Bonjour à toutes et à tous ! Merci d’être au rendez-vous !

« RUE DU FOUR » est le premier court-métrage de la scénariste/réalisatrice Natalia BENZAQUEN. Entre les planches du théâtre et grâce à sa plume, elle se lance dans une longue et périlleuse aventure – le septième art.

C'est l'occasion pour vous aujourd'hui de participer étroitement à la fabrication de son film.

En coproduisant – RUE DU FOUR (un court métrage, inspiré de faits réels) , vous participez, avec nous, au talent de la création cinématographique de demain!

Grâce à vos dons, vous rendez possible un cinéma libre, indépendant et créatif.

Vos dons, parlons-en car ce n'est pas rien de donner de l'argent ... Ici, PROARTI vous permet de défiscaliser votre don à hauteur de 66% pour les particuliers et de 60% pour les entreprises !

● POURQUOI CE PROJET ET NON UN AUTRE ?

« RUE DU FOUR » de Natalia BENZAQUEN est un projet de court-métrage qui n’est pas rose, ni tendre ni romantique. En bref : « c’est l’histoire d’une jeune femme qui peine à se reconstruire après un viol ». « D’actualité » diriez-vous, ou encore « déjà-vu ». Et c’est justement, cette dernière remarque bien trop banale, qui nous pousse à nous battre pour ce projet.

● POURQUOI FAIRE APPEL A VOTRE GENEROSITÉ

Parce que soutenir la jeune création n’est pas une chose évidente. Les contraintes financières pour effectuer un tournage dans les bonnes conditions, mais aussi assurer une post-production professionnelle, sont nombreuses. Les chiffres grimpent vite, malgré le bénévolat de l’équipe artistique.

43 443 €. C’est ce qu’il nous faut pour réaliser ce film dans des conditions professionnelles et le faire vivre au-delà des frontières à travers des festivals et concours.

Petit rappel : En soutenant le projet, vous devenez nos coproducteurs et avez la possibilité de défiscaliser votre don à hauteur de 66% pour les particuliers et de 60% pour les entreprises.

●SYNOPSIS

●VOICI DONC L’HISTOIRE (racontée par la scénariste/réalisatrice)

Au tout début, plus précisément, un soir de novembre 2017, c’était une feuille blanche, un stylo-plume, moi et « LAURA »

Une multitude de questions concernant les notions de liberté et de l’identité féminine est alors née en moi, tel un exutoire.

Plus récemment, des personnalités ont eu le "culot" de donner leur opinion aussi maladroite que les actes des frotteurs qu'elles (ils) défendent.

​Nul besoin de créer un autre # pour alimenter cette mauvaise foi virtuelle.

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●REVENONS A L’ESSENTIEL

Entre « Présent » et « Passé », Laura évolue dans un monde où « être femme » c’est flirter avec le danger.

Laura, la protagoniste, sera violée, elle ne parlera à personne, elle pensera au suicide, elle oubliera, elle changera, elle ne cédera pas à la haine car « tous pareils » et même si, comme un boomerang, ça lui reviendra en pleine tête, elle n’en sortira que plus forte.

Les deux « amis » - deux antagonistes de générations différentes : un - la trentaine, un autre - la cinquantaine, telle une preuve que rien n’a changé (pour certains), n’ont pas l’air patibulaire de celui qui va vous trancher la gorge au coin d’une ruelle sombre. Ils n’ont pas la bave qui coule au coin de la bouche ou encore le crime tatoué sur le front…Ils sont des « êtres » sans vices apparents et des « amis. Le premier la violera, le second « essayera »…

Ce film, je le définirai comme un voyage dans le temps d’une personne hantée et blessée qui ferme et ouvre d’autres parenthèses.

L’être humain est si complexe.

Les images ne seront pas tendres, car nulle place pour le romantisme. Mais elles seront avec plusieurs retours en arrière, tel un puzzle, une hantise, dans lequel des gestes et des détails du décor deviennent un indice, un reflet qui fusionne avec le passé.

L’univers visuel, justement, sera construit par ces symboles prémonitoires qui amèneront sans cesse la protagoniste vers ses souvenirs sombres. .

Je ne m’attarderai pas sur tous les détails techniques, mais je tiens à préciser que la réalisation, je l’assumerai en parallèle avec l’incarnation du personnage de Laura.

●UN MOT SUR LA REALISATRICE

Originaire de Moldavie, j'ai trente ans. À seize ans, le bac en poche, je suis allée à l'Académie des arts de Moldavie et j'ai suivi durant quatre ans une formation d'acteur d’après la méthode Stanislavski (théâtre) et celle de Poudovkine (cinéma). À dix-sept ans, j'ai intégré une troupe de théâtre dans lequel j'ai exercé pendant six ans. A la fin des études, j’ai mis en scène deux pièces de théâtre – une, adaptée de ION CREANGA et l’autre de EMIL LOTEANU. J'ai appris le métier entre l'Académie, les tournages et les planches.

Il y a sept ans, le destin m'a amené en France. La barrière de la langue étant trop importante pour rester dans l’art, j'ai fait une reconversion professionnelle, plutôt réussie, mais pas artistique.

Ma plume m'a toujours accompagné, malgré cette grande parenthèse dans ma vie. Il y a quelques mois, j'ai décidé de privilégier un retour incertain dans l'art au confort d'un bureau. J'ai ouvert le tiroir d'une ancienne vie et je me suis lancée. Entre stages et divers ateliers théâtre et cinéma, j'ai adapté le scénario d’un long-métrage en roumain, dont je suis l’auteur, en pièce de théâtre en français "AVANT DE MOURIR" pour une représentation en 2019 au festival d'Avignon. Puis, il y a eu les récentes rencontres qui ont précédé l'écriture du scénario : "RUE DU FOUR", inspiré de faits réels. Ce dernier, j'ai eu l'honneur de le présenter aux divers concours de scénarios et les retours positifs, n'ont fait qu'encourager ma démarche.