Au revoir mon amour

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Au revoir mon amour est un spectacle de théâtre immersif en trois épisodes qui interroge nos doutes et nos peurs face à l’échéance ultime. Le premier épisode a été créé en décembre 2017 — mais pour que les deux prochains épisodes puissent exister et tourner en France dès la fin 2018, nous avons besoin de votre aide !

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LE SPECTACLE

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• UNE FORME HORS-LES-MURS :

« Deux mondes se font face. Louis va bientôt quitter le sien et les proches qui l’entourent lors d’une cérémonie de départ. Alors qu’il expie ses derniers remords, les figures amusées de l’autre monde l’accueillent peu à peu dans son nouveau chez lui. Louis est voué à disparaître ; quelqu’un va se substituer à sa place, pour maintenir l’harmonie. »

Au revoir mon amour est une forme hors-les-murs qui recherche le secret et l’intime, l’obscur et le non-dit. Elle se déroule dans des espaces qui se prêtent idéalement aux flots de souvenirs que Louis — le protagoniste — déverse.

Le spectateur d'Au revoir mon amour est sollicité d’une manière originale : il ne se rend pas vraiment à une représentation. Il va plutôt chez quelqu’un : à une soirée, un dîner, une cérémonie… En accompagnant les derniers instants de Louis sur les airs kitsch de Joe Dassin, il est invité à pénétrer dans l’espace privé voire interdit d’un inconnu afin d'y vivre une expérience cosmique.

Dans ce cadre interactif, Au revoir mon amour cherche à interroger notre conception de l’au-delà. Le spectacle immerge le visiteur dans un enchaînement de tableaux cinématographiques en slow-motion partagés entre deux mondes : le nôtre — d'où vient Louis — et l’au-delà — peuplé de figures farcesques qui se préparent à l'accueillir dans sa nouvelle vie.

À mi-chemin entre théâtre et danse, Au revoir mon amour trace une parabole poétique non sans second degré sur la mort et les peurs qu’elle engendre.

• UNE CRÉATION EN PLUSIEURS ÉPISODES :

Au revoir mon amour est divisé en trois épisodes :

— L’ÉPISODE 0 raconte l’enlèvement de Louis par une allégorie de la mort ;

— L’ÉPISODE 1 met en scène sa cérémonie de départ ;

— L’ÉPISODE 2 parle de son remplacement par une autre figure.

Chaque épisode est créé en 25 jours sur 2 résidences avant d’être présenté à un premier public tous les 6 mois.

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Au revoir mon amour n’a besoin que d’un public en jauge réduite et d’un espace secret (ou presque) pour se représenter.

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N’hésitez pas à nous contacter si vous avez un espace de représentation !

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POURQUOI UNE COLLECTE ?

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Le laboratoire de recherche du premier épisode a été soutenu par le dispositif Créart’Up et le dispositif Culture ActionS du CROUS de Paris. Néanmoins, la création des prochains épisodes est subordonnée à la réussite de la collecte. S’agissant de jeune création, le crowdfunding est en effet d'une grande aide en complément des premières subventions.

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Jouer hors des théâtres suppose d'abord une grande autonomie technique.

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Même si le dispositif d’Au revoir mon amour est simple et maniable, il doit contenir des éléments de lumière et de son très spécifiques.

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La collecte via Proarti permettra à Au revoir mon amour de financer son indépendance d’installation. L'équipe pourra également louer des espaces de répétition et de construction. Elle permettra enfin au groupe d’organiser sa diffusion papier et web ainsi que d'assurer une partie des transports matériels et humains lors des représentations.

Puisque le Collectif JOKLE, qui porte le projet, est une association d’intérêt général, tous les dons sont défiscalisés à hauteur de 66% (article 200 du code des impôts).

Vous pourrez télécharger votre reçu fiscal par la suite !

• LES ÉTAPES DE FINANCEMENT :

Pour vous donner un ordre d'idée :

À 1000 € :

Le dispositif lumineux d’Au revoir mon amour pourra être financé.

À 2000 € :

Le spectacle aura gagné son autonomie technique (son et lumière) !

À 2500 € :

L’équipe pourra répéter sereinement et louer un atelier de construction.

À 3500 € :

Le spectacle pourra être diffusé en papier et web.

À 4800 € :

Les transports matériels et humains pourront être partiellement assurés !

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Resteront à charge des éléments logistiques et artistiques (scénographie, costumes, accessoires...) qui seront financés par des subventions et des fonds associatifs.

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LE PORTEUR DE PROJET

Victor INISAN-LE GLÉAU allie formation théorique (CPGE littéraire à Rennes et Paris, Master Arts de la scène à l’ENS Lyon, doctorat en cours à l’Université Lille 3 sous la direction de Véronique Perruchon) et expériences de terrain. En 2018, il est assistant à la mise en scène pour Fourberies (mise en scène Anthony Le Foll / production Scène Nationale d’Albi), assistant lumières pour Comment s’en sortir sans sortir (mise en scène Frédérique Aït-Touati / création au Théâtre de Vanves), metteur en scène d’Au revoir mon amour, rédacteur théâtre pour I/O Gazette et stagiaire pour la troisième année consécutive au sein du département d’écriture dramatique de l’ENSATT dirigé par Enzo Cormann et Samuel Gallet. Son texte Guy est dans l’auto sera mis en scène cet été par Antonin Fadinard au Lyncéus Festival. Durant son parcours, il a notamment rencontré Grégoire Ingold, Éric Charon, Mohamed Kacimi, Olivier Saccomano, Maguy Marin, Franck Vercruyssen, François Tanguy et Denis Podalydès.

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LA STRUCTURE

JOKLE a été fondé en 2015 à Paris sous l’impulsion de Victor INISAN-LE GLÉAU. Le collectif a présenté 4 créations (Bittersweet, Guerre, Firmin Gautier, Au revoir mon amour) dans des lieux divers (Festival Rideau Rouge à Théâtre Ouvert, Théâtre de Ménilmontant, Festival Sablival, Festival À Contre Sens, Festival Quartier du Livre, Festival Cithémuses au Théâtre Kantor, ADEC de Rennes, Festival Promenons-nous…) sur plus de 40 dates. JOKLE a également développé des partenariats avec le dispositif Créart’Up, la MIE de Paris, Culture Actions, le CROUS de Paris, l’association Enscène ! et la Sorbonne Nouvelle. Le collectif s’intéresse aux écritures contemporaines et dites « de plateau » qui brisent les murs du théâtre — le lieu comme la discipline.

Projet Bittersweet - Théâtre de Ménilmontants

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