Vienne la nuit

Rien de mieux qu'une petite vidéo pour vous présenter le projet !

Vienne la nuit, un court-métrage queer !

Participez au financement du cinéma indépendant avec ce film onirique, introspectif et queer !

Vienne la nuit, c’est donc un plan séquence (un film dans lequel on ne coupe jamais la camera) dans lequel un homme est installé dans une routine, mais une rupture va bousculer sa vie. Viendront ensuite la déprime, la réappropriation de son corps, la fête, l’oubli dans les plaisirs du sexe et de la drogue, puis les conséquences néfastes de ces excès pour enfin s’ouvrir à la possibilité d’une nouvelle relation.

A ce stade, le film a besoin d’aide :

Pour pouvoir faire le tournage ( location décor, image, son, location du matériel des techniciens, nourriture pour l’équipe, maquillage, défraiement de l’équipe, déco, costumes,… )

Le cinéma rassemble beaucoup de monde, nécessite beaucoup de moyens. On aurait pu tourner ce film avec un téléphone, des ampoules, des poupées ken et des chansons de Céline Dion. Mais non ! Un bon film nécessite un gros travail, du bon matériel, de bon.ne.s comédien.dienne.s, de bon.ne.s artistes, de bon.ne.s technicien.ne.s… C’est pour ces raisons que nous vous demandons de l’aide.

L’idée du crowdfunding est de créer une communauté autour du film pour lui donner vie. En effet, si chacun.e participe à son niveau, ce film devient le film de toustes celles et ceux qui ont aidé à lui donner naissance.

Une fois le film achevé, viendra le temps de la diffusion, d’abord en avant première dans une salle puis avec la recherche de festivals et de diffuseur.

Le titre

Le titre du film, VIENNE LA NUIT, vient du poème de Guillaume Apollinaire Le pont Mirabeau : « Vienne la nuit, sonne l’heure, les jours s’en vont, je demeure ». Dans ces vers récurrents, la nuit est une rupture amoureuse, et trois notions du temps sont ensuite abordées :

• sonne l’heure = l’instant de la rupture

• les jours s’en vont = le temps passe

• je demeure = l’immobilité, la récurrence, le repère.

Ce sont deux thèmes majeurs du film, la rupture et la notion du temps.

Enjeux du film

Le film va montrer le rapport d’un homme à son corps après le rejet violent d'une rupture. Comment le réapprivoiser, l’abandonner aux autres, le reprendre,…

L’idée est donc de montrer un masculin plus vulnérable, sensible, plus sexualisé, des problématiques universelles mais qui sont rarement représentées. Ainsi un homme homosexuel dans ce film assume pleinement sa sexualité et la complexité de sa personnalité.

Le challenge de ce projet est de jouer sur la perception du temps, le film n’étant jamais coupé, il faut montrer le temps qui passe, se dilate, se compresse, par d’autres subterfuges du cinéma (fausse barbe, costumes, lumière, ralentis, changements de décors…)

Le film devait se tourner en mars 2020 dans l'appartement du réalisateur. Un virus et un déménagement plus tard, le projet renaît avec plus d'ambition et un appartement haussmannien de toute beauté courant septembre 2023.

Collaborations artistiques

Plusieurs collaborations artistiques avaient déjà été entamées :

• Une musique originale a été composée

• Une affiche a été réalisée

• Des masques ont été créés

L’équipe est constituée de :

Un réalisateur, 3 comédiens, une assistante réalisatrice, un chef opérateur et son équipe de machinos, d’électros et d’assistants caméra, une steadicameuse, une chef déco et son équipe, un ingénieur du son, une costumière, une maquilleuse, un régisseur un photographe, un compositeur de musique, une artiste plasticienne qui a crée des masques, une illustratrice pour l’affiche,une étalonneuse et enfin une vingtaine de figurants !