MARX ET LA POUPEE de Maryam Madjidi - Musique, bilingue Français Langue des signes

ARTS DE LA SCÈNE
PRODUCTION

Présentation du projet

MARX ET LA POUPEE SPECTACLE TRILINGUE MUSIQUE, FRANCAIS et LANGUE DES SIGNES

AU FESTIVAL OFF D'AVIGNON

UN DES RARES SPECTACLES 100% ACCESSIBLE

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Créés en 2015, nous, Les Petits Plaisirs voulons faciliter l'accès à la culture, et ce par tous les moyens. Nous nous appuyons sur des projets proposés par d'autres où nous amenonsno s adhérents, ou bien nous créons nos propres projets comme des rencontres littéraires et un festival pluridisciplinaire Merci la vie ! à Biarritz en février depuis 2016.

De fil en aiguille, tout cela amène à penser, imaginer, de nouveaux projets, même un peu fous, puis réunir une équipe pour que naisse le spectacle MARX ET LA POUPEE de Maryam Madjidi, et le proposer en texte, musique et parfaitement bilingue en Langue des Signes. Bref un spectacle 100% accessible.

Poursuivant cette notion d'acessibilité, et s'aperçevant que par exemple à Avignon 2018 il n'y a que 2 spectacles en Langue des Signes Française (sur 1550 spectacles), nous pensons que notre spectacle a toute sa place à Avignon.

Nous sommes très fières de ce que nous proposons : 3 filles sur scène (Aude Jarry, Clotilde Lebrun et Elsa Rozenknop) et quelques unes à côté qui ont collaboré à ce spectale, sous l'oeil bienveillant de Raphaël France-Kullmann.

Nous avons hâte, il nous tarde (c'est selon qui parle dans l'équipe) de vous montrer ça et de recueillir vos impressions.

En attendant voilà quelques images issues de la résidence et sortie de résidence lors du festival Merci la Vie ! #4

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Que raconte le spectacle ?

Le spectacle est un «monologue» monté à partir de différents extraits tirés du roman de Maryam Madjidi. Ce roman raconte son enfance en Iran puis son arrivée en France vers l’âge de 5 ans et les étapes qu’elle a traversées pour s’adapter à ce nouveau pays. Il s’agit d’un récit sur l’exil vécu par une petite fille. Le spectacle évoque les différentes thématiques exprimées dans le livre (La dureté du régime politique Iranien, l’engagement des parents dans l’opposition, la relation entre petite fille et grand-mère etc...) mais il traite essentiellement du rapport à la langue, c’est à dire la complexité pour une petite fille de quitter sa langue natale, le persan, pour une nouvelle langue, le français. Nous suivons le parcours initiatique d’une petite iranienne qui se cherche une nouvelle identité dans un pays étranger en traversant le silence, la solitude, l’incompréhension, le questionnement...

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POURQUOI LANCER UNE COLLECTE ?

Parce que aller à Avignon coûte très cher, mais que nous ne voyons pas d'autres moyens pour le présenter à un public nombreux et aux multiples programmateurs qui nous l'espérons viendront voir notre spectacle.
Cette collecte viendra amoindrir le montant de notre emprunt fait auprès auprès d'un gentil membre de l'association.

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MERCI ! MERCI POUR VOTRE GENEROSITE !

MERCI POUR VOTRE SOUTIEN QUEL QU'IL SOIT :

un don ou la diffusion de cette collecte autour de vous c'est déjà beaucoup !!!



FAQ

Il est vrai que nous aurions grand plaisir à rencontrer chaque donateur. Et c'est pour cela que nous devons faire une grande tournée. Si vous ne venez pas à Avignon, nous ferons tout pour passer dans un rayon de 50km de chez vous. Vous pouvez aussi offrir la place à un ou une amie.
Si vous avez la chance d'habiter au Pays basque et alentours, ou d'y venir en vacances, vous pourrez échanger votre place contre un spectacle du festival Merci la vie! #5 qui se déroulera aux alentours du 25 février 2020.

Ou ....  nous trouverons toujours une solution pour une contrepartie plus qu'agréable.

Le principe de la place suspendue est qu'elle est offerte à une personne d'une façon anonyme. Le don n'en est que plus fort. Les places seront donc mises à disposition de manière discrète. L'information sera passée auprès des associations cibles et du grand public.

A quoi sert l'argent collecté

Nous sommes très soucieux de chaque euro dépensé. Aussi, soyez certains que nous n'irons pas dépenser vos dons en faisant la tournée des Grands Ducs.

Non, cet argent nous permettra de loger correctement toute l'équipe, les artistes comme les techniciens, qui vont travailler tard le soir et tôt le matin et de les nourrir convenablement. De donner une visibilité à nos spectacles en payant nos graphistes qui créent les supports de communication. 
 

Et puis aussi... à envoyer des cartes postales d'Avignon à nos généreux donateurs. 

Nous vous remercions par avance. 

Les Petits Plaisirs, et les artistes de "Marx et la Poupée" et "Des Amis fidèles". 


Objectif de collecte

13 150,00 €

Montant Global

65 450,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Coûts artistiques

Salaires bruts équipes artistiques 13 500,00 €
Charges patronales 6 500,00 €
SOUS TOTAL 20 000,00 €

Technique, logistique

Salaires bruts personnels technique et administratif 4 000,00 €
Charges patronales personnels technique et administratif 2 300,00 €
Location théâtre 10 500,00 €
Achat consommables 600,00 €
SOUS TOTAL 17 400,00 €

Transport, hébergement, restauration

Frais de restauration 5 000,00 €
Location hébergement 10 000,00 €
Frais de route (carburant, péages) 1 300,00 €
Location véhicule transport décor 700,00 €
Déplacement artistes (Sncf) 1 500,00 €
SOUS TOTAL 18 500,00 €

Communication et promotion

Billetterie 300,00 €
Dossier de presse création et impression 500,00 €
Inscription programme AF&C 500,00 €
Affichage et tractage 200,00 €
Impression affiches et tracts 700,00 €
Création Visuelle 1 000,00 €
Captation 750,00 €
SOUS TOTAL 3 950,00 €

Droits d'auteurs et droits voisins

Droits d'auteur (SACD et direct) 4 000,00 €
SOUS TOTAL 4 000,00 €

Taxes, assurances et divers

Taxe fiscale sur les spectacles 900,00 €
Assurance responsabilité civile 300,00 €
Provision pour dépenses imprévues 400,00 €
SOUS TOTAL 1 600,00 €

TOTAL

TOTAL 65 450,00 €

Recettes

Désignation Montant

Subventions et aides

Région Occitanie aide à la mobilité 5 000,00 €
Fonds SACD Avignon off 4 000,00 €
Fonds de professionalisation AF&C 6 300,00 €
SOUS TOTAL 15 300,00 €

Billetterie

Recettes nettes billetteries 18 000,00 €
SOUS TOTAL 18 000,00 €

Fonds propres

Apports des coproducteurs 9 000,00 €
Apports en fonds propres 10 000,00 €
SOUS TOTAL 19 000,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 13 150,00 €

TOTAL

TOTAL 65 450,00 €

Comme on ne sait jamais comment et quand a commencé cette aventture, on vous a fait un petit récapitulatif des dates...

Automne 2014 : Rencontre entre Benoit Virot talentueux éditeur, fondateur de la maison Le Nouvel Attila et Cathie Simon-Loudette, chargée de production. Les idées fusent pour créer des rencontres autour de la littérature en Côte basque..et ailleurs. A suivre.

Mars 2015 : Création d’une structure pour pouvoir accueillir des projets, le 1er étant «Réparer les vivants» par Emmanuel Noblet, qui devient de fait le parrain des Petits Plaisirs.

Octobre 2016 : Lancement des «Petits Plaisirs littéraires» avec la Ville de Boucau.

11 février 2017 : Petit plaisir littéraire boucalais n°2. et 1ère rencontre pour Maryam Madjidi qui vient présenter son 1er roman Marx et la poupée : Moment magique. «C’était ma plus belle rencontre. Dans cette salle il y avait la France entière.» dit-elle.

3 mai 2017 : Maryam Madjidi reçoit le Goncourt du 1er roman. Joie ô joie. Et une petite fierté d'avoir pressenti que ce serait un succès..mérité.

Juin 2017 : Après avoir vu Maryam lire accompagné de musiciens, on commence à échanger autour de l’idée de porter le roman à la scène ...pièce de théâtre ? lecture théatralisée ? ... Ce dont nous sommes certaines, c’est qu’il faut un metteur en scène et une création musicale.

Septembre 2017 : Correspondances de Manosque : découverte du travail de Raphaël France-Kullmann qui dirige des amateurs dans une lecture à voix haute de Marx et la Poupée : on a trouvé notre metteur en scène...et une nouvelle idée : Aude Jarry interprète en langue des signes cette lecture de manière si expressive...Et si nous faisions une lecture musicale avec option Langue des Signes?

Reste à trouver une musicienne ayant adoré le roman (condition sine qua non pour rejoindre le projet)

Octobre 2017 : Sollicitation de Clotilde Lebrun, musicienne à Biarritz. Après mûre réflexion, elle accepte.

Le reste c’est Raphaël France Kullmann qui le raconte le mieux (interview à paraître dans La Terrasse- spécial Avignon)

Comment avez-vous découvert ce roman et pourquoi avoir choisi de le mettre en scène ?

J’ai découvert ce roman lors d’un travail que j’effectue chaque année pour le festival Les Correspondances de Manosque. J’y mets en scène un groupe de lecteurs qui lisent des extraits de romans issus de la rentrée littéraire. En 2017 nous avons travaillé sur Marx & La Poupée de Maryam Madjidi. Maryam et Cathie Simon-Loudette (productrice du spectacle pour Les Petits Plaisirs) qui sont à l’initiative du projet, cherchaient un metteur-en-scène pour créer une lecture musicale de Marx & La Poupée. Maryam et Cathie étaient présentes lors de la lecture du roman à Manosque, c’est en ayant assisté à cette lecture qu’elles ont eu l’idée et l’envie de me proposer la mise en scène du spectacle. J’ai accepté car j’étais très touché par l’écriture du roman, une écriture simple, efficace et singulière qui confronte le réel à la poésie, la dureté à la délicatesse. Tout un monde riche au service d’un sujet hautement d’actualité, la quête d’identité.

Que raconte le spectacle ?

Le spectacle est un «monologue» monté à partir de différents extraits tirés du roman de Maryam Madjidi. Ce roman raconte son enfance en Iran puis son arrivée en France vers l’âge de 5 ans et les étapes qu’elle a traversées pour s’adapter à ce nouveau pays. Il s’agit d’un récit sur l’exil vécu par une petite fille. Le spectacle évoque les différentes thématiques exprimées dans le livre (La dureté du régime politique Iranien, l’engagement des parents dans l’opposition, la relation entre petite fille et grand-mère etc...) mais il traite essentiellement du rapport à la langue, c’est à dire la complexité pour une petite fille de quitter sa langue natale, le persan, pour une nouvelle langue, le français. Nous suivons le parcours initiatique d’une petite iranienne qui se cherche une nouvelle identité dans un pays étranger en traversant le silence, la solitude, l’incompréhension, le questionnement...

Pourquoi avoir choisi d’adapter le texte en langue des signes ?

L’idée d’adapter le texte en langue des signes provient de Cathie Simon-Loudette qui a eu cette révélation en voyant Aude Jarry (l’interprète en LSF du spectacle) traduire la lecture de Marx & La Poupée à Manosque en septembre 2017. Cathie a choisi d’intégrer la langue des signes dans le spectacle car cela fait sens tant la thématique tourne autour de la langue. De plus l’interprétation de Aude Jarry est telle qu’elle apporte une dimension théâtrale par le corps, l’adresse et l’énergie qu’elle dégage. À l’origine le spectacle était une lecture musicale par l’autrice elle-même traduite et interprétée en LSF, aujourd’hui il s’agit d’un monologue «partagé» entre la comédienne Elsa Rozenknop, l’interprète en LSF Aude Jarry et la musicienne Clotilde Lebrun. Cette nouvelle forme creusée au fil du temps et des étapes de travail a mené Elsa et Aude vers une relation de binôme, l’une dépendant de l’autre, les langues de chacune entrant en collision, en correspondance ou en fusion.

Comment avez-vous travaillé avec l’adaptatrice en LSF?

Travailler avec l’adaptatrice fut une expérience nouvelle et inédite ! C’est tout un monde qui s’ouvre à soi, c’est la découverte d’un mode de communication très loin de la logique des «entendants». La présence de Sylvanie Tendron qui est une personne sourde ayant l’habitude de travailler dans le spectacle-vivant, a été indispensable au bon déroulement du travail et à la direction d’interprétation de Aude Jarry qui avait fondamentalement besoin d’un regard extérieur maîtrisant les «articulations» de la LSF. La LSF est constituée de codes particuliers, d’intentions nuancées, d’un vocabulaire et d’une construction linguistique propres. Le défi a été de «faire voir et entendre» le même spectacle aux personnes sourdes comme aux personnes entendantes. Beaucoup d’échanges, de dialogues et de partages ont été nécessaires à la réalisation de ce projet. Sylvanie Tendron a été remarquable de par sa compréhension, son écoute et son sens du plateau, nous avons été complémentaires.

Quels ont été vos parti pris de mise en scène autour des trois comédiennes et des trois langues ?

Les partis pris sont clairs ; 3 voix, 3 femmes, 3 langues donc 3 espaces distincts pour 3 univers forts. Espaces qui au fil du spectacle se rencontrent et se découvrent afin de raconter la même histoire, comme si les 3 éléments de récits finissaient par fusionner. Nous sommes purement dans la rencontre des langues. Des langues indépendantes et autonomes dont le rassemblement génère une expression unique. Je ne peux pas tout révéler du parti pris de mise en scène car ce serait dévoiler un élément de surprise pour le spectateur, tout ce que je peux dire c’est que le spectacle commence de manière très simple jusqu’à ce qu’une «bascule» nous entraîne dans une dynamique différente qui permet le développement d’une rencontre plus affirmée entre le jeu, la musique et la LSF.

Quelle est la place et l’importance de la musique dans ce spectacle ?

La musique composée et jouée sur scène par la musicienne Clotilde, est comme le décor du spectacle. La musique donne le ton, la couleur et le rythme de chaque passage. La musique est ici colonne vertébrale. La musique fait le lien entre le «travail d’orateur» effectué par Elsa Rozenknop et le «travail corporel» effectué par l’interprète en LSF Aude Jarry. La musique est sensorielle comme les souvenirs de la petite fille du roman, douce comme la présence essentielle de sa grand-mère, brute comme la dureté des conditions de vie vécues par la famille de Maryam Madjidi en Iran, minimaliste comme les mots simples employés par l’auteur pour raconter l’horreur ou la tendresse, riche comme le monde poétique que garde en elle cette petite fille en proie aux difficultés de s’approprier une nouvelle culture. La musique est également personnages ; elle est le regard de la mère sur sa fille, ou l’ami alcoolisé accoudé au comptoir d’un bar enfumé, ou la présence bienveillante d’un esprit familier un jour de repas de famille, ou la fée penchée sur le berceau d’un être tourmenté par la folie des hommes, ou le témoin d’une rencontre amoureuse improbable et salvatrice...

Suivez l'actualité du projet !

  • LE mot de l'auteure - Après sa venue au festival d'Avignon...

    Je suis allée à Avignon pour voir la dernière de Marx et la poupée. C’était le 27 juillet 2019. Sur scène, j’ai vu trois femmes : Clothilde Lebrun, Aude Jarry et Elsa Rozenknop Barbier. Chacune avait son art, son talent, son outil. Chacune était singulière et irremplaçable. Chacune avait son espace et aucune n’empiétait sur l’autre. Mais elles ne formaient qu’un seul corps, qu’une seule voix, et qu’un seul souffle au service d’un texte. Le texte vivait de leur respiration commune, s’animait de leur corps, gonflait et se dégonflait comme un immense poumon sur la scène. Ce n’était plus mon texte d’ailleurs mais un texte détaché de son auteure, un texte libre, libéré du livre, du silence, de la solitude, de l’individu pour devenir communion, partage, résonance collective. Ce n’était plus les mots que j’avais jadis écrits mais des mots nouveaux qui avaient pris une autre couleur, un autre son, un autre sens, et que je découvrais assise au troisième rang parmi les spectateurs à Artéphile, ce théâtre à Avignon où on se sent chez soi. Sur scène, j’ai vu trois muses inspirées et inspirantes. Et j’ai pleuré comme on pleure devant l’histoire émouvante d’une sœur qui résonne en nous. J’ai ri aussi avec étonnement parfois car je ne me souvenais pas que ce passage pouvait susciter le rire lorsque je l’avais écrit dans la solitude de ma tête. Et j’ai applaudi comme une enfant face à un merveilleux cadeau que la vie vous fait soudain, sans faire de bruit, tout doucement et simplement. Marx et la poupée mis en scène par Raphaël France-Kullmann n’est ni une lecture musicale ni une adaptation théâtrale. C’est une forme nouvelle, inédite, jamais vue auparavant sur scène et qui m’est allée droit au cœur. Je souhaite à chaque auteur de vivre une expérience comme celle-ci. Ici pas de spectacle, pas de bruits ni de fureurs, pas d’éclats tapageurs, rien d’ostentatoire, non, c’est une poésie humble, discrète, sincère à l’image du metteur en scène et de son univers, à l’image des trois interprètes. C’est de l’humanité tout au long d’une traversée. Une traversée qui révèle généreusement et subtilement chaque émotion cachée dans les mots, les mots d’une autre, les mots de tous les autres, les mots qui appartiennent désormais à toutes celles et ceux qui les ont entendus incarnés par la musique de Clothilde, incarnés dans la langue des signes d’Aude, incarnés dans le corps, la voix et le regard d’Elsa. Et puis il y a une quatrième personne derrière toute cette aventure : une femme qui a eu l’idée de réunir ces quatre artistes et cette femme est Cathie Simon Loudette. C’est une magicienne qui travaille dans l’ombre et j’ai eu envie de l’amener à la lumière dans ce texte pour lui témoigner également ma reconnaissance. Maryam Madjidi, le 31 juillet 2019

  • Revue de presse partielle.

    « (…) Passionnant témoignage sur l’histoire iranienne contemporaine, le récit de Maryam Madjidi offre aussi une belle réflexion sur la langue, moyen de s’intégrer, de résister ou de s’émanciper et élément fondateur de son histoire. Le spectacle de Raphaël France-Kullmann fait se répondre trois langages : le français (Elsa Rozenknop), la langue des signes (Aude Jarry) et la musique, interprétée en direct par Clotilde Lebrun. Ces approches, sans jamais se parasiter, mettent en valeur la puissance et la poésie du texte, sans pathos ni sensationnalisme. La création lumière d’Amandine Richaud accompagne avec intelligence les différents épisodes de cette ode à la vie. Un moment fort. » Yann Albert LA PETITE REVUE « Cette association originale est très fidèle aux mots de Maryam Madjidi, on a l’impression de plonger dans le roman, depuis le chaos de la naissance de cette petite fille en pleine révolution iranienne, sa difficile arrivée en France à 6 ans, l’apprentissage du français, l’oubli du persan et tous les déchirements rencontrés, puis son entrée dans la vie d’adulte et les retrouvailles avec ses origines. (...) Elsa Rozenknop est une bouleversante raconteuse d’histoire, une intensité qui entraîne une belle qualité d’écoute dans le public. Que vous ayez lu ou non le roman, c’est à ne pas manquer à l’Arthéphile, dont il faut saluer la qualité de la programmation et de l’accueil offert aux compagnies, ce qui est loin d’être toujours le cas dans le foisonnement du festival! » LES CARNETS D'EIMELLE Récit dramatique d'après le roman éponyme de Maryam Madjidi, mise en scène de Raphaël France-Kullman, avec Aude Jarry, Clotilde Lebrun et Elsa Rozenknop. Elles sont trois artistes en fragile équilibre pour faire entendre avec délicatesse le parcours de Maryam qui commence en pleine révolution iranienne. Elle qui ira, quelques années plus tard avec sa mère, rejoindre à Paris son père en exil. Sur scène, dans une jolie pénombre, les trois femmes de noir vêtues se relayent ou s'accompagnent mutuellement pour conter le récit autobiographique de Maryam Madjidi (Prix Goncourt du Premier roman en 2017), avec en commun une grande expressivité. La formidable comédienne Elsa Rozenknop conte l'histoire en tenant le public en haleine tout au long de ce spectacle aussi intime qu'intense. Sa voix évocatrice est un vrai bonheur pour faire vivre de plus près toutes les émotions de Maryam. La complétant avec merveille, Aude Jarry traduit le texte en langue des signes et apporte sa gestuelle précise et sa grande vivacité. Son visage illustre à livre ouvert tous les sentiments de l'auteure. Enfin, Clotilde Lebrun accompagne avec engagement les deux interprètes, tantôt à la guitare basse ou électrique, superposant les sons pour ajouter encore à l'ambiance, et rythmant l'ensemble avec douceur. Les trois sont mises en scène avec sobriété par Raphaël France-Kullman, les orchestrant en un très joli ballet qui transmet avec fidélité ce témoignage poignant. Simple et touchant, "Marx et la Poupée", riche de ces différents modes d'expression complémentaires, parle du déracinement et de la langue en un fort et envoûtant voyage. Nicolas Arnstam - Froggys Delight

  • Avant-Première à Artéphile à Avignon le 17 juin et déjà un premier article !

    Nous avons été reçues comme des reines dans ce théâtre Artéphile.

    Et l'avant première pour la presse et le public avignonnais est une possibilité précieuse que nous offrent Alexandre et Anne les maîtres des lieux, sans oublier toute l'équipe autour. Ce fut pour nous une véritable chance et joie. Et déjà un premier article. Nous sommes heureuses, et Raphaël France-Kullmann est heureux aussi.

    https://libretheatre.fr/marx-et-la-poupee-mise-en-scene-de-raphael-france-kullmann/

  • Critique de Marx et la Poupée par Emmanuel Planes (Journaliste à Sud Ouest)

    « Marx et la poupée » : un livre magnifié En mai 2017, le livre de Maryam Madjidi, « Marx et la poupée », édité par une petite maison, Le Nouvel Attila, recevait le prix Goncourt du premier roman. Le jury avait été séduit par ce beau récit autobiographique où une jeune femme raconte son enfance en Iran avec des parents, militants communistes, luttant contre le régime de Khomeini, son départ avec sa mère pour la France, alors qu’elle a 6 ans, en vue de rejoindre le père, déjà en exil à Paris, son difficile apprentissage du français, langue qu’elle refuse d’abord de parler avant de l’adopter et de rejeter le persan, sa difficile quête d’une double identité, son retour provisoire dans son pays natal, dix-sept ans après l’avoir quitté… Ecrit dans une langue empreinte de poésie, de fraîcheur, parfois d’humour, le livre recèle quelques passages particulièrement émouvants comme l’évocation d’Abbâs, jeune homme qui fréquentait la maison parentale à Téhéran, refuge de réunions politiques clandestines, « étoile filante » qui finira fusillée en prison. Ou l’attente avec sa mère à l’aéroport d’un départ qui semble, un long moment, impossible. Ou encore les retrouvailles avec la grand-mère lors du retour en Iran. Quelques mois avant que son livre ne soit couronné, Myriam Madjidi avait été reçue au Boucau par l’association Les Petits Plaisirs. Des liens se sont noués. En septembre lors du Festival de la correspondance, à Manosque, est né le projet d’une lecture musicale autour du roman, produite par l’association, et qui pourrait clôturer, à Biarritz, la troisième édition du festival Merci la vie. Le public réuni samedi soir et dimanche après-midi au Colisée a pu constater que c’était une excellente idée. Sur la scène, s’appuyant sur un tabouret, toute de noir vêtue, longs cheveux bouclés, yeux perçants, Maryam Madjidi lit elle-même des extraits de son roman, préalablement choisis par le metteur en scène du spectacle, Raphaël France-Kullmann et par elle-même. Les écrivains ne sont pas toujours les meilleurs interprètes de leurs propres ouvrages. Mais cette fois, si. Sa diction est impeccable, servie par une dizaine d’années de théâtre amateur. Mais surtout, ces extraits de son livre, elle les vit, elle les habite. C’est son histoire. A la droite de Maryam Madjidi, se tient la musicienne Clotilde Lebrun. Pour accompagner le récit, parfois le ponctuer en solo, elle joue à la guitare des morceaux composés par elle et qui s’adaptent parfaitement au climat de chaque extrait : dur, angoissant, ou tendre. Un seul est inspiré par la musique orientale. Et l’on entend également une adaptation de la célébrissime chanson de Brel, « Ne me quitte pas », qui lui a donné, paraît-il, beaucoup de mal ! Planants ou rythmés, cherchant toujours l’émotion, ces musiques n’entravent jamais l’écoute du récit. Et à gauche de l’auteur, c’est la grande originalité de ce spectacle, Aude Jarry, autre jeune femme qui, elle, est interprète en langue des signes. Elle participait pour la première fois à une adaptation littéraire. Une première expérience réussie. Aude Jarry ne se contente pas d’interpréter ce langage destiné aux sourds et malentendants, elle le théâtralise et, par ses gestes, les expressions de son visage, elle incarne les mots de Maryam Madjidi. Incontestablement, cette triple vision féminine magnifie le livre. Et l’on peut espérer que, peut-être avec d’autres actrices, une telle lecture musicale poursuivra son aventure au-delà de Biarritz. Pourquoi pas en Avignon ? Elle y aurait tout à fait sa place. Emmanuel Planes Depuis le ventre de sa mère, Maryam vit de front les premières heures de la révolution iranienne. Six ans plus tard, elle rejoint avec sa mère son père en exil à Paris. À travers les souvenirs de ses premières années, elle raconte l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, l’effacement progressif du persan au profit du français... Maryam Madjidi, raconte avec humour et tendresse les racines comme fardeau, rempart, moyen de socialisation. Goncourt du Premier Roman et Prix Ouest France Etonnants voyageurs en 2017, ce roman est porté à la scène dans une lecture musicale bilingue français-LSF. Dans ce dialogue original entre des langues devenues complémentaires, les 3 interprètes donnent à entendre et à voir les mots de Maryam, les blessures de l'Iran, les sonorités de l'exil, de l'humanité retrouvée. La presse en parle : "l’émotion du spectateur est immense" Marx et La Poupée est la 1ère production des Petits Plaisirs. Membre des Sentinelles, pour un festival équitable. Depuis le ventre de sa mère, Maryam vit de front les premières heures de la révolution iranienne. Six ans plus tard, elle rejoint avec sa mère son père en exil à Paris. À travers les souvenirs de ses premières années, elle raconte l’abandon du pays, l’éloignement de sa famille, l’effacement progressif du persan au profit du français avant de le retrouver pleinement. Maryam Madjidi raconte avec humour et tendresse les racines comme fardeau, rempart, moyen de socialisation, et même arme de séduction massive. Ce roman, Goncourt du Premier Roman et Prix Ouest France Etonnants voyageurs en 2017, est porté à la scène dans une lecture musicale bilingue français-LSF. Dans ce dialogue original entre des langues devenues complémentaires, les 3 interprètes donnent à entendre et à voir les mots de Maryam, les blessures de l'Iran, les sonorités de l'exil, de l'humanité retrouvée. La presse en parle : "l’émotion du spectateur est immense" - Mediabask "Incontestablement, cette triple vision féminine magnifie le livre.(...) Planants ou rythmés, cherchant toujours l’émotion, les musiques de Clotilde Lebrun n’entravent jamais l’écoute du récit.(...) (...) Aude Jarry ne se contente pas d’interpréter ce langage destiné aux sourds et malentendants, elle le théâtralise (...) Et l’on peut espérer que, une telle lecture musicale poursuivra son aventure au-delà de Biarritz. Pourquoi pas en Avignon ? Elle y aurait tout à fait sa place." - Emmanuel Planes

  • Toute l'aventure de Marx et la poupée en plusieurs dates...de 2014 à Juillet 2019 (parce qu'on aime bien recontextualiser à chaque fois)

    DATES CLES et quelques détails dans cette aventure de production

    Automne 2014 : Rencontre entre Benoit Virot talentueux éditeur, fondateur de la maison Le Nouvel Attila et Cathie Simon-Loudette. Les idées fusent pour créer des rencontres autour de la littérature en Côte basque. A suivre.

    Mars 2015 : Création des Petits Plaisirs : rendre la culture accessible, faciliter le déplacement des publics, organiser un grand festival littéraire à Biarritz, les 3 axes de l'association sont affichés.

    Juillet 2015 : 1ère modeste collaboration entre Cathie et La Belle Equipe lors du festival d'Avignon. La vente du texte d'Eric Rouquette à la sortie de la pièce Livret de Famille est à la hauteur de l'enthousiasme du public. Un succès de librairie !

    Eté puis automne 2015 : la promesse d'un grand festival littéraire à Biarritz tombe à l'eau par réorientation de la municipalité sur un projet similaire, mais pas celui porté par Les Petits Plaisirs, et ce malgré une programmation d'excellence populaire.

    Décision est prise de créer un festival pluridisciplinaire en gardant un volet littéraire.

    Février 2016 : 1ère édition de Merci la Vie! Les Petits Plaisirs accueille la 1ère date dans le Sud Ouest de "Réparer les vivants" de Maylis de Kérangal par Emmanuel Noblet qui recevra en 2017 le Molière du seul en scène.

    Avril 2016 : la collaboration plus appronfondie entre Cathie Simon-Loudette et La Belle Equipe. Cathie sera chargée de la promotion et de la diffusion de Livret de Famille qui revient une 2ème année à Avignon.

    Juillet 2016 : Festival d'Avignon...succès pour Livret de Famille...les envies et les idées d'envisager une suite se développent entre Eric Rouquette, Guillaume Destrem et Cathie Simon-Loudette. Eric donne à lire 2 pèces. Des Amis Fidèles est un véritable coup de coeur pour Cathie. Dès lors elle n'aura de cesse que de vouloir l'accompagner et de la coproduire.

    Septembre 2016 : 1ère lecture de la pièce avec l'équipe de comédiens qui ne changera quasiment pas : Raphaël Moussafir, Gwenaël Ravaux, Guillaume Destrem, Eric Verdin. Manuel Durand et Robin Azéma rejoindront quelques mois plus tard.

    Octobre 2016 : Lancement des Petits Plaisirs littéraires avec la Ville de Boucau, sous le haut parrainage de Benoit Virot, et de Marie Cosnay. Nous sommes très gâtés.

    Décembre 2016 : Benoit Virot donne à Cathie un "service de presse" de "Marx et la poupée" . Elle le dévore et décide de la recevoir à Boucau. On change notre programme de février.

    Janvier 2017 : parution de Marx et La poupée, 1er roman de Maryam Madjidi

    11 février 2017 : Petit plaisirs littéraire boucalais n°2. : accueil de Maryam. Moment magique. Le public nombreux est conquis

    3 mars 2017 : Accueil de La Belle Equipe avec Livret de famille dans le cadre de Merci la vie! #2 à Biarritz. Les spectateurs sont ravis. Les 2 représentations sont quasi complètes.

    3 mai 2017 : Maryam Madjidi reçoit le Goncourt du 1er roman. Joie ô joie. Et une petite fierté d'avoir pressenti que ce serait n succès..mérité.

    Juin 2017 : où l'on commence à parler avec Maryam de faire une lecture musicale construite : metteur en scène et création musicale

    Septembre 2017 : festival de Manosque. On assiste au travail de Raphaël France-Kullmann sur Marx et la Poupée avec des lecteurs amateurs : Bingo, on a trouvé notre metteur en scène. ...Et l'interprète en Langue des Signes est tellement expressive, que ....Et si pour le festival Merci la Vie! #3, on lui demandait de faire partie de la lecture, pour 2 représentations exceptionnelles, dans une volonté de rendre le festival encore plus accessible.? On a demandé..Et Aude a dit oui. Maryam a trouvé ça génial. Et Raphaël a dit "ah ouais, super idée".
    Sollicitation de Clotilde Lebrun pour qu'elle crée les musiques...Elle réfléchit..

    Octobre 2017 : Clotilde Lebrun, The Rocking Nurse, dit oui !!! Et nous on dit youpi.

    Novembre -décembre : premières propositions musicales de Clotilde...puissantes, émouvantes. Ca va le faire !

    Janvier 2018 : premières répétitions à Paris de Marx et La Poupée. 1er filage...sortez les mouchoirs. C'est beau.
    Et une certitude : la langue des signes n'est pas une option. La lecture musicale devient officiellement une "lecture musicale bilingue français- Langue des Signes". Et décision est prise de tenter de la faire tourner et de la montrer à Avignon.

    Février 2018 : Festival Merci la vie!#3. 2 représentations exceptionnelles de Marx et la Poupée. Exceptionnelle car Maryam Madjidi en est la lectrice et qu'elle nous annonce que voulant se consacrer à l'écriture de son prochain roman, elle suggère qu'une comédienne continue l'aventure.
    Un nom est assez vite trouvé : on propose à Elsa Rozenknop, présente également au festival, de reprendre le rôle; Et elle dit oui.

    On ira jouer 3 soirées exceptionnelles au Théâtre de L'Oulle à Avignon, genre sortie de résidence grandeur nature !!

    Juillet 2018 à 23h30 et des poussières...

  • Critique de Marx et la Poupée Par Valérie Valade (journaliste à Mediabask)

    D’une langue à l’autre… Biarritz, festival Merci la vie, dimanche 25 février 2018, deuxième présentation de la lecture musicale de Marx et la poupée. La salle du Colisée est pleine. Sur le plateau de théâtre : deux guitares accompagnées d’un micro, un tabouret de bar, un bout de scène nue. Trois espaces bientôt habités par une musicienne - Clotilde Lebrun -, une lectrice - l’auteure, Maryam Madjidi - et une interprète en langue des signes, Aude Jarry. La lectrice lit posément, sans précipitation, on entend son souffle, ses frémissements. L’émotion est palpable mais retenue. Il y a quelque chose de vertigineux dans la soudaine mise à nu de cette parole autobiographique, d’abord cachée dans les pages d’un livre, puis ici exposée sur une scène. Pourtant la lecture ne cède à aucune facilité. L’auteure ne cherche pas à jouer, elle transmet son texte, simplement. Au début l’attention du spectateur est requise de tous côtés, surprise peut-être de cette multiplicité de signes, de langages. Un rythme peu à peu s’installe, le duo de lecture à la voix (Maryam Madjidi) et au corps (Aude Jarry), précis, très travaillé, fait des pauses et la musique se met à faire des boucles. Clotilde Lebrun est une sorte de magicienne, avec sa guitare électrique et ses pédales loop. Des rythmes et des sons répétitifs se superposent, une musique grandit puis diminue et s’évanouit. Ce sont des respirations, des échappées dans le récit. La vie de la petite Iranienne commence sous le signe du danger, quand sa mère enceinte saute d’une fenêtre. Cette petite sera solide, on le sent. En pleine révolution iranienne, la petite fille est « prêtée » aux amis pour transporter incognito des tracts dans ses couches, devant les yeux effarés de la grand-mère protectrice. Se succèdent dans le montage du roman, réalisé pour cette lecture musicale, des épisodes marquants de la vie de Maryam : le départ - difficile - d’Iran pour rejoindre le père en France, la solitude de la petite exilée de 4 ans à l’école française, la langue persane qui fuit et la langue française qui finit par prendre sa place, le retour en Iran 17 ans après et l’amour, soudain, pour un gars tatoué qui affiche ses blessures autant que la jeune fille cache les siennes. Simultanément à la lecture sobre et posée de Maryam Madjidi, Aude Jarry engage tout son corps dans une interprétation qui dépasse largement une « traduction en langue des signes ». C’est proche d’une danse. Les pieds sont rivés au sol, le corps ondule, les bras s’agitent et incarnent le récit, sans mots. Le spectateur s’abandonne à cette langue qu’il ne connaît pas forcément, mais qui l’atteint comme le fait la musique, avec un vocabulaire sensible qui s’impose dans l’immédiateté du présent. L’écoute entre les trois partenaires est si intense et harmonieuse que le public n’a qu’à se laisser entraîner dans ce dialogue original entre des langues ou des langages devenus complémentaires. Et puis, comme un cadeau, deux poèmes sont dits en persan. Et l’émotion du spectateur est immense. Un échange a lieu, très fort, bien au-delà des langues et des signes.

Contreparties

Merci

pour 2,00 € et +

3 ARTINAUTES

Pour 2€, nous vous disons merci. Et, avecvotre accord,nous citeronsvotre nom dans notre page facebook, sur notre site internet, et dans nos supports de communication distribués à l'Assemblée Générale et dans les rapports d'activités.

Si vous êtes un particulier et que vous êtes imposable en France, pour 2€ donnés, le montant de votre don après déduction d’impôt vous coûtera0,68€.

Si vous êtes une entreprise, celavous coûtera0,80€.

La place suspendue pour Marx et la Poupée

pour 20,00 € et +

4 ARTINAUTES

En abondant la cagnotte de la place suspendue, vous permettez à des personnes qui fréquentent des associations de soldarité de venir à une représentation de Marx et La Poupée (partenariat avec des centres sociaux, Culture du coeur etc...)

Si vous êtes un particulier et que vous êtes imposable en France, pour 15€ donnés, le montant de votre don après déduction d’impôt vous coûtera 5,10€.

Si vous êtes une entreprise, celavous coûtera 6€

Ecrire ses pensées

pour 25,00 € et +

1 ARTINAUTE

Pour 25€, nous vous disons merci. Nous écrivons, voire chantons votre nom. Nous vous offrons un badge ou un magnet, et un joli carnet où vous pourrez coucher vos pensées. Carnets "faitmain"Adieu ne plaise ! c'est pas rien.
Si vous êtes un particulier et que vous êtes imposable en France, pour 25€ donnés, le montant de votre don après déduction d’impôt vous coûtera8,5€.
Si vous êtes une entreprise, celavous coûtera 10€

Pratique et sans encombre : le mini "tote bag" Les Petits Plaisirs

pour 50,00 € et +

4 ARTINAUTES

Pour 50 euros vous êtes très gâtés. Car aux contreparties précédentes, on rajoute non pas 1, mais 2 affiches ! (oui 1 de chaque spectacle). Plus, un mini tote bag en série limité, bien utile pour y mettre le strict nécessaire à savoir porte monnaie, étui à lunettes et téléphone (qui bien évidemment sera éteint lors de votre entrée en salle de spectacle)

Si vous êtes un particulier et que vous êtes imposable en France, pour 50€ donnés, le montant de votre don après déduction d’impôt vous coûtera17€.

Si vous êtes une entreprise, cela vous coûtera20€

Rendez-vous VIp pour 1 personne

pour 100,00 € et +

1 ARTINAUTE

En plus de toutes les contreparties précédentes, vous serez accueilli-e à Avignon ou en tournée, à l'un des 2 spectacles, en personne très importante. Entrée prioritairedans la salle, place de choix réservée (ce qui ne se fait jamais à Avignon, c'est la concurrence pour les spectacles mais ausi pour les publics). Ou une place VIP au festival "Merci la vie! #4."

Si vous êtes un particulier et que vous êtes imposable en France, pour 100€ donnés, le montant de votre don après déduction d’impôt vous coûtera34€.

Si vous êtes une entreprise, cela vous coûtera40€

Only for you

pour 300,00 € et +

0 ARTINAUTES

Une contrepartie très particulière pour celles et ceux qui ne pourront pas assister à une représentation de Marx et la Poupée et / ou Des amis fidèles.
Outre 1 badge, les 2 affiches, le magnet, nous vous offrons le texte dédicacé Des amis fidèles, et un mini cd des musiques de Marx et la Poupée créées par Clotilde Lebrun. Ce support de musiquen'existera que pour vous,avecquelques bonus comme les musiques qui auraient pu être utilisées et que vous seul connaitrez ainsi que2 poèmes de Omar Khayyâm dits par Maryam Madjidi.

Exceptionnel on vous dit !

Si vous êtes un particulier et que vous êtes imposable en France, pour 300€donnés, le montant de votre don après déduction d’impôt vous coûtera 92€.

Si vous êtes une entreprise, celavous coûtera120€

Plus c'est trop

pour 500,00 € et +

1 ARTINAUTE

Votre nom en lettres d'or sur nos supports de diffusion (dossier de présentation, site internet), 2 places VIP pour les 2 spectacles à Avignon, 1 verre avec l'équipe artistique à Avignon ou en tournée dans le lieu le plus "Waouh" de la ville, le texte "Des amis fidèles"dédicacé, les 2 affiches du spectacle.
Ettout notre amour.

Si vous êtes un particulier et que vous êtes imposable en France, pour 500€ donnés, le montant de votre don après déduction d’impôtvous coûtera170€.

Si vous êtes une entreprise, celavous coûtera200€

On aime les entreprises

pour 5 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

Comme Les Petits Plaisirs ont toujours des idées, on vous concocte une intervention artistique avec vos collaborateurs dans votre entreprise. On vous fait plusieurs propositions et le bonheur arrive !

Et bien évidemment vous avez le droit à un badge...et au logo de votre entreprise sur les affiches des 2 spectacles en tournée française et internationale.

Chère entreprise, après déduction d'impôt, votre don de 5000 € vous coûtera en réalité 2000€