes d’Arcis-sur-Aube, fief de Georges Danton, et au Conseil Général de l’Aube).

Si on vous sollicite, c’est qu’on y est presque ! Pour donner vie sur scène au texte d'Étienne Menard, il nous manque encore quelques menues monnaies !

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Pour quoi faire ?

Principalement pour financer la construction des décors et l'achat / confection des costumes. Eh oui, nous sommes six au plateau et il y a huit personnages ! Le solde servira à financer une partie du coût d'un attaché de presse. En effet, notre future exploitation à l'Essaïon Théâtre est une belle occasion pour se constituer une jolie revue de presse, élément prescripteur aux yeux des futurs spectateurs.

Vous trouverez notes d'intentions et illustrations des costumes et décors dans la rubrique "Inspiration".

Maintenant peut-être vous dites-vous: « On aimerait bien en savoir plus !»

C’est juste en dessous…


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Pourquoi cette collecte ?

Sophocle, disait du théâtre qu'il était "le rassemblement des solitudes éparpillées". Aujourd’hui, dans une période sombre et préoccupante, dans un contexte social délabré, où nous sommes confinés, parfois éloignés, isolés, sans pouvoir se toucher, s'embrasser, ... Cette phrase résonne particulièrement fort.

La culture en général, et le théâtre en particulier, sont en survie. Il nous est vital de pouvoir, à nouveau, nous rassembler, nous interroger, rêver, et continuer, ainsi, à élever notre conscience d’êtres humains.

"Après le pain, l'Éducation est le premier besoin d'un peuple!", disait Danton.

Soutenir notre pièce « Danton, Les Derniers Jours du Lion », c’est nous permettre à nous, artisans du spectacle, de re-créer, de re-travailler, en un mot, d'exister. Mais c'est aussi permettre à nous TOUS de reprendre vie et de nous re-trouver, de partager et d'échanger dans un environnement qui nous est ESSENTIEL, la scène!

Soutenir notre spectacle « Danton, Les Derniers Jours du Lion », c'est aussi se remémorer le bouleversement humain, social et politique que la Révolution a provoqué en France et dans le monde. C’est aller à la rencontre de personnages qui se sont donnés tout entier à elle et mesurer leur dimension dans l’Histoire, leur grandeur, le symbole qu’ils représentent, vivants à jamais ! « Ils ont rêvé d’Humanité et de Justice, ils ont inventé un idéal, ils se sont battus pour lui donner vie : « LIBERTÉ, ÉGALITÉ, FRATERNITÉ » !

Nous avons besoin de vous.


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Quest- ce que cela raconte ?


LHistoire

France - Novembre 1793

Après quelques mois de retrait du jeu politique, en plein cœur de la Révolution, DANTON revient à Paris. Entouré de Desmoulins et ses amis, il veut infléchir la politique de terreur menée par Robespierre et le comité de salut public. Mais les amitiés et les alliances d'hier ont changé, les enjeux aussi...


Les amis sentretuent. Ils senvoient les uns les autres à la guillotine sans savoir pourquoi, quelle croyance, quelle doctrine, quelle logique.

La violence aveugle s'empare du pouvoir.

David Lawday


Quest-ce que lon veut faire ?


Note de l’auteur - Étienne MÉNARD

« DANTON, Les Derniers Jours du Lion », c'est entrer dans l'intimité des ultimes semaines de personnages au destin hors-norme, engagés dans une terrible lutte de pouvoir, à un moment épique de l'Histoire de France.

Tout, dans la Révolution, peut être source d’inspiration pour le théâtre : le contexte, l’événement, son impact sur l’Histoire et sur le monde, les personnages et leur destin, la dramaturgie… Danton, homme truculent, épicurien, orateur hors-pair, fédérateur, est un personnage de théâtre ; son procès, l’un des premiers procès politique de l’Histoire, mené à charge uniquement et dans lequel l’accusé se défend comme un lion blessé, est un « spectacle » à lui seul.

Huit personnages, célèbres, animent la pièce et son histoire. Mon sujet a été de les raconter dans leur intimité : comment vivaient-ils, pris dans un rythme effréné, fatigués, éprouvés, usés par le combat ? Qui étaient leurs femmes, quelle place avaient-elles ? Et dans cette période de fin 1793 qui sent la peur et la mort, quand les doutes apparaissent, comment réagissent-ils ? Qu'en disent-ils ?

J’ai souhaité, également, montrer les relations d'amitié, fortes parfois, entre ces protagonistes. Et comment, à un moment, pour des enjeux de pouvoir, enjeux de vie ou de mort, ces relations ont volé en éclats. Comment on peut se rassembler face à un adversaire commun - la Monarchie, le Roi -, mais quand celui-ci est à terre, que le pouvoir est vacant, qui devient ennemi ?


Pour que la Révolution soit, il ne suffit pas que Montesquieu la présente, que Beaumarchais lannonce, ou que Rousseau la prémédite :

Il faut que Danton lose !

Victor HUGO


Note du metteur en scène - Pierre BOUCARD

Depuis plus de vingt-cinq ans, je nourris une vraie passion historique pour la période de la Révolution Française. Ce fut donc une vraie joie quand Étienne Menard, ami et comédien que j’admire, m’a demandé de mettre en scène sa pièce sur les derniers jours de Danton. Mais le doute a rapidement succédé à la joie : que faire face à des personnages que vous admirez ? Et puis comment allais-je diriger des comédiens lorsqu’il s’agit de jouer des légendes ? Des hommes et des femmes dont les noms font partie de notre imaginaire collectif ? Des hommes et des femmes dont les noms nous accompagnent depuis l’école jusque dans notre quotidien via les rues que nous empruntons tous les jours ?

Dès mes premières lectures de la pièce, ces doutes se sont évaporés. La pièce d’Etienne Menard m’offre une voie : les rencontrer dans leurs intimités. Ce ne sont plus Danton, Robespierre, Desmoulins mais Georges, Maximilien ou Camille.

Si le passage du procès redonne à entendre la parole publique de ces hommes, tout le reste représente une plongée dans l’intime. Face à cette intimité, terreau de mon travail, je souhaiterais travailler sur deux axes.

- Le premier est de redonner sa place au silence. Alors que l’espace public de cette époque est saturé par le verbe, l’intimité est le lieu du silence. C’est là où peuvent alors s’entendre les doutes et les peurs, mais aussi où peuvent se goûter charnellement les amitiés et les haines.

- Le second est de redonner leur âge à ces êtres, et retrouver ainsi leur jeunesse. Ces personnages sont des légendes et comme toute légende, ils n’ont pas d’âge. Or si la Révolution Française fut cette période où chaque année valait un siècle comme l’a dit Jaurès, c’est que l’un de ses combustibles fut la jeunesse de ses protagonistes. On oublie trop souvent que lors de leur mort, Desmoulins avait 33 ans, Saint-Just, 26 ans, Robespierre, 35 ans, et Danton, 34 ans.

Face à ces ambitions, je suis aujourd’hui ravi de pouvoir travailler avec une équipe de jeunes comédiens-nes de grande qualité, qui permettront de redonner vie et fougue à Lucile, Louise, Camille, Antoine, Maximilien et Georges.


Durant ces cinq ans de révolution, chaque année valait un siècle.

Jean JAURES



Qui travaille avec nous ?


Un théâtre nous fait confiance

Marie-Jo Tyan et Michel Laliberté, directeurs du théâtre de l’Essaion de Paris, nous donnent l’opportunité de jouer les mercredis et jeudis du 31 mars au 17 juin prochain à 21h15.


Arcis-sur-Aube, la commune natale de DANTON nous fait confiance

Rapidement, après la phase d’écriture, nous avons souhaité nous rendre dans la commune natale de Danton, Arcis-sur-Aube.

Très vite, grâce à l’association locale « Histoire et Patrimoine » et spécialement son Président Joseph Granata, les collectivités locales ont manifesté leur intérêt. L’idée d’un partenariat est née entre nous.

Nous sommes fiers que notre spectacle puisse bénéficier du soutien logistique, moral mais aussi financier de la ville d’Arcis-sur-Aube, de la communauté de communes, et du département de l’Aube, terres natales de Danton.

Ce partenariat a d’autant plus de sens qu’il permet d’ancrer la création de la pièce dans un territoire qui a tant compté pour lui.

C’est pour nous un véritable honneur.

Dans les révolutions, les hommes nont de durée que celle où ils peuvent être utiles

SAINT-GEORGES-DE-BOUHELIER

Notre compagnie

Créée en 2012 à l’initiative de Pierre Boucard, THE BIG CAT COMPANY réunit des comédiens, formés au cours Cochet, autour d’une envie commune : transmettre leur amour des beaux textes quelles que soient leurs origines et leurs époques. Cette envie s’appuie sur un principe fondamental, celui de conjuguer fidélité envers l’auteur et son style avec la volonté de recréer la vie sur scène, ou comme dirait Pirandello, jouer toujours « comme si c’était vrai ».

La première création de la compagnie, LE PAQUEBOT TENACITY de Charles VILDRAC, a vu le jour en 2013. Après deux succès aux Festivals d’Avignon 2014 et 2015, la pièce est ensuite partie en tournée jusqu’en 2017 pour 110 dates. EN 2018, la compagnie a créé à Avignon, LES NUITS DE LA COLÈRE d’Armand SALACROU. La pièce est actuellement en tournée.

La Révolution Française fut un phénomène aussi terrible et irréversible que la première explosion nucléaire

Éric HOBSBAWM



A quoi sert l'argent collecté

L'argent collecté nous permettra

  • De financer la construction des décors et l'achat / confection des costumes.

  • Le solde servira à financer une partie du coût d'un attaché de presse.

    • En effet, nous jouerons 30 fois à l'Essaïon Théâtre. Il s'agit d'une belle exposition pour faire venir la presse. Une revue de presse sera un élément-clé de la réussite future du projet car en cas de reprise dans un plus grand théâtre ou à AVignon, une bonne presse est un élément très prescripteur aux yeux des futurs spectateurs.   


Objectif de collecte

8 300,00 €

Montant Global

24 700,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Coûts d'exploitation (30 représentations)

Coût du travail pour 6 comédiens (net du mécanisme FONPEPS) 12 600,00 €
Taxes (ASTP, SACD) 1 200,00 €
SOUS TOTAL 13 800,00 €

Scénographie

Achat des matières premières 500,00 €
Prestation scénographe 500,00 €
SOUS TOTAL 1 000,00 €

Costumes

Achat des costumes / tissus 2 800,00 €
Prestation costumière 2 800,00 €
SOUS TOTAL 5 600,00 €

Communication

Création visuelle 1 000,00 €
Impression des supports de communication (affiches, flyers, dossiers) 300,00 €
Attaché de presse 3 000,00 €
SOUS TOTAL 4 300,00 €

TOTAL

TOTAL 24 700,00 €

Recettes

Désignation Montant

Ressources propres

Fonds propres de la compagnie 3 000,00 €
SOUS TOTAL 3 000,00 €

Recettes d'exploitation

Billetterie (Taux remplissage : 50% avec jauge Covid) 7 400,00 €
SOUS TOTAL 7 400,00 €

Subventions et aides publiques

Mairie d'Arcis sur Aube 2 000,00 €
Département de l'Aube 2 000,00 €
Communauté de Communes Arcis-Mailly-Ramerupt 2 000,00 €
SOUS TOTAL 6 000,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 8 300,00 €

TOTAL

TOTAL 24 700,00 €

Scénographie – décors - costumes

Costumes par Viollaine DE MERTEUIL

Au démarrage de ce projet, les premières sources d’inspiration que m’a partagées Etienne, ont été une playlist de bandes-son de films et de morceaux rock, puissants, inquiétants, quasi-horrifiques, le genre de sons qui vous foutent les poils et vous prennent l’estomac, qui sonnent comme l’approche d’une menace terrifiante, une issue inexorablement cruelle, une marche vers le précipice. Avant même de me confronter au texte, d’avoir le détail des personnages et des intentions de jeu, j’étais donc déjà plongée dans une atmosphère musicale très évocatrice, angoissante et dépressive… tout ce que j’aime, tout ce qui me parle. La lecture du texte d’Etienne n’a fait que me conforter dans les images orageuses et l’ambiance pesante que j’avais saisies à l’écoute de ses suggestions auditives. La connexion avec ce projet s’est avéré une évidence.

Mes impulsions créatives m’ont donc naturellement amenée à puiser dans mes propres références culturelles. La Terreur et ses désillusions amères succédant à l’enthousiasme de la Révolution tant espérée, entrait en résonnance avec la très tourmentée période Cold Wave, née des cendres d’une insurrection Punk, à la fois cruciale et surestimée. L’effervescence d’une rébellion jeune, chargée d’idéologie contestataire et sa volonté de renverser une autorité jugée illégitime, qui amène plus de questions qu’elle ne donne de réponses, l’insatisfaction et les frustrations d’une génération sans modèle viable, qui doit chercher des solutions dans le chaos, l’instabilité permanente d’un nouvel ordre social où l’enfer est pavé de bonnes intentions… L’incertitude est la seule constante, la place sous la guillotine se jouant à la chaise musicale.

Cette tribune où chaque prise de parole est un champ de bataille intellectuel, est comme une scène où se dispute l’idéologique et le spectaculaire. Les protagonistes, érigés en héros un jour, trainés dans la boue le lendemain, sont comme autant de rock-stars à la réputation fluctuante, se démenant face à des détracteurs tout aussi investis et sont restés dans notre inconscient collectif comme des emblèmes de notre héritage historique. Une bête sauvage à plusieurs visages, tous iconiques, aucun manichéisme n’étant possible.

La dualité des personnages de Danton et Louise m’évoquait un autre couple légendaire : Gainsbourg et Jane Birkin. Le monstre sacré et la muse juvénile qui tente de le garder sur Terre. Danton est un survivant, robuste et imposant mais abîmé, épuisé par une guerre qu’il ne peut gagner de son vivant. Fondamentalement engagé dans un combat qu’il croit juste, il est néanmoins lucide de sa condition, adepte d’un cynisme caractérisé par une certaine nonchalance. Louise est un mélange frais et subtil, de candeur et de mélancolie, qui porte à bout de bras le simple espoir d’une vie de famille apaisée mais dévorée d’inquiétude pour son incorrigible militant de mari.

Camille est un optimiste narquois, un idéaliste. Lucile, solaire et maternelle, a embrassé en toute modestie, les aspirations révolutionnaires de son mari. Elle est l’épaule et lui le fusil. Le couple n’est pas sans rappeler la complicité et le respect mutuel de Françoise Hardy et Jacques Dutronc.

Robespierre, dans tous ses paradoxes, est un personnage ambigu et singulier, suscitant le malaise comme l’admiration, quelque part entre la structure impeccable et l’austérité d’Etienne Daho, et le charme dérangeant de David Bowie.

J’ai donc vu dans tous ces caractères, l’occasion d’exploiter l’allure de mes propres icônes en mariant les lignes élégantes du dandy baudelairien, représentatif d’un certain classicisme à la française, à la transgression stylistique et la dégaine torturée de la période post-punk. Les personnages féminins m’ont été inspirés par des héroïnes romantiques, les clips les plus anxiogènes de Mylène Farmer et le film Giorgino, somptueux dans le genre sinistre. Le tout dans une sobriété des couleurs qui souligne la gravité et le sérieux du propos.

Scénographie par Pierre BOUCARD

Les grands principes qui nous accompagnent pour ce travail de scénographie :

  • Refus du réalisme : le texte s’inscrit dans la réalité historique et épouse déjà les principaux événements de l’époque. Dupliquer le réalisme dans les décors n’aurait rien apporté.
  • Mettre le jeu en avant : « Danton », c’est la vie de Georges, de Maximilien, de Louise... Ce sont des corps qui bougent. Il s’agit donc de mettre en avant ce mouvement. Pour cela, les obstacles sur le plateau sont un peu comme des aliments à ingérer par les comédiens pendant les improvisations de travail. Ils jouent dessus comme des enfants jouent sur des jeux publics. J’ai été très inspiré en ça par la notion de « machine à jouer », comme on peut la trouver chez Meyerhold.
  • La notion de déséquilibre : le parcours des personnages de la Révolution n’est fait que de hauts et de bas, que de bascules dans les rapports de force. Il m’a semblé qu’installer des supports de jeu permettant de prendre de la hauteur « 3D » avec le fait de monter ou de descendre, mais également la façon de le faire (douce / brutale) pouvait être fructueux pour le jeu.

Enfin, la présence en ouverture de pièce d’un bloc massif en plein milieu rappelle cette citation de Clémenceau : « la révolution est un bloc ».

Contreparties

1789

pour 30,00 € et +

18 ARTINAUTES

Votre nom figure dans les remerciements.

Montant après réduction fiscale : 10,2 euros

1790

pour 60,00 € et +

5 ARTINAUTES

Votre nom figure dans les remerciements et vous recevez l'affiche du spectacle.

Montant après réduction fiscale : 20,4 euros

1791

pour 100,00 € et +

14 ARTINAUTES

Votre nom figure dans les remerciements, vous recevez l'affiche du spectacle et une place pour assister à une représentation.

Montant après réduction fiscale : 34 euros

1792

pour 250,00 € et +

4 ARTINAUTES

Votre nom figure dans les remerciements, vous recevez l'affiche du spectacle et deux places pour assister à une représentation.

Montant après réduction fiscale : 85 euros

1793

pour 500,00 € et +

2 ARTINAUTES

Votre nom figure dans les remerciements et sur le programme, vous recevez l'affiche du spectacle et deux places pour assister à une représentation.

Montant après réduction fiscale : 170 euros

1794

pour 1 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

Votre nom figure dans les remerciements et sur le programme.

Si vous êtes une entreprise, votre logo figure sur l'affiche du spectacle.

Vous recevez l'affiche et au moins quatre places pour assister à une représentation.

Montant après réduction fiscale : 340 euros