Le Chat d'Himmler

Un court-métrage d'Ugo Bussi
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION

Présentation du projet

Nous vous invitons à soutenir Le Chat d’Himmler, un projet de court-métrage porté par de jeunes étudiants passionnés.

Le Chat d’Himmler est un film d'époque inspiré d'une histoire vraie étonnement comique et touchante.

Nous souhaitons rappeler aux donateurs que chaque don ouvre droit à une défiscalisation de 66% pour les particuliers et de 60% pour les entreprises. Pour exemple, dans le cas d'un don de particulier, si vous soutenez le projet à hauteur de 100€, il vous coûtera seulement 34€. Soutenez les jeunes artistes et payez moins d'impôts, pas mal non ?

PAGE INSTAGRAM : https://www.instagram.com/lechatdhimmler/

QUI SOMMES NOUS ?

Étudiants en école de cinéma à l'EICAR, nous sollicitons votre aide aujourd’hui afin de mener à bien ce projet ambitieux. Nous avons associés les savoir-faire d'une vingtaine d'étudiants des différentes sections de l'école : Réalisation, Production, Image, Son, Montage, Musique etc.. et sommes maintenant investis dans la préparation de ce projet depuis plusieurs mois avec pour finalité la réalisation d’un court-métrage unique, adapté de l’histoire vraie du grand-père de notre réalisateur Ugo Bussi.


NOTRE PROJET

Notre génération connaît la seconde guerre mondiale comme le récit d’une guerre, par nos aînés, et non plus comme un événement vécu par notre société. Aujourd’hui, nous écoutons nos grands-parents nous raconter comment le monde s’est défiguré en si peu de temps; comment ils ont vu défiler dans leurs rues de quartier des hommes qui ne parlaient pas leur langue, mais qui se disaient chez eux; comment, même dans les heures les plus sombres, ils voyaient des lueurs d’espoir. Ces histoires, nous les avons toutes entendues, et écoutées. Le “chat d'Himmler” sera à l’image de ces anecdotes, qui sont parfois d’une grande simplicité, mais qui ont marqué à vie ceux qui les ont vécues et suscitent la fascination de ceux qui les écoutent.

Pitch : L’histoire nous plonge donc en pleine Seconde Guerre Mondiale, où un jeune cuisinier français en camp de travail allemand apprend qu’il doit cuisiner un lapin aux pruneaux pour Himmler. Alors qu’il lui est impossible de se procurer du lapin, il décide de secrètement lui cuisiner du chat, contraignant Wilhelm, un soldat allemand, à devenir son complice.

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Cette histoire est tirée de l'histoire vraie de mon grand-père, Antoine de Moraes, un jeune homme du Nord-Pas-De-Calais envoyé de force en Allemagne" Ugo Bussi

POURQUOI AVONS NOUS BESOIN DE VOUS ?

Le film d'Ugo se déroule sous le régime nazi, pendant la Seconde Guerre Mondiale. C’est un projet ambitieux avec de nombreux défis pour un court métrage étudiant. Ces conditions de production de “film d’époque” impliquent que ce film nécessite un certain budget que l’on doit maîtriser minutieusement. Nous voulons faire en sorte que cette reconstitution soit réaliste et que la faible économie de notre film n'en endommage pas sa singularité. C’est pour cela que nous voulons qu’une partie significative de notre budget serve à la qualité artistique du film. Nous avons réfléchi à cela dès l’écriture du scénario avec Ugo en limitant le nombre de décors et de personnages nécessaires à la bonne élaboration d’une histoire percutante. Les efforts de préparation du film sont déterminants pour réussir à relever ces défis : nous avons entamé des recherches minutieuses au niveau des décors, costumes, accessoires, en nous entourant notamment de conseillers qualifiés dans ces domaines.
Aujourd’hui, nous sollicitons votre aide car elle est nécessaire à l’aboutissement de ce projet. La somme récoltée permettra également de nourrir et défrayer toute notre équipe qui est très motivée mais travaille bénévolement. Votre soutien permettra également à notre équipe d’avoir à disposition tous les meilleurs outils pour réaliser un court-métrage à la hauteur de nos ambitions. En ces temps difficiles, l’Art a plus que jamais besoin de votre soutien. Vous compter parmi nos collaborateurs serait un immense honneur : “Le Chat d’Himmler” n’attends que vous !


MOODBOARD

LES COSTUMES


A quoi sert l'argent collecté


Objectif de collecte

2 555,00 €

Montant Global

3 555,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Déco

Décoration et Accessoires 150,00 €
Location Décor 600,00 €
SOUS TOTAL 750,00 €

Matériel technique

Apport industrie EICAR 1 000,00 €
Location matériel technique additionnel 250,00 €
SOUS TOTAL 1 250,00 €

Autres

Imprévus 100,00 €
Comission Proarti (8%) 205,00 €
SOUS TOTAL 305,00 €

HMC

Maquillage/Coiffure 50,00 €
Costumes 300,00 €
SOUS TOTAL 350,00 €

Régie

Catering (repas) 500,00 €
Location camionette 150,00 €
Frais d'essence 250,00 €
SOUS TOTAL 900,00 €

TOTAL

TOTAL 3 555,00 €

Recettes

Désignation Montant

EICAR

Apport industrie 1 000,00 €
SOUS TOTAL 1 000,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 2 555,00 €

TOTAL

TOTAL 3 555,00 €

Ce court métrage est inspiré d’une de ces histoires vraies, que mon défunt grand-père nous racontait. Il disait toujours avec fierté comment il avait échappé à la mort en cuisinant du chat, à la place d’un lapin aux pruneaux, aux allemands. Et aujourd’hui, nous cuisinons souvent du lapin, comme un hommage convivial à son acte de résistance.
Pour être impactante, cette histoire doit être courte. Elle pourrait être vraie comme fausse, mais reste parfaitement crédible, de la même manière que les histoires présentées dans La Balade de Buster Scruggs, d’Ethan et Joel Coen. On crée des histoires plus ou moins extravagantes, inspirées d’un contexte historique précis.

Antoine avait 18 ans en 1943, lorsqu’il a été envoyé dans un camp. Comme plus d’un million de français, il fut pris dans la tornade qu’était la guerre. Ces hommes n'espéraient qu’une chose : rester en vie et rentrer chez eux sain et sauf. Le film présente donc une version réaliste d’un jeune homme conciliant, qui ne force pas la résistance et veut rentrer auprès de son épouse.

Wilhelm quant à lui présente une version du soldat allemand lambda. Dans beaucoup d’histoires qui me furent contées, on me décrivait les soldats comme des hommes autoritaires, mais qui n’en étaient pas moins des hommes simples, qui, la plupart du temps, n'étaient pas violents ou méchants. La relation que Wilhelm entretient avec Antoine, s’efforce de dépeindre la complexité d’une relation entre ces deux hommes. Une relation d’autorité, imposée, mais toutefois imprégnée du respect que les allemands éprouvent pour les français. Il n’y avait pas de haine gratuite. Il y avait parfois des réflexions humiliantes, mais le soldat avait conscience qu’il avait un humain face à lui.

Enfin, Himmler représente évidemment le Nazisme, mauvais, sombre et violent. Himmler est autoritaire, il ne sourit pas. Il dévorera son plat sans même se poser de question, à l’image du dirigeant qu’il était.

Pour illustrer cette opposition et la complexité des relations entre les personnages, le cadrage et le placement de la caméra sera un outil clé, notamment au début entre Antoine et Wilhelm. Au moment où Wilhelm décide d’aider Antoine, le fait de casser volontairement certaines règles, comme les 180°, permettront d’appuyer la trahison.

Le chat d’Himmler est un film historique, et dépeint une époque empreinte de codes spécifiques. Le visuel sera donc au service de l’immersion dans la seconde guerre mondiale.

Le décor sera chargé de mobilier et d’accessoires fonctionnels d'une cuisine de camp militaire Allemand. La forte présence de bois sombre et de tons oranges amènent le visuel ancien, comme un sépia de photographies d’époques. Cela sera renforcé par une lumière et un étalonnage chaud, donnant aux peaux une couleur chaude et vive, comme la peau d’un homme forcé au travail. La cuisine sera éclairée par une fenêtre adoucie par des rideaux d'époque. De plus, un plafonnier viendra éclairer fortement la table et par reflet, éclairera nos personnages. C’est inspiré de ce que Robert Richardson fait souvent dans Les Huit Salopards, ou dans l’introduction de Inglorious Basterds.

La fin, en revanche, devra être sombre, noire et oppressante. Elle donnera une impression qu’être dans la même pièce que Himmler, c’est être en enfer. L’inspiration esthétique pour cette scène est un mélange inspiré du clair-obscur de la scène du parlement de Les Heures Sombres de Joe Wright.

Inglourious Basterds, Quentin Tarantino, 2009

Les heures sombres, Joe Wright, 2017


TEST CAMÉRA

Contreparties

Votre nom au générique du film✏️

pour 10,00 € et +

5 ARTINAUTES

Merci ! Chaque aide compte ! Pour une participation de 10 euros ou plus votre nom apparaîtra au générique du film.

Après défiscalisation, un don de 10€ vous coûtera réellement :

  • 3,40€ pour un particulier (66% de réduction fiscale)
  • 4€ pour une personne morale (60% de réduction fiscale)

Voir le film en exclusivité 💾

pour 20,00 € et +

4 ARTINAUTES

Les donateurs-trices recevront en avant première un lien de la version numérique du film.

Après défiscalisation, un don de 20€ vous coûtera réellement :

  • 6,80€ pour un particulier (66% de réduction fiscale)
  • 8€ pour une personne morale (60% de réduction fiscale)

Making-of du film 🎬

pour 50,00 € et +

8 ARTINAUTES

Les donateurs-trices recevront le lien vers le making-of du film au format numérique à la fin du tournage. (+ les contreparties précédentes)

Après défiscalisation, un don de 50€ vous coûtera réellement :

  • 17€ pour un particulier (66% de réduction fiscale)
  • 20€ pour une personne morale (60% de réduction fiscale)

Invitation à l'avant première du film 🥳

pour 100,00 € et +

11 ARTINAUTES

18 DISPONIBLES

Les donateurs-trices seront invités, si les conditions sanitaires le permettent, à le projection privée en avant-première du film à l'EICAR. (+ les contreparties précédentes)

Après défiscalisation, un don de 100€ vous coûtera réellement :

  • 34€ pour un particulier (66% de réduction fiscale)
  • 40€ pour une personne morale (60% de réduction fiscale)