Compagnie Les Grandes Marées
Biographie
Les Grandes Marées est une compagnie théâtrale basée à Vire, constituée d’artistes issus de la promotion 72 de l’ENSATT (École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre), dirigée par Pierre Cuq, et dont le projet s’oriente sur 4 axes principaux :
- La promotion des écritures contemporaines
- La création à destination du jeune public (en particulier vers les adolescents)
- La pluridisciplinarité (plus particulièrement le lien privilégié entre le théâtre, la danse et la vidéo)
- L’éducation artistique des publics (milieu scolaire, associatif, et privé)
En parallèle de la création et la diffusion de spectacles, la mission de la compagnie se décline en plusieurs volets d’actions culturelles :
# Les lectures publiques ou mises en voix des textes en cours de création
# La formation artistique sous forme de résidences en collège/lycée, d’ateliers réguliers (écriture, jeu, danse), ou encore de stages de pratique artistique (amateur ou confirmé)
# Des ateliers dramaturgiques, bords plateaux ou rencontres informelles avec les publics
Depuis 2010, Pierre Cuq a mis en scène :
Le(s) Joueur(s) :
Montage d’après Les Joueurs de Nikolaï Gogol, Le Joueur de Fédor Dostoïevki, et La Dame de Pique d’Alexandre Pouchkine (traité en vidéo et projeté sur le décors pendant le spectacle)
L’Enfant Froid de Marius von Mayenburg (co-mise en scène avec Sophie Engel) :
L’Enfant Froid est comme un poème violent et drôle autour de personnages tout juste sortis du monde de l’enfance, précipités vers ce moment singulier qui transforme les fils en pères. La pièce s’attarde sur la confrontation de deux générations de couples (parents et enfants) à la modernité, aux nouveaux codes d’utilisation du temps libre, de l’espace public marchand des grandes villes, mais aussi aux nouveaux codes amoureux.
https://www.pierrecuq.com/lenfant-froid
K d’après les journaux de Franz Kafka et des textes de Perrine Gérard :
Le projet est né de la rencontre entre ces deux auteurs et de certains motifs qu’ils traitent en commun : la nuit, le rêve et la solitude. La similitude des motifs dans ces deux écritures, pourtant radicalement différentes, nous a mené à la création d’une forme théâtrale et dansée mettant en jeu ces thèmes. Un montage a été réalisé à partir des deux écritures grâce au concours de Perrine Gérard, écrivain dramatique.
Dans une succession d'épisodes, nous suivons le parcours labyrinthique de K, sa fuite et ses angoisses dans une frénésie allant jusqu’à la danse. Plusieurs fois il se posera la question : me suis-je vraiment endormi ? Nous-mêmes ne le savons plus très bien.
Le point central de notre recherche ne réside pas dans la représentation du rêve en soi, mais dans le doute de savoir si l’on rêve. Le seuil entre réel et rêve et les manifestations que cela implique.
Ces projets de mise en scène ont tous pour point commun l’écriture contemporaine ou le montage, et le croisement avec la danse, le mouvement, et la vidéo. Ils ont forgé mon esthétique de mise en scène et sont à l’origine de la création de la compagnie Les Grandes Marées.
Avec Rouge dents, la 4ème mise en scène, forme hybride entre le théâtre, la danse, et l’art vidéo, la compagnie se tourne vers des thèmes plus intimes comme l’identité ou la construction de soi par le prisme de la dictature de l’image.
- La promotion des écritures contemporaines
- La création à destination du jeune public (en particulier vers les adolescents)
- La pluridisciplinarité (plus particulièrement le lien privilégié entre le théâtre, la danse et la vidéo)
- L’éducation artistique des publics (milieu scolaire, associatif, et privé)
En parallèle de la création et la diffusion de spectacles, la mission de la compagnie se décline en plusieurs volets d’actions culturelles :
# Les lectures publiques ou mises en voix des textes en cours de création
# La formation artistique sous forme de résidences en collège/lycée, d’ateliers réguliers (écriture, jeu, danse), ou encore de stages de pratique artistique (amateur ou confirmé)
# Des ateliers dramaturgiques, bords plateaux ou rencontres informelles avec les publics
Depuis 2010, Pierre Cuq a mis en scène :
Le(s) Joueur(s) :
Montage d’après Les Joueurs de Nikolaï Gogol, Le Joueur de Fédor Dostoïevki, et La Dame de Pique d’Alexandre Pouchkine (traité en vidéo et projeté sur le décors pendant le spectacle)
L’Enfant Froid de Marius von Mayenburg (co-mise en scène avec Sophie Engel) :
L’Enfant Froid est comme un poème violent et drôle autour de personnages tout juste sortis du monde de l’enfance, précipités vers ce moment singulier qui transforme les fils en pères. La pièce s’attarde sur la confrontation de deux générations de couples (parents et enfants) à la modernité, aux nouveaux codes d’utilisation du temps libre, de l’espace public marchand des grandes villes, mais aussi aux nouveaux codes amoureux.
https://www.pierrecuq.com/lenfant-froid
K d’après les journaux de Franz Kafka et des textes de Perrine Gérard :
Le projet est né de la rencontre entre ces deux auteurs et de certains motifs qu’ils traitent en commun : la nuit, le rêve et la solitude. La similitude des motifs dans ces deux écritures, pourtant radicalement différentes, nous a mené à la création d’une forme théâtrale et dansée mettant en jeu ces thèmes. Un montage a été réalisé à partir des deux écritures grâce au concours de Perrine Gérard, écrivain dramatique.
Dans une succession d'épisodes, nous suivons le parcours labyrinthique de K, sa fuite et ses angoisses dans une frénésie allant jusqu’à la danse. Plusieurs fois il se posera la question : me suis-je vraiment endormi ? Nous-mêmes ne le savons plus très bien.
Le point central de notre recherche ne réside pas dans la représentation du rêve en soi, mais dans le doute de savoir si l’on rêve. Le seuil entre réel et rêve et les manifestations que cela implique.
Ces projets de mise en scène ont tous pour point commun l’écriture contemporaine ou le montage, et le croisement avec la danse, le mouvement, et la vidéo. Ils ont forgé mon esthétique de mise en scène et sont à l’origine de la création de la compagnie Les Grandes Marées.
Avec Rouge dents, la 4ème mise en scène, forme hybride entre le théâtre, la danse, et l’art vidéo, la compagnie se tourne vers des thèmes plus intimes comme l’identité ou la construction de soi par le prisme de la dictature de l’image.
