Bonjour à toutes et tous,

“SAL*PE“, est le premier court-métrage professionnel du jeune cinéaste Lucas Lheureux, mais également la première production de l’association cinématographique et audiovisuelle ”Andrée Production“. (👀à https://andree-production.fr)

Notre association a fait le choix de se tourner vers cette ultime solution qu’est le financement solidaire car elle a besoin de votre aide afin de compléter le financement de ce court-métrage.

Nous vous remercions chaleureusement d’avance pour l’attention que vous porterez à ce projet.

De nombreux professionnels du 7ème art, qu’ils soient réalisateurs, acteurs ou scénaristes, ont donné à notre réalisateur de nombreux retours positifs et encouragements sur son projet. Ces marques d’attention nous ont confortés et convaincus pour le suivre dans ce projet singulier, honnête, original et ambitieux.

Nous avons la volonté de porter ce court-métrage dans les différents festivals français et internationaux pour toucher un large public, s’ouvrir de nouveaux horizons et échanger sur notre approche du cinéma.

De quoi ça parle ?

Mais “SAL*PE“ ; qu’est-ce que cela raconte ?

Pitch

« Une salope », « une pute », « une putain » : voici ce qu’on lui répète sans cesse en la voyant sur le bord de la route, mais avez-vous déjà imaginé la toute autre histoire pouvant se cacher derrière Carla ?

Résumé

SAL*PE nous conte l’histoire de cette jeune prostituée aux maigres ressources, qui sacrifie son corps en exécutant les plus sombres fantasmes d’infâmes individus dans le seul but d’amasser une somme conséquente d’argent afin de l'offir à sa meilleure amie devenue paraplégique, pour qu'elle puisse tester un protocole à l'étranger.

Conscients que ce scénario traite d’un sujet faisant encore partie des nombreux tabous de notre société, nous sommes néanmoins convaincus qu’il vous séduira. Et qui de mieux que le 7^ème art pour permettre à des histoires comme celle-ci d’exister.

Note d’intention du réalisateur

Jusqu’où sommes-nous prêts à aller pour aider quelqu’un que l’on aime ?

Voici la question centrale que nous pose ce court-métrage. A travers cette histoire, d’autres thèmes importants sont également abordés comme le sacrifice de la prostitution, ce que ces femmes vivent au quotidien et comment se comportent les clients avec elles. Mais ce scénario explore également de manière plus générale la place, ô combien importante, des femmes dans notre société actuelle ; que ce soit toutes les remarques désobligeantes, ou encore les gestes déplacés que nombreuses peuvent recevoir au quotidien de la part de certains hommes.

Ce projet aborde aussi la question de la limite du supportable que chacun se fixe librement dans la vraie vie. Ici notre protagoniste subit certaines choses qu’elle s’était refusée de pratiquer, afin de venir en aide à sa meilleure amie. Elle pousse donc son cursus de l’acceptable à l’extrême et nombreux sont les personnes qui n’auraient jamais été capables de faire ce qu’elle fait.

C’est pour cela que je trouve intéressant l’aspect contradictoire du personnage de CARLA. En effet, elle blâme les actes de son amie (ancienne prostituée elle-aussi) et ne comprend pas pourquoi elle s’inflige cela mais pourtant elle choisit tout de même cette solution afin de lui venir en aide. C’est sans doute un moyen de rentrer dans son monde de nuit, comprendre ce qu’elle vie, ce qu’elle est devenue donc de se rapprocher d’elle.

Pourquoi avoir choisi ces thèmes ? Tout simplement car ayant été élevé au milieu de femmes, sans figure paternelle, j’accorde une très grande importance à l’égalité et aux respects des femmes. Je voulais également écrire sur des quidams comme il en existe nombreux en ce monde, venant de milieu plus populaire que je côtoie quotidiennement.

J’ai également souhaité mettre en avant une diversité de réactions face à notre protagoniste au fil des rencontres. Ainsi on y retrouve ; un client régulier de la prostitution qui se contente de ce qu’il trouve, un client plus aisé de CSP supérieur qui est ouvert à de nouveaux horizons, mais aussi un groupe de jeunes un peu plus bruts de décoffrage. Tout cela dans le seul but de dépeindre au mieux la réalité de ce milieu et montrer que cela touche tout le monde.

Les films adoptent souvent une reconstruction psychologique de leurs personnages issus de la prostitution lorsqu’elles veulent sortir de ce milieu, voulant effacer les souvenirs salubres qui les hantent. Mais à travers ce court j’ai également voulu aborder une reconstruction physique à travers le personnage de Léa.

à D’un point de vue technique

Le court-métrage ne dépasserait pas 20 min au maximum. Je souhaite tourner en numérique couleur en format 4/3, car ce format d’image resserrée réduit le champ de vision du spectateur, ce qui le rapproche de l’intimité et des émotions des personnages. J’opte également pour ce format dans le but d’obtenir un rendu plus poétique, mélancolique et intime, tout en apportant un côté plus brut de l’image pour être en adéquation avec le scénario.

Le ton est sérieux, dur et cruel pour être le plus proche de la réalité. Ce que CARLA fait et subit est réel, tout en étant subtil pour ne pas tomber dans la facilité des images vulgaires. L’accent sera mis sur les émotions, en les faisant passer par l’attitude, le regard, les gestes et les émotions du protagoniste et non pas par la parole de celui-ci.

J’aimerais principalement tourner en lumière naturelle à certains moments de la journée comme au crépuscule ou à l’aube par exemple. Le court métrage aura plutôt une atmosphère pesante avec des jeux de lumière sombre et des couleurs plutôt froides.              

Pour résumé, j’imagine ce court métrage le plus naturel possible, et si possible le tourner dans ma région des Hauts-De-France que je connais et que j’affectionne tant, plus particulièrement dans le bassin minier autour de Lens et sur la métropole Lilloise.

PLANNING PREVISIONNEL

Qui sommes-nous ?

“ANDRÉE Production“ est une association cinématographique et audiovisuelle de production indépendante française à but non-lucratif fondée en 2021.

Dès son plus jeune âge, Lucas Lheureux, scénariste et réalisateur, a souhaité créer sa propre structure afin de pouvoir produire ses projets personnels dans le but de conserver une plus grande indépendance artistique.

À la suite de l’obtention de son BTS Audiovisuel, option gestion de production au lycée Jean Rostand à Roubaix, il a passé deux années à enchaîner différents types de tournage professionnel (court et long-métrage, publicité, série TV, clips, etc…) en tant que régisseur dans le but d’emmagasiner un maximum d’expérience.

C’est ainsi qu’à la fin 2021, il fonde avec l’aide de ses proches et ami(e)s, l’association cinématographique et audiovisuelle de production indépendante française à but non-lucratif : Andrée Production.

Andrée Production se veut être une structure de production à la ligne éditoriale éclectique, visant à proposer et développer des œuvres singulières, atypiques, transgressives, iconoclastes et originales, avec des sujets forts, qui posent les bases d’un questionnement et d’une réflexion sur notre société contemporaine.

Pourquoi avoir nommé cette structure de production Andrée ?

En hommage à la défunte grand-mère du membre fondateur, ayant eu une place importante dans son éducation, lui ayant inculqué les valeurs essentielles de la vie et l’ayant soutenu dans l’ensemble de ses projets.

Liens réseaux sociaux :

• Instagram : https://www.instagram.com/andree_production/
• Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100076622893673
• YouTube : https://www.youtube.com/channel/UC5ltLfmackF424D4i6gsQzw
• Viméo : https://vimeo.com/andreeproduction

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