Après L'Aube

Court métrage
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION

Présentation du projet

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Après l’aube est né il y a 2 ans. Ce court-métrage a de grandes ambitions.

Sur une longue période de préparation, nous avons porté une attention particulière à chaque détail.

Nous sommes prêts. Le tournage va commercer.

Afin de se dérouler dans les meilleures conditions artistiques possibles, ce projet s'inscrit dans une démarche professionnelle et nécessite du matériel technique de qualité, des techniciens et comédiens engagés pour faire vivre cette histoire, sans oublier la régie, le cathering etc.

Notre objectif est de fournir des conditions de tournage optimales, tant sur le plan matériel que dans l'ambiance, permettant à chacun de donner le meilleur de lui-même.

Pour tout cela nous avons besoin de votre participation à cette entreprise audacieuse. Quelque soit votre contribution, elle nous permettra d'atteindre ensemble cet objectif !

Un grand merci !

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SYNOPSIS

Retraitée, Alice assiste sans défense à cet impitoyable vieillissement qui la plonge dans une froide mélancolie. Albert, son mari, n’arrive pas à lui faire accepter cette réalité. Ils vivent ainsi reclus dans leur maison de campagne située au bord d’un lac.

Ce silence pesant est mis à mal par la venue inexpliquée d’un mystérieux individu, qui, après être sorti des eaux, à trouver refuge dans leur cabanon.

Avec une énergie retrouvée, Alice force son mari à ne pas appeler les autorités car elle compte aider cet inconnu. Mais Albert prend peur, autant du brusque changement de sa femme que de cet homme muet se terrant au fond de son jardin.

Que veut-il ? Pourquoi se cache-t-il ? Albert pressent un inévitable drame tandis qu’Alice va plonger dans cette étrange liaison qui la lie à ce mystérieux inconnu.

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QUI SOMMES-NOUS?

De 2012 à 2020…

Depuis sa création en 2012, Linkit est une agence de production de films pour les marques et les grands Groupes.

Passionnés et créatifs, nous concevons des films sur mesure selon une méthodologie axée sur la co-construction.

De la scénarisation à la diffusion, nos équipes créatives conseillent et accompagnent les marques dans la réalisation de films offrant un nouveau regard à leur stratégie de communication digitale.

Nous réalisons des stories authentiques et sincères alliant l’esthétisme du documentaire à l’inventivité de la communication de marque.

… En 2020

2020 est une année importante pour l’agence qui, forte de son développement, se transforme.

Xavier Ournac (réalisateur), Grégoire Merlin (producteur) et Olivier Donnadieu (directeur de création) deviennent associés et rejoignent Charles-Henri Vinot (fondateur et producteur).

Linkit / Rosamund, avec ce quatuor aux compétences complémentaires, commence à écrire une nouvelle page de son histoire.

L’agence renforce son pôle de films pour les marques et s’appuie sur sa solidité pour lancer le pôle fiction.

Tous les associés sont issus du monde de la fiction et ont toujours nourri l’ambition de se développer dans ce secteur.

L’écriture de 5 projets de courts métrages de fiction dont 2 en animation et de 2 projets de mini-séries sont lancés au cours des 6 premiers mois.

Aujourd’hui, les scénarios des 3 premiers courts-métrages sont finalisés et seront produits par Linkit / Rosamund en 2021-2022.

Découvrez-nous : www.linkit-studio.com

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NOTE DE PRODUCTION

Au commencement, Xavier Ournac, le réalisateur et moi avons échangé sur notre volonté d’ancrer un récit de court métrage de fiction dans un lieu clos. Nous avions cette volonté commune d’exploiter les ressorts dramatiques offerts par une unité de lieu - pouvant parfois être anxiogène - dans un récit resserré et maitrisé.

J’ai montré quelques photos d’une maison au bord d’un lac à Xavier, une maison que je connais bien et dans laquelle nous pourrions tourner un éventuel projet de film. J’étais persuadé que l’univers de cette maison, son intérieur bourgeois et son environnement naturel - parfois inquiétant - pouvait être une réelle source d’inspiration pour un auteur-réalisateur tel que Xavier. Nous avons longuement échangé sur le type de récit et le genre cinématographique que l’on envisageait de privilégier.

Avec ma société de production Linkit/Rosamund, j’ai à la fois une réelle ambition de développer des projets de fiction très ancrés dans la société actuelle, mettant en lumière les préoccupations des hommes et des femmes d’aujourd’hui, mais aussi de travailler avec des cinéastes ayant une vraie vision, proposant un univers cinématographique très tranché.

Xavier a une culture cinématographique très riche. Il a toujours à coeur de privilégier l’émotion de ses personnages tout en explorant la cinégénie des décors dans lesquels l’action est installée. Il a une réelle volonté d’explorer… et sa vision, sa passion sont communicatives !

Après quelques échanges informels, nous nous sommes accordés sur quelques pistes scénaristiques et le choix de son co-scénariste Thomas Mercillon s’est imposé naturellement.

Xavier et Thomas sont revenus vers moi avec une première proposition de scénario d’Après l’aube très aboutie. J’ai beaucoup aimé le choix de Xavier et Thomas d’explorer la psychologie d’une femme âgée se sentant isolée et se retrouvant dans un moment de vie difficile, voire insoutenable. Il a tout de suite émané du personnage d’Alice une élégance certaine et une grande humanité. Elle et Albert sont des personnages touchants que l’on a immédiatement envie d’accompagner dans l’épreuve qu’ils traversent.

Le parti-pris de mettre en scène Alice et Albert, un couple de retraités « en retrait » accentuait notre ambition commune d’une réalisation élégante et écrasante : l’opportunité d’une mise en scène « en apesanteur ».42

L’univers du thriller psychologique – associé à la crise existentielle d’Alice – m’a immédiatement conquis en tant que lecteur. L’ambiance générale intrigante et pesante et les personnages très « incarnés » captent rapidement le spectateur. Il se sent véritablement embarqué par ce trio improbable et mystérieux.

À la première lecture du scénario, nous avons beaucoup échangé avec Xavier et Thomas sur la séquence de « rencontre » entre l’inconnu et Alice. Ce moment clé qui précède la séquence finale pendant laquelle Alice accepte enfin sa vie; ce qui lui reste de vie. Nous étions convaincus que la construction du scénario maintenait captif le spectateur mais, dans la mesure où nous l’amenions vers cette rencontre inéluctable, il était primordial d’imaginer une évolution logique et pertinente du personnage d’Alice. Et que cette évolution soit sublimée, voire transcendée, grâce au cinéma, à l’émotion visuelle et sensorielle qu’il peut provoquer en chacun de nous. Après avoir longuement débattu, Xavier et Thomas ont eu, selon moi, l’excellente idée de faire se confronter l’Alice du passé et l’Alice du présent pour qu’elle s’accepte enfin. Pendant ce moment, nous sortons du huis-clos pour faire se dérouler une séquence hors du temps mettant en scène Alice dans un moment magnifié mais révélant enfin la femme qu’elle est aujourd’hui.

La grande qualité de ce projet de film est, selon moi, révélée par le classicisme élégant de la mise en scène associé à une intrigue originale, riche en rebondissements. Une intrigue constituée de fausses pistes dans lesquelles le spectateur se perdra avec plaisir mais qui a toujours à coeur d’être extrêmement honnête vis-à-vis des personnages et du traitement de leur psychologie.

J’ai une très grande confiance dans la vision et la rigueur formelle de Xavier Ournac. Je l’accompagnerai avec passion et conviction dans la production de ce court métrage ambitieux.

Nous espérons sincèrement que pour toutes ces raisons – et peut-être pour d’autres qui vous seront propres - vous nous apporterez votre soutien dans la concrétisation de ce beau projet.

Charles-Henri VINOT, Producteur – Dirigeant Linkit / Rosamund

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NOTE D'INTENTION DU RÉALISATEUR

Ils vivent ensemble depuis plus de trente ans, s’aiment, autant que l’on puisse aimer quelqu’un, se comprennent, dans la mesure du possible, prennent soin l’un de l’autre, avec sincérité et affection. Ils ont les moyens de leur confort, pas d’enfants pour les tracasser, une belle maison bien située, une piscine, et tout ce que l’on peut bien désirer posséder pour tranquillement passer ses vieux jours. Et les vieux jours se profilent, aussi inexorablement que le soleil disparaît tous les soirs à l’horizon. Tout cela leur suffit-il, alors ? Une image m’obsède : je les vois se tenir debout devant une large baie vitrée – ils ont forcément une baie vitrée –, qui les sépare du monde, leur renvoie leurs propres reflets et les tient figés dans leur confort comme dans un bocal. Que me raconte cette baie vitrée ? Et leurs reflets dans la vitre ? Je m’interroge : qu’ont-ils de plus, à l’automne de leur vie, que cette baie vitrée, que cette épaisse paroi de verre dure et transparente ?

Il faut d’abord revenir à ma découverte du roman noir La Maison près du marais de Herbert Lieberman, récit oppressant de l’intrusion implacable d’un mystérieux inconnu dans le quotidien confortable de deux retraités sans histoires.

Bien sous tous rapports, respectés par leur communauté, les protagonistes de Lieberman se laissent totalement envoûter par un jeune homme énigmatique, qui s’introduisant sans raison apparente dans leur vie va petit à petit mettre à jour tous leurs regrets, toutes leurs frustrations cachées, toutes leurs rancoeurs secrètes. Fasciné par cette idée d’une présence extérieure opérant comme le catalyseur des non-dits et des angles morts d’un couple de personnages âgées, je choisis de me l’approprier avec mon ami et co-scénariste Thomas Mercillon. Nous en tirons ainsi les premiers grands traits d’une histoire courte que nous abordons dès le départ, selon notre goût et nos inclinaisons propres, comme une forme de thriller psychologique, tout en sourde tension et fonctionnant selon une progression inexorable vers le drame.

Stimulés par l’exercice et les contraintes du huis-clos, nous construisons alors notre intrigue autour de la situation étouffante de ce trio impossible, enfermé dans un même espace, une grande maison au bord d’un lac – dont rapidement nous vient l’image d’une figure émergeant sans explications de ses eaux sombres. Il s’agit alors pour nous d’injecter dans cet univers en apparence ordinaire, un certain rapport au mystère, dont nous souhaitons qu’il enveloppe le récit d’une aura d’inquiétante étrangeté et d’onirisme. Un parcours jusqu’aux frontières du genre, qui nous conduit pas à pas du thriller aux marges du fantastique : notre mystérieux inconnu était-il un fantôme ? Et qu’est-ce qu’un fantôme si ce n’est un souvenir, un lointain écho du passé ? Les codes du récit de genre laissent finalement la place au drame intime, et l’émotion de nos personnages prend le dessus, leurs regrets, leur mélancolie, mais aussi, enfin, l’acceptation presque sereine de leur destin commun.

Au coeur de ce trio, tiraillée, au centre du récit, Alice affronte ses propres démons, s’affronte elle-même : des souvenirs qui remontent cruellement à la surface ; son corps qui vieillit et lui dérobe son reflet de jeune femme ; des vieux rêves qui réapparaissent et s’échappent aussitôt. Une illusion, finalement, qu’elle poursuit jusqu’au risque de se perdre. Se perdre dans ce lac, cette gigantesque étendue d’eau au bout de son jardin, métaphore du vertige de sa vie passée. Albert, lui, aime cette femme, mais son âge le trahit également : son corps faiblit, ne lui répond plus, n’a plus la puissance de ses sentiments toujours intacts et finit par livrer un combat contre son propre organisme, pour sauver, celle qui partage sa vie.

Car par-delà la mécanique du suspense et l’imagerie fantastique – ou précisément, par cela même –, Après l’aube entreprend de faire le récit, simple mais sans fausse pudeur, d’une histoire d’amour qui se poursuit jusqu’aux derniers jours, malgré les erreurs mutuelles et les blessures jamais vraiment refermées. Confrontation douloureuse avec la vieillesse, portrait d’une femme hantée par le souvenir de sa jeunesse perdue, Après l’aube se termine sur l’espoir d’une promesse renouvelée, sur une invitation à aller de l’avant quoi qu’il en coûte et laisser le passé au passé. La baie vitrée est brisée, en mille morceaux répandus sur le sol, et n’obstruant plus le champ de vision, nos personnages sont enfin délivrés de leurs reflets, libres de s’aimer, de vieillir et de mourir ensemble, enfin en paix.

Xavier OURNAC, Auteur-Réalisateur


FAQ

A la campagne. Dans l'ouest de la France près de Nantes.

Une maison quelque peu isolée près d'une rivière.

 

Le tournage aura lieu fin d'année 2021. Le court métrage devrait être prêt au printemps 2022

Pour mener à bien notre projet de court métrage, nous avons besoin de vous pour nous aider à atteindre cet objectif de collecte de 7 430 € sur les 66 800 € du budget total. Cette somme nous servira principalement à financer les frais de régies (transport, repas, hébergement, ...) ainsi que le matériel technique (caméra, objectifs, lumière ...). Si nous atteignons cet objectif de 8 000 €, tout don supplémentaire que nous recevrons de votre part nous permettra d'améliorer la production du film (accessoires, fournitures..) et la post production (trucage, mixage audio, générique...) . Parce que nous avons besoin de vous tous pour que ce film puisse voir le jour dans sa forme révée ! Parce que nous croyons que c'est collectivement que les projets aboutissent ! Un grand merci.

A quoi sert l'argent collecté

Cet appel aux dons permettra de financer une partie de la post-production : le mixage audio et l'étalonnage pour une meilleure finition du film.

Il permettra également d'améliorer les conditions de tournage des comédiens et des équipes techniques.


Objectif de collecte

1 500,00 €

Montant Global

66 880,00 €

Dépenses

Désignation Montant

budget de production

Droits et dépenses artisitiques 2 400,00 €
Salaires techniciens et interprètes 24 950,00 €
Décors et costumes 4 050,00 €
Transport, défraiements et régies 11 400,00 €
Location matériels de tournage 19 900,00 €
Assurances et divers 4 180,00 €
SOUS TOTAL 66 880,00 €

TOTAL

TOTAL 66 880,00 €

Recettes

Désignation Montant

Auto Financement

Apport production 59 450,00 €
SOUS TOTAL 59 450,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 1 500,00 €

TOTAL

TOTAL 60 950,00 €

MOODBOARD

Contreparties

Un immense et chaleureux Merci

pour 5,00 € et +

1 ARTINAUTE

Un grand merci de la part de toute l’équipe !

Ton nom au générique

pour 20,00 € et +

1 ARTINAUTE

En plus d'un énorme merci, tu auras ton nom au générique du film !

Lien du téléchargement du film

pour 50,00 € et +

2 ARTINAUTES

Vous recevrez un lien de téléchargement du film, une fois le film sorti et diffusé + la contrepartie précédente

Affiche du film dédicacée + Photos du Tournage

pour 150,00 € et +

1 ARTINAUTE

Vous recevrez une affiche du film dédicacée du réalisateur + Photos du tournage numérotées + Lien de téléchargement du film