EN TRANSIT

Aidez-nous à témoigner de l'accueil et du "non-accueil" réservés aux réfugiés
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION

Présentation du projet

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Soutenez un long métrage pour le cinéma
et une série de courts-métrages pour sensibiliser les jeunes

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En soutenant le projet documentaire EN TRANSIT qui témoigne de l’accueil fait aux réfugiés en France, vous nous aidez à finir le projet et vous permettez sa diffusion à venir. Vous contribuez ainsi à faire connaître cette réalité et à sensibiliser les spectateurs à questionner la politique d'accueil des «migrants» pratiquée chez nous et son application au quotidien.

  • un film de long-métrage à destination du cinéma QUE M'EST-IL PERMIS D'ESPÉRER, afin d'offrir à tous les spectateurs qui s'interrogent sur notre accueil ce témoignage sensible et une arme pour faire changer les politiques menées en France et en Europe,
  • une série de courts portraits, témoignages de réfugiés passés par le camp de la Porte de la Chapelle, à destination des jeunes générations pour une diffusion au plus près d'eux, sur les réseaux sociaux et au sein de l'éducation nationale.

Notre film raconte l’accueil fait aux réfugiés en France, l’espoir justement de ces personnes qui ont tout quitté et qui ont tout à gagner. Tout en permettant de rencontrer véritablement ces hommes et de donner à voir qu'un processus d’accueil respectueux est possible, le film est une réponse aux interrogations que nous tous avons sur le sens des politiques d’asile menées par la France et par l’Europe. Il souligne surtout les défaillances d’une prise en charge de l'état pourtant légitime au regard des conventions internationales. Il dénonce enfin l'absurdité de la procédure de Dublin, qui renvoie les réfugiés dans le pays qui vient de les expulser.

D'où le titre du film : Que m’est-il permis d’espérer.

Dessin de Carole Chaix

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Dans un camp humanitaire ouvert à Paris, Porte de la Chapelle, des réfugiés sont en transit. Quelques jours à peine d’humanité dans ce centre de « premier accueil ». Là, ils se reposent de la rue où ils ont échoué à leur arrivée en France après un voyage de plusieurs mois. Souvent de plusieurs années. Mais déjà, ils doivent affronter la Préfecture et entendre la froide sentence administrative : « Vous êtes Dublin !», du nom de la procédure européenne et synonyme de renvoi dans le pays où ils ont déposé leurs empreintes dès leur entrée en Europe.

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La plupart des réfugiés sont dans ce cas.

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Message de la production

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Depuis plus de cinquante ans Iskra produit et distribue des documentaires qui tous interrogent la question de l’homme et du monde à travers les rapports humains et le prisme d’une subjectivité revendiquant la liberté et l’égalité. Tous nos films expriment ce besoin de regard, d’empathie, et fournissent un excellent moyen de représentations de notre société du point de vue de ceux qui vivent cette réalité.

Après SAIGNEURS, sélectionné au Festival du Réel, sorti en salle en mars 2017, et la diffusion d’une version du film en 52 minutes sur ARTE en 2016 (AVEC LE SANG DES HOMMES, grand prix documentaire à Luchon), c’est tout naturellement que nous nous sommes engagés avec Vincent Gaullier et Raphaël Girardot sur leur nouveau film, tourné au centre d'accueil de la Porte de la Chapelle, premier camp depuis la fin de la 2nde guerre mondiale à être installé au cœur d’une capitale européenne.

Nous avons été la seule équipe de tournage documentaire autorisée par Emmaüs Solidarité et la Ville de Paris à filmer dans le lieu. Nous avons travaillé dans la durée et en confiance avec l’ensemble des acteurs du lieu et les réfugiés.

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Pourquoi faire un appel au financement participatif

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Jusqu’au récent soutien de la Région Ile-de-France le film n'avait bénéficié d'aucune aide en production. Aujourd’hui pour le finaliser dans de bonnes conditions et permettre d'envisager sa diffusion, nous faisons appel à votre soutien. Nous espérons que les dons permettront de financer également la série de court métrages que nous souhaitons réaliser.

Éligible au mécénat grâce au soutien de Pro Arti, ce projet ouvre droit à une possible réduction fiscale pour les donateurs, que vous soyez une entreprise ou un particulier.

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Il faut montrer la manière dont ces réfugiés sont accueillis, quand ils le sont !
Et il faut montrer le non-accueil que met en place la procédure Dublin.

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Intentions des réalisateurs

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un extrait du film

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Lorsque nous avons appris que la Mairie de Paris ouvrait un camp pour réfugiés Porte de la Chapelle, cela faisait plusieurs mois que nous cherchions où poser notre engagement cinématographique pour rendre compte de ce qu’on appelle la « crise des migrants ». C'est durant l'été 2016 que nous décidons de faire ce film. Plus de 4 000 migrants se trouvent alors dans les rues de Paris, sans ressources. L’État, qui a en charge l’accueil de ces réfugiés, ne bouge pas et laisse s’installer des zones de précarité inacceptables nécessitant finalement une intervention humanitaire. Porte de la Chapelle, un centre de premier accueil est alors mis en place par la Mairie de Paris afin d’accueillir les hommes (un autre ouvre à Ivry pour les familles et les femmes seules). L’État est alors mis face à son incurie et est contraint de reprendre en charge ce lieu.

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Révoltés par la raideur de notre société, effrayés par cette position occidentale toujours si prompte à se protéger, émus par nos rencontres avec des réfugiés dans les camps sauvages de Paris ou chez nous quand nous les avons hébergés, nous cherchions un film à faire. Nous cherchions à faire partager notre regard sur eux. Et tenter de faire changer celui des autres. Non, ces personnes ne sont pas « migrantes », elles viennent chez nous, elles sont « réfugiées ». Non, elles ne sont pas un fléau, elles sont notre avenir, comme notre passé et notre présent le prouvent. Oui, elles sont comme nous, des êtres humains avec des histoires de famille, des métiers et des rêves. Demain, elles seront Nous.

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.Nous nous sommes installés dans le camp pendant toute la durée de son ouverture. Nous avons rencontré de nombreux réfugiés. Beaucoup ne souhaitaient pas être filmés. Mais avec tous ceux qui nous donnaient leur accord, nous sommes restés collés pendant la dizaine de jours qu'ils passaient là. Nous avons filmé leur premier entretien où les traces de la rue sont encore visibles, puis les retrouvailles heureuses avec leurs compatriotes, puis le passage obligé au Samu Social pour partager leurs problèmes physiques ou psychiques jusqu'à leur chambre où enfin ils pouvaient se reposer. Pour échanger avec eux, c'est également la chambre qui était leur lieu choisi. Là, ils nous ont raconté les raisons de leur exil, témoigné des atrocités du voyage, exprimeé leur espoir d'avenir en France. Enfin, après ces quelques jours de répit, nous les avons aussi filmé à la Préfecture, là où se déroule la prise d’empreintes et où les réfugiés apprennent le sort qui leur est réservé. L'ambiance y est différente. C'est froid, glacé même, que ce soit dans le décor ou dans les propos. Youssef, Zerbo, Obahullai, Alhassan, Djibrill, Guyot, Salomon, Johnson, Pavel... tous ont vécu là tout le scandale de ce non-accueil français, cherchant tout prétexte à ne pas instruire une demande d'asile.

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Par notre place à leurs côtés, à la recherche de cette humanité qui nous intéresse tant, de cette identité qu’on leur demande de revendiquer, nous souhaitons créer un lien d’empathie. Nous voulons que le spectateur s’attache à chacun d’entre eux, et que s’efface la masse. Que plus jamais nous ne puissions entendre que ce sont des vagues de nuisibles qui nous envahissent, mais des êtres humains qui recherchent l’hospitalité, une chance de vivre, d’exister. Quelques-uns, dans la foule, qui passent au camp, quelques-uns qui représentent beaucoup, quelques-uns que l’on rencontre par leur singularité - leur métier, leur famille, leur souffrance - quelques-uns qui réveillent notre humanité et soulignent l’inhumanité de l’accueil de la République. C’est avec ces hommes que nous faisons ce film, c’est avec eux que nous exposons l’évidence de ce besoin de liberté pour tout développement de notre société. C'est avec vous que nous espérons convaincre le plus grand nombre.

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Retrouver la suite de l'intention des réalisateurs

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Regards sur le film par Carole Chaix

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" Son trait est le résultat d’un quotidien de partage et d’émotion, de collectifs, de combat et de vie, se retrouvant dans ses carnets, ses livres, autour d’une résidence ou d’une exposition qu’elle invente en prolongement de ses livres, livrez-lui un lieu et elle s’en emparera… "

Extrait d'un portrait écrit par Zoé Faucher

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Carole Chaix a décidé de s'associer à notre projet en tant qu'artiste. Nous l'avions invitée à voir le film et elle s'en est immédiatement "emparée".

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À partir du film, Carole a réalisé une série de dessins qui font partie des contributions que nous vous proposons.

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Retrouvez Carole Chaix et ses dessins sur son blog
https://carolechaix.com


A quoi sert l'argent collecté

Objectif 20 000 euros

 

Pour finaliser la production du film et permettre au film d'exister et d'être diffusé en salles.

Il nous faut pour cela faire pour l'image, l'étalonnage et pour le son, le travail de montage son et le mixage

 

Objectif 25 000 euros 

 

Pour permettre une diffusion en Europe et rendre le film accessible au plus grand nombre.

Nous devons faire une version anglaise afin de permettre une diffusion du film en Europe et dans les festivals internationaux.

 

Objectif 40 000 euros

 

Pour réaliser une série de portraits et sensibiliser les jeunes.

Nous pensons que la réalisation d'une série de court-métrages constituée de portraits de d'exilés rencontrés au camp humanitaire de la Porte de la Chapelle, sera un outil de sensibilisation particulièrement utile pour sensibiliser les jeunes en milieu scolaire et élargir nos réseaux de diffusion via les réseaux sociaux.

 

Avec votre contribution
- Vous aidez à changer le regard sur ces hommes
et vous invitez à réfléchir sur nos choix de société. 

 


Objectif de collecte

23 000,00 €

Montant Global

126 850,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Finitions Image et Son

Etalonnage et Mixage 16 000,00 €
Masterisation et Support numérique de projection 4 000,00 €
SOUS TOTAL 20 000,00 €

Régie

Repas, transport et petits matériels 1 850,00 €
SOUS TOTAL 1 850,00 €

Réalisation d'une série de portraits à destination des jeunes publics et réseaux

Montage image et son et finitions. 15 000,00 €
SOUS TOTAL 15 000,00 €

Traduction et sous-titrage anglais

Traducteur et simulation 5 000,00 €
SOUS TOTAL 5 000,00 €

Salaires

Tournage 20 000,00 €
Montage Image 20 000,00 €
Son : Montage et Mixage 9 500,00 €
SOUS TOTAL 49 500,00 €

Location de matériels Tournage et Montage

Caméra, Son et petits matériels 11 000,00 €
Montage Image 15 000,00 €
Montage Son 4 000,00 €
SOUS TOTAL 30 000,00 €

Droits

Musique, droits d'auteurs et traductions 5 500,00 €
SOUS TOTAL 5 500,00 €

TOTAL

TOTAL 126 850,00 €

Recettes

Désignation Montant

L'INALCO

Participation aux traductions 2 400,00 €
SOUS TOTAL 2 400,00 €

la Région Ile-de-France

Subvention 35 000,00 €
SOUS TOTAL 35 000,00 €

La Procirep - société des producteurs

Subvention 8 000,00 €
SOUS TOTAL 8 000,00 €

L'IRD - Institut de recherche en développement

Coproduction 24 000,00 €
SOUS TOTAL 24 000,00 €

ISKRA

Producteur 25 450,00 €
SOUS TOTAL 25 450,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 23 000,00 €

TOTAL

TOTAL 117 850,00 €

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Deux co-réalisateurs

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Filmer le ténu, c’est-à-dire l’essentiel. Depuis vingt ans que nous co-réalisons, nos comportements de « naturalistes » méticuleux que nous adoptons vis-à-vis de ce que nous voyons et entendons de l’espèce humaine, nous mènent toujours sur ce chemin. Nous aimons décortiquer le réel, cette matière complexe qui supporte mal qu’on lui impose des commentaires ou des gros titres. Nous cherchons l’échange, la séquence, la confession où le non-dit transparaît et nous apporte beaucoup. Dans la scrupuleuse observation d’un visage apprenant une décision, de la position de deux corps face-à-face pour un entretien, ou encore dans le filmage attentif de silences accompagnant un souvenir, nous trouvons la plus juste réponse à nos interrogations sur la place de l’homme dans la société. C’est notre façon de faire : raconter à partir d’un cas précis les problèmes partagés par beaucoup.

Avec ce film nous avons voulu rendre compte du point de vue des réfugiés passant dans ce camp, sans être dans l’analyse de l’énorme organisation nécessaire pour cela. Garder l’humanité de tous à portée de mains en suivant au plus près quelques-uns d'entre eux, pendant leur séjour ici. Montrer cet endroit avec sincérité, c’est remarquer le petit nombre d’accueillis, autant que la formidable gentillesse des travailleurs sociaux, ou que la rudesse de la réponse administrative.

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Des hommes uniques

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Contre l’exposition perpétuelle de la masse et du nombre, nous voulions donner à voir et à entendre l’individualité de ces hommes. C’est pourquoi, en premier contact, nous les avons filmés donnant leur nom et prénom et pays d’origine à leur arrivée au centre. Ils s’extraient ainsi d’eux-mêmes de la place de « migrants », qui les définit uniquement par leur déplacement, comme si c’était leur lot d'errer.

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Ces hommes, nous choisissons de les appeler réfugiés, bien qu’ils n’en aient pas le statut juridique. C’est une position politique. Nous considérons qu’ils ont droit au refuge. Rappelons que la plupart des personnes arrivant en France viennent d’Ethiopie, Syrie, Afghanistan, Irak, Soudan, Erythrée, Somalie, Mali, Guinée, autant de pays en proie à des guerres civiles largement reconnues sur le plan international.

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En faisant un film avec les réfugiés que nous avons rencontrés au centre nous voulons promouvoir une autre réalité sur la migration. Ce sont toujours la guerre, la pression démographique et la pauvreté qui poussent les gens hors de chez eux mais aussi l’accès à la liberté d’expression et à un pays en paix. La migration fait partie des options et des fiertés de leur horizon de vie. Ils sont tous en fuite et cherchent un avenir meilleur ailleurs. Dans l’interstice de leurs mots, dans l’épaisseur de leurs récits, ou encore dans le lieu sans lieu de leurs rêves, les réfugiés nous ont confié leur absolu présent, une utopie douce, comme une évidence : « J’ai réussi à survivre jusque-là. Bien évidemment nous allons construire ensemble ce monde libre. »

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Notre société devrait répondre à cette utopie, comme une chance, comme un espoir, comme un progrès. Mais face à ce besoin de mobilité, notre société oppose des frontières, des barrages puis propose des grilles de lecture, des grilles de tri, les grilles du camp. Le « centre humanitaire » est pris en étau entre l’écoute et la compréhension de cette utopie et la gestion de la « real politique ». Traversé par toutes les problématiques liées à l’hospitalité, depuis le premier accueil de l’hébergé jusqu’au projet d’intégration du réfugié, il est une représentation symbolique et politique de l’ambigüité de l’accueil français. L’humanité et l’inhumanité s’y confrontent dans les moindres recoins. Cette mise à l’abri permet aux réfugiés un moment de répit. Enfin libérés pour un temps de la tension du voyage, de la violence de la rue, de la crainte de la police, on les sent soulagés dès qu’ils passent la porte de la bulle. Le camp est bien un endroit humanitaire, mais pas seulement parce qu’il faut accueillir des « primo arrivants », aussi parce qu’il faut les protéger - en plein Paris - de policiers qui viennent les déloger tous les deux jours. Le « dedans » est la preuve de la violence du « dehors ». Nous voulons montrer l’obligation de cet accueil, sauvetage nécessaire en pleine mer hostile.

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Le camp, un lieu révélateur et politique

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Le centre s’est révélé être un lieu emblématique, où le champ et le hors champ permettent à une vision générale d’éclore d’un sentiment personnel. Des réfugiés dans un tel camp de transit et c’est tout un pan de notre société qui est mis à nu.

Ce camp de réfugiés est également une représentation à petite échelle de la société française qui s’y retrouve dans toute sa complexité, depuis la frilosité des pouvoirs publics jusqu’à la générosité des bénévoles de quartier, depuis la rigidité sécuritaire et les atermoiements administratifs jusqu’à l’empathie des personnels soignants et sociaux. Tous viennent montrer une part de nous, sans être dupes ni d’où ils viennent ni où ils vont. Ainsi, les travailleurs sociaux se voient obligés d’assumer une politique d’immigration qui rejette des personnes à la rue alors que ce qu’ils souhaitent avant tout c’est de les mettre à l’abri. La tension chez eux est visible quand ils ne peuvent s’empêcher de marmonner ou de souffler excédés ou d’aller fumer une cigarette pour se calmer. Et ceci est partagé par tous les gens ayant une action dans le camp, qu’ils soient médecins, salariés de l’OFII ou bien sûr bénévoles. Le film révèle l'organisation du centre, avec ses contradictions, ses névroses, ses conflits, ses histoires. Le centre offre la consolation de la chambre, de la douche et de la nourriture, mais il impose les horaires, le portique gardé par des agents de sécurité et surtout le rendez-vous à la préfecture.

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La préfecture

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Nous avons eu l’autorisation de filmer à la préfecture, là où se déroule la prise d’empreintes et où les réfugiés apprennent le sort qui leur est réservé : Dublin, ou pas Dublin. Renvoi vers le pays où ils ont déposé leurs empreintes lors de leur entrée en Europe, ou pas de renvoi. Brutalité des décisions répondant à des règles strictes qui ne supportent pas d’exception même lorsqu’elles mènent à des situations absurdes... Le camp expose au grand jour la versatilité des politiques qui changent les règles tellement souvent pour maintenir les réfugiés dans l’incertitude. Les discussions entre agents de l’Ofii, salariés d’Emmaüs et réfugiés qui essayent de comprendre sont saisissantes. Aussi, quelles que soient les nouvelles politiques migratoires, les projets de nombreux réfugiés viendront se fracasser à cette réalité : l’état ne veut pas que la France soit une terre d’accueil, donc acceptons le moins possible de demandes d’asile.

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Nous ne pouvons partager une telle position. Nous ne pouvons rester recroquevillés. Le pays d’abondance dans lequel nous vivons ne peut être entretenu par nous seuls. En approchant les réfugiés, en les rencontrant, en partageant leurs utopies, nous souhaitons faire ressentir à quel point nous ne pouvons que nous enrichir à leur contact. Nous avons besoin des autres.

Contreparties

Votre nom au générique du film

pour 10,00 € et +

22 ARTINAUTES

Merci pour votre soutien. Vous avez votre nom en remerciement au générique.

Nous vous invitons à continuer de nous soutenir en partageant cette campagne avec vos proches.

Vous êtes un particulier, le montant de défiscalisation pour les particuliers est de 66%,un don de 10€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 6,60€.

Le lien "privé" du film

pour 20,00 € et +

61 ARTINAUTES

Merci. Vous avez votre nom en remerciement au générique

+ un lien "privé" pour regarder le film sur internet.

Vous êtes un particulier,le montant de défiscalisation pour les particuliers est de 66%,un don de 20€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 13,20€.

Le DVD du film

pour 50,00 € et +

52 ARTINAUTES

Merci. Vous avez votre nom en remerciement au générique et le lien "privé" du film.

+ le dvd du film + "le guide à l'usage des migrants"

Vous êtes un particulier,le montant de défiscalisation pour les particuliers est de 66%, un don de 50€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 33€.

L'avant-première du film pour 2 personnes

pour 80,00 € et +

19 ARTINAUTES

181 DISPONIBLES

Merci. Vous avez votre nom au générique, le lien, le dvd du film, le guide.

+ Invitation à l'avant-première du film pour 2 personnes

Vous êtes un particulier,le montant de défiscalisation pour les particuliers est de 66%, un don de 80€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 52,80€.

La Trilogie des co-réalisateurs en dvd dédicacés

pour 120,00 € et +

13 ARTINAUTES

Merci. Vous avez votre nom au générique, le lien, le dvd du film dédicacé, le guide, une invitation pour deux à l'avant-première.

+ Les dvd dédicacés de LE LAIT SUR LE FEU et de SAIGNEURS

Vous êtes un particulier,le montant de défiscalisation pour les particuliers est de 66%, un don de 120€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 79,20€.

Un portfolio de 5 tirages en A5 de dessins de Carole Chaix

pour 200,00 € et +

6 ARTINAUTES

14 DISPONIBLES

Merci. Vous avez votre nom au générique, le lien, le guide, la trilogie des co-réalisateurs endvd.

+ Une pochette;comprenant 5 portraits dessinés;par Carole Chaix.
Tirageformat A5 papier 250g/cm2

Vous êtes un particulier,le montant de défiscalisation pour les particuliers est de 66%, un don de 200€ vous donne droit à une défiscalisation de 132€.

Pré-achat des droits du film, destiné aux personnes morales (associations, institutions…)

pour 200,00 € et +

1 ARTINAUTE

Merci. Vous avez le nom de votre institution au générique, le lien et le dvd du film, le guide, l'invitation pour deux à l'avant-première.

+ un droit à usage du film au sein de votre structure sous forme de consultation ou de prêt (Mais pas en projection publique).


Vous êtes une personne morale, un don de 200€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 120€ - (le montant possible de défiscalisation du don pour les personnes morales est de 60%)

Un tirage d'art d'un dessin de Carole Chaix (format A3)

pour 500,00 € et +

0 ARTINAUTES

Merci. Vous avez votre nom au générique, le lien, le dvd du film, le guide, l'invitation à l'avant première.

+ un tirage;d'art en série limitée d'un dessin original (numéroté de 1 à 10, signé par Carole Chaix.
FormatA3 sur papier dessins extra blanc (RAG BRIGHT WHITE)

Vous êtes un particulier, le montant de défiscalisation du don pour les particuliers est de 66%, un don de 500€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 330€.

Bienfaiteur - personne physique

pour 1 500,00 € et +

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Vous avez votre nom au générique sur un carton dédié aux Membres bienfaiteurs

+ 10 DVD et un lien pour visionner le film

+ 10 invitations à l'avant-première

+ un tirage d'art A3 sur papier dessins extra blanc (RAG BRIGHT WHITE) réalisé par Carole Chaix.

Vous êtes un particulier,le montant de défiscalisation pour les particuliers est de 66%,un don de 1 500€ vous donne donc droit à une défiscalisation de990€.

Bienfaiteur - personne morale

pour 2 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

Vous avez votre nom au générique sur un carton dédié aux Institutions bienfaitrices

+ 10 DVD et un lien pour visionner le film

+ 10 invitations à l'avant-première

+ un tirage d'art A3 sur papier dessins extra blanc (RAG BRIGHT WHITE) réalisé par Carole Chaix.

+ droits de diffusion au sein de votre Institution

+ une projection organisée avec un membre de l’équipe.

Vous êtes une personne morale, un don de 2000€ vous donne donc droit à une défiscalisation de 1200€ - (le montant possible de défiscalisation du don pour les personnes morales est de 60%)