Court métrage - Sans Effraction

Réalisation d'un court métrage nécessaire à la validation de ma deuxième année
AUDIOVISUEL - CINÉMA
PRODUCTION

Présentation du projet

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Bonjour à toi si tu passes par là !
Laisses moi te parler de moi et de mon projet...

Je m'appelle Lucas Peron, je suis étudiant en deuxième année d'école de cinéma à EICAR Bordeaux et en cette fin d'année scolaire, j'ai eu la chance d'être sélectionné pour réaliser un court-métrage nécessaire à la validation de ma seconde année. Passionné d'audiovisuel depuis tout petit, j'ai intégré EICAR Bordeaux en étant certain qu'il s'agissait du milieu dans lequel je souhaite évoluer. Et aujourd'hui je peux confirmer que je ne me suis pas trompé. Au sein de cette école, j’apprend à connaître les différents métiers qui composent le cinéma ; ceux que j’affectionne le plus résident autour de la technique, et de l’image, de l’écriture et aussi de la réalisation.

Assez parlé de moi, parlons désormais du projet.

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Il s’agit là donc d’un court-métrage étudiant, très ambitieux, dont la durée ne dépassera pas les 10min, et qui, sous approbation de mes professeurs, pourra potentiellement être projeté au Mégarama à Bordeaux rive droite.

Concernant le récit de mon projet, son histoire, je vous laisse découvrir ci-dessous mon pitch, ainsi que ma note d’intention.

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PITCH :

Florian, Saïd et Jérémy sont trois jeunes de banlieue liés comme les doigts de la main. Inséparables, très déconneurs, et surtout en manque d’argent, les trois compères décident un soir d’aller cambrioler la maison d’une vieille femme, dans un village qu’ils pensent paisible.

Cependant, c’est sans savoir qu’à partir d’une certaine heure, la population de cette commune devient dangereuse et acharnée.

Florian, Saïd et Jérémy se retrouveront bloqués dans le domicile de leur victime, une vieille femme qui les chassera sans aucuns scrupules, et ce jusqu’au dernier...

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NOTE D'INTENTION :

Depuis des années, au sein de notre société, existe une guerre générationnelle.

Même s’il demeure quelques exceptions, il est rare que la cohabitation entre jeunes et anciens soit de tout repos. Et c’est cette triste réalité que je souhaite dans un premier temps aborder dans ce film.

En effet, l’objectif ici est de mettre en scène cette bataille de générations, au sein d’une ambiance horrifique, justifiée par la peur la mieux partagée dans nos sociétés rêvant d’une jeunesse éternelle : la vieillesse.

L’agent de l’horreur dans ce court-métrage appartient donc à notre réalité la plus commune.

Le troisième âge fait payer à la jeunesse l’enfer de leurs conditions, tout en usant de ce qui représente une terreur absolue pour bon nombre d’entre nous : le naufrage psychique et physique de fin de vie. Ici, ce naufrage est représenté par la maladie d’Alzheimer, plus précisément sa phase extrême, comme une sorte de « quatrième stade » dont sont victimes les femmes du village.

Des femmes qui prennent leur revanche sur le patriarcat, où l’homme se doit chaque nuit de combler les besoins funestes de sa douce, tandis que la femme veuve se charge de chasser trois jeunes hommes de cité, en manque d’argent, qui le temps d’une nuit sont confrontés au réel danger, loin des difficultés quotidiennes de la vie en banlieue.

À travers ce film, je vois également pour moi l’occasion de m’essayer à un nouveau genre, celui de l’épouvante, de l’horreur. Un genre auquel j’accorde beaucoup d’intérêt et dans lequel évoluent des réalisateurs qui m’inspirent : Tobe Hooper, Georges Romero, James Wan, M. Night Shyamalan, Jaume Balagueró, Paco Plaza…

Dans ce film, l’immersion du spectateur aux côtés des jeunes cambrioleurs sera primordiale. Il faut que la mise en scène soit à l’image de la situation que vivent les protagonistes.

L’objectif est d’enfermer le spectateur dans « l’arène », une arène qu’il découvrira et quittera en même temps que Florian, et dans laquelle il devra se sentir lui aussi prit au piège.

Je tiens à tenir une certaine égalité entre spectateur et personnage : le spectateur ne disposera d’aucunes informations que le personnage n’aura pas, l’intérêt étant que la tension, la peur, et les sursauts soient les mêmes pour le public et les protagonistes.

D’un point de vue technique, le travail sera tout aussi important.

L’intégralité du film se déroule de nuit, laissant place à une atmosphère très sombre, effrayante, et qui viendra amplifier la difficulté de la mission des personnages.

Cette ambiance obscure permettra également à l’antagoniste de ce film d’être d’autant plus pétrifiant ; un antagoniste représenté par une vieille femme au physique monstrueux dont l’attitude est imprévisible et qui ne se manifestera jamais là où on l’attend.

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J'espère que le projet te plaît !

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En attendant voici quelques liens vers certaines de mes réalisations :

- Pour les amateurs de rap, voici le tout premier clip (street clip) que j'ai réalisé pour l'artiste NS en janvier 2019 :

https://www.youtube.com/watch?v=FprKkOfjjF0

- Pour ceux qui préfèrent les courts-métrages, voici mon tout premier réalisé en juin 2018 :

https://www.youtube.com/watch?v=92l9brpybuo&t=212s

- Et puis voici également ma toute première captation réalisée pour l'artiste PLK en mars 2019 :

https://www.instagram.com/p/BwPTgdbBCcx/

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J'ai réalisé beaucoup d'autres projets mais ils ne sont pas encore disponibles, cela arrive très prochainement...

En espérant que l'un des prochains soit "Sans Effraction".


A quoi sert l'argent collecté

L'argent récolté servira à assurer les différentes dépenses ne pouvant pas être assurées par mon école.

Mon école se charge de nous fournir le matériel (excepté quelques accessoires que nous allons louer), ainsi que mon équipe technique (composée donc de mes camarades). 

En revanche, pour ce qui est des décors, de la régie, des déplacements, du maquillage, des costumes etc... Je me dois d'obtenir une base financière solide afin d'assurer toutes ces dépenses et favoriser le bon déroulement ainsi que la qualité de mon film.

Fort heureusement, j'ai de la chance de travailler avec des comédiens professionnels bénévoles, ou alors des élèves des Cours Florent, qui peuvent donc voir à travers un court-métrage comme le mien un moyen de s'exercer et d'enrichir pourquoi pas leur bande-démo. Tout le monde est gagnant !


Objectif de collecte

1 350,00 €

Montant Global

1 350,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Décors

Décors 600,00 €
SOUS TOTAL 600,00 €

Régie

Repas équipes + déplacements 300,00 €
SOUS TOTAL 300,00 €

Costumes + Accessoires

Costumes + Accessoires 100,00 €
SOUS TOTAL 100,00 €

Location matériel

Bouladous, bague d'adaptation, follow HF 250,00 €
Maquilleuse 100,00 €
SOUS TOTAL 350,00 €

TOTAL

TOTAL 1 350,00 €

Recettes

Désignation Montant

Proarti

Financement participatif proarti 1 350,00 €

TOTAL

TOTAL 1 350,00 €

Mes inspirations esthétiques et scénaristiques pour mon film :

- La Haine (1995) - Mathieu Kassovitz

- The Visit (2015) - M. Night Shyamalan

- Hereditary (2018) - Ari Aster

- Don't Breathe (2016) - Fede Àlvarez

- De nombreux jeux-vidéos d'horreur tels que P.T ou Resident Evil 7

Contreparties

Ton nom au générique !

pour 5,00 € et +

0 ARTINAUTES

Qu'importe le montant dont tu feras don, nous t'ajouterons avec plaisir à notre générique!

Un making of ça t'intéresse?

pour 10,00 € et +

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À partir de 10€, tu auras un accès privilégié aux coulisses du film!