BADINE

d'après "On ne badine pas avec l'Amour"
ARTS DE LA SCÈNE
PRODUCTION

Présentation du projet

La compagnie CIEL est une toute jeune compagnie créée en septembre 2022.

"Badine" est l'adapatation du texte d'Alfred de Musset "On ne badine pas avec l'Amour" qui a été rélalisée par Emilie Lacoste, signant également la mise en scène. Il s'agit là de la première création de spectacle de la compagnie

Les répétitions ont débuté depuis octobre 2024 au CDN de Montreuil (93) puis au Théâtre de la Tempête (75). Les prochaines semaines de répétition se dérouleront au Théâtre Saint Louis de Pau grâce au soutien de la Ville de Pau - Centre de recherche et de création théâtrale de Pau (CRCTP), partenaire principal de ce premier projet.

Le Jeune Théâtre National est également un soutien précieux pour ce spectacle nous aidant dans la prise en charge de l'emploi de deux comédiens

Un soutien financier depuis Proarti, nous aiderait à financer une partie de la réalisation du décor- la scénographie - composé de 7 vitraux qui seront réalisés par un artisan Verrier

A quoi sert l'argent collecté

L'argent récolté servira à financer une partie de la réalisation des vitraux (en tout 7 panneaux) qui serviront à la scénographie du spectacle


Objectif de collecte

3 500,00 €

Montant Global

57 800,00 €

Dépenses

Désignation Montant

ACHATS

COSTUMES ET ACCESSOIRES 2 500,00 €
MATERIEL SCENOGRAPHIE 3 000,00 €
SOUS TOTAL 5 500,00 €

SERVICES EXTERIEURS

HONORAIRES PRESTATIONS SERVICES dont réalisation vitraux 8 500,00 €
LOCATIONS 1 000,00 €
TRANSPORT DECOR ET EQUIPE 2 500,00 €
SOUS TOTAL 12 000,00 €

CHARGES DE PERSONNELS

SALAIRES BRUTS 21 350,00 €
CHARGES SOCIALES 11 950,00 €
INDEMINITES REPAS 6 000,00 €
SOUS TOTAL 39 300,00 €

CHARGES EXCEPTIONNELLES

IMPREVUS 1 000,00 €
SOUS TOTAL 1 000,00 €

TOTAL

TOTAL 57 800,00 €

Recettes

Désignation Montant

COPRODUCTION

THEATRE DE PAU 50 000,00 €
AIDE JEUNE THEATRE NATIONAL 4 300,00 €
SOUS TOTAL 54 300,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 3 500,00 €

TOTAL

TOTAL 57 800,00 €

Note d’intention :

Charlotte Issaly, Lucie Rouxel et Felipe Fonseca Nobre, trois jeunes acteurices pour être Camille Rosette et Perdican. Trois artistes formés au TNS qui représentent déjà sur les scènes de l’Odéon, du TNB, du TNS la nouvelle génération.

Imaginez trois personnes à l’orée de l’âge adulte, ils ont tous une vingtaine d’années. Ils s’aiment depuis l’enfance. On les a séparés pendant dix ans pour les éduquer selon les normes du monde conventionnel. Ils se retrouvent dix ans après dans un espace éloigné du bruit et de l’agitation, dans un lieu calme, dans la nature, à la fin de l’été.

Ils n’ont rien d’autre à faire que d’exprimer ce qui s’est passé et ce vers quoi ils ont envie d’aller. Où aller? Pour quoi faire?

Des retrouvailles à la croisée des chemins.

On les rencontre dans un état de crise, sur le bord d’un monde dont ils ne veulent plus, sur le bord de celui qu’ils cherchent à inventer, entre-deux-mondes, entre-deux-âge. Une ligne de crête se dessine, en funambules ils la prennent et osent l’aborder.

Toutes les voix mènent à une seule nécessité : l’expression d’un amour absolu, d’une reconnaissance profonde.

Alors une question se pose à eux : cet amour est il encore possible dans un monde devenu tellement inhabitable que le désir d’y renoncer se fait de plus en plus vif?

Avec la scénographe Anouk Maugein, également plasticienne (son installation Monte di Pieta conçue en collaboration avec Lorraine de Sagazan est actuellement visible à la Biennale de Lyon) nous avons inventé un espace cosmogonique : sept panneaux de vitraux forment une constellation mobile. Sept panneaux comme les sept cartes d’un jeu de tarot. Le verre par sa clarté rend sensible la fragilité et la lumière de ces êtres.

Le vitrail propose l’exposition d’une matière pensante mobile qui vient déterminer des espaces de jeux. Quelle forme ouvre quelle expression? De la ligne d’horizon à stone age en passant par la petite lanterne magique ces jeunes gens traversent un parcours initiatique pour révéler une vérité : on peut mourir d’amour. L’amour est un sentiment qui produit des révolutions. Dire ça, c’est oser exprimer la puissance de ce sentiment.

L’amour est révolutionnaire, et c’est bien d’une révolution dont nous avons besoin. En bien des points nous sommes à l’endroit romantique d’une conscience lucide de l’impossibilité de vivre dans ce monde. Conscience poétique et politique de la nécessité de participer, par le théâtre et la prise de parole à l’invention d’un nouveau. Un monde où la parole reprend sa capacité à construire et détruire.

Un classique résolument contemporain donc « On ne badine pas avec l’amour » montre avec puissance que l’expression véritable et sincère de l’amour est une question de vie et de mort.

Contreparties

Affiche du spectacle

pour 30,00 € et +

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Une affiche du spectacle

Texte dédicacé

pour 50,00 € et +

0 ARTINAUTES

Livre On ne badine pas avec l'amour dédicacé par la metteuse en scène et adaptatrice du texte

Invitation

pour 100,00 € et +

0 ARTINAUTES

Une invitation à l'une des représentations de février 25 à Pau

Un verre avec...

pour 150,00 € et +

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Un verre avec une personne de l'équipe artistique