Top Death

N'oubliez pas, dans la vie, on n'a qu'une seule mort.
ARTS DE LA SCÈNE
PRODUCTION

Présentation du projet

Avez-vous déjà pensé à votre propre mort ?

Avez-vous déjà souhaité pouvoir assister à votre propre enterrement ?

Avez-vous déjà pensé à la musique que vous voudriez pour vos funérailles ?

Vous êtes-vous déjà dit : « la mort j’aurais bien le temps d’y penser le moment venu » ?

Avez-vous déjà ri dans un cimetière ?

En avez-vous eu l’envie mais sans oser le faire ?

Avez-vous déjà eu l’impression de sentir la présence d’un mort à vos côtés ?

Avez-vous déjà parlé à une personne morte ?

Vous êtes-vous senti stupide par la suite ?

Ou au contraire rasséréné ?

Avez-vous déjà écrit une lettre à un mort ?

Si vous vous êtes déjà posé l’une des ses questions, Top Death est pour vous.

TOP DEATH, QU’EST-CE QUE C’EST ?

Top Death est la deuxième création de la Compagnie Crier Gare. Après avoir remporté le Prix du Public au festival Nanterre sur Scène en novembre 2017 avec sa première création autour du mythe de Médée, Je ne suis pas de celles qui meurent de chagrin ou « Médée ! Je vais l’être ! », la Compagnie Crier Gare jouera Top Death pour la première fois lors du festival francilien ON n’arrête pas le théâtre en juillet 2018. Dans cette nouvelle création, la compagnie aborde de manière intime et sensible, mais non sans humour, le rapport de chacun face à la mort, la sienne et celles des autres et tente de faire sienne la phrase du poète et écrivain André Velter « La mort est à réinventer ».

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FAIRE VIVRE UN SPECTACLE SUR LA MORT, OU POURQUOI UN CROWDFUNDING ?

La compagnie arrive maintenant à la dernière phase de création du spectacle et a besoin de vous pour pouvoir aller au bout du projet et le jouer en juillet lors du festival ON n’arrête pas le théâtre! En effet, les coûts de création liés à la location des salles de répétition, aux décors et aux déplacements des membres de l’équipe ne sont pas entièrement assumables par la compagnie et c’est pourquoi nous lançons un crowdfunding avec l’espoir qu’il permettra le début d’une longue vie au projet.

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QUI SONT LES MEMBRES DE L’ÉQUIPE DE TOP DEATH ?

Nous sommes sept vivants.

Sept vivants souhaitant partager leur deuil de jeunes vivants.

Parce que nous sommes vivants, n’est-ce pas ?

Enfin…

En tout cas, nous sommes.

Quatre comédiens, pleins de leur histoire et de leur réflexions,

Une poétesse-auteure, observatrice, metteuse en forme de parole, tisseuse de mots, la barrière pour ne pas sombrer,

Une chorégraphe, initiatrice de vie et de mouvements,

Une metteuse en scène, metteuse d’ordre, ou de désordre, c’est selon.

Un groupe.

Sept explorateurs.

Tous nos morts.

Et le public.

Pour cette création dirigée par Claudia Roussel-Ortega, la compagnie s’est entourée de quatre comédiens issus de l’école Auvray-Nauroy, Marine Bellando, Nicolas Foray, Charline Granger et Amanda Sherpa-Atlan, d’une auteure basée à Berlin, Anne-Sophie Plaisant et d’une chorégraphe travaillant sur Paris, Justine Dibling. Le choix de la composition de l’équipe est venu d’affinités particulières entre la metteuse en scène et les différents membres du groupe mais également d’un vécu particulier chez chacun et de réflexions personnelles très engagées quant à la thématique du projet.

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LES ÉTAPES DE TOP DEATH

Le projet a débuté en décembre 2017 par une première rencontre-laboratoire entre les membres de l’équipe afin de faire connaissance et de commencer à échanger sur les thématiques. En confrontant notamment expériences et ressentis personnels avec des textes plus réflexifs, philosophiques, poétiques ou littéraires, tels que Journal d’un Deuil de Roland Barthes, Le Voile Noir d’Anny Duperey, Au bonheur des morts de Vinciane Despret ou encore Le Deuil, entre le chagrin et le néant avec Philippe Forest et Vincent Delecroix.

L’équipe s’est ensuite retrouvée régulièrement entre janvier et avril pour des sessions de travail de deux jours à chaque fois, divisées au départ entre des temps de discussions et des temps d’improvisation au plateau ; puis par des allers-retours entre improvisations et travail sur le texte, élaboré au fur et à mesure des sessions par l’auteure et la metteuse en scène, et remanié par l’auteur en présence des comédiens.

Fin juin, l’équipe se retrouvera pour achever la création du spectacle avant de le jouer pour trois dates lors du festival ON n’arrête pas le théâtre, qui se tiendra entre Paris (théâtre de l’Etoile du Nord) et Saint-Denis (Ecole Auvray-Nauroy) du 30 juin au 13 juillet.

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À QUOI RESSEMBLE TOP DEATH ?

Le projet s’articule en plusieurs tableaux, parlés, dansés ou silencieux, montrant l’évolution d’un petit groupe de personnes qu’on pourrait qualifier « d’activistes » luttant contre la peur de la mort, la leur et celle plus générale de notre société qui cherche à tout prix à faire oublier aux hommes leur condition de mortels. Les tableaux s’enchaînent avec la volonté de faire s’entrechoquer les registres, de passer du grotesque au poétique en un rien de temps, afin de rendre compte de cet état dont on fait souvent l’expérience lord du décès d’un proche. Cet état si particulier où les larmes et les rires se confondent sans plus savoir ce qu’il convient de faire. Le public est disposé en cercle, formant une sorte d’arène à l’intérieur comme à l’extérieur de laquelle les comédiens évoluent, intégrant ainsi les spectateurs à ces réunions de groupe où l’on tente d’échanger sur les trous laissés par la mort, d’accepter joyeusement sa présence quotidienne, de se la rappeler pour ne pas l’oublier et de réfléchir à cette question : peut-on vraiment se préparer à la mort ?

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« Accoutumons-nous à considérer la mort comme une forme de vie que nous ne comprenons pas encore. Apprenons à la voir du même oeil que la naissance. Il est tout à fait raisonnable et légitime de se persuader que la tombe n’est pas plus redoutable que le berceau. »

Maurice Maeterlinck

A quoi sert l'argent collecté

L'argent collecté servira à rembourser une partie des coûts de création du projet (décors, salles de répétition, déplacements de l'auteure entre Paris et Berlin) et donnera les moyens au projet d'être créé début juillet lors du festival ON n'arrête pas le théâtre (en permettant notamment de faire revenir une des comédiennes qui travaille en ce moment au Canada pour les dates du festival).


Objectif de collecte

2 000,00 €

Montant Global

3 450,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Coûts de production

Décors 1 400,00 €
Location Salles de répétition 340,00 €
Déplacements Metteuse en scène 450,00 €
Déplacement Comédiens 810,00 €
Déplacements Auteure 450,00 €
SOUS TOTAL 3 450,00 €

TOTAL

TOTAL 3 450,00 €

Recettes

Désignation Montant

Recettes

Festival On N'arrête Pas le Théâtre 150,00 €
SOUS TOTAL 150,00 €

Apport de la compagnie

Apport personnel 450,00 €
SOUS TOTAL 450,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 2 000,00 €

TOTAL

TOTAL 2 600,00 €

Contreparties

Mourir ? Plutôt crever !

pour 5,00 € et +

3 ARTINAUTES

Merci à vous ! Vous recevrez bientôtun mail de remerciement de la part de toute l'équipe accompagné d'un poème!

Enfin seul !

pour 20,00 € et +

8 ARTINAUTES

Merci beaucoup à vous ! Vous recevrez en échange une photo de l'équipe dédicacée et accompagnée toujours d'un poème (parce que la poésie c'est bien !)!

Ci-gît mon mari ! Oh, qu'il est bien ! Pour son repos et pour le mien !

pour 50,00 € et +

2 ARTINAUTES

Un grand merci ! Vous recevrez prochainement une affiche du spectacle dédicacée par tous les membres del'équipe !

Mort tel la vie.

pour 100,00 € et +

4 ARTINAUTES

Un très grand merci à vous ! En échange nous vous offrons une invitation pour une des représentations au festival On n'arrête pas le théâtre le 6, 7 ou 8 juillet !

Dans la vie, on n'a qu'une seule mort.

pour 500,00 € et +

0 ARTINAUTES

Un énorme merci ! Nous vous proposons une promenade avec l'équipe dans le cimetière du Père Lachaise, accompagnée de lecture depoèmes.

Dead Line

pour 1 000,00 € et +

0 ARTINAUTES

Un gigantesque merci à vous ! Nous vous proposons en échange de venir faire une séance de coaching avec toute l'équipe pour vousentraîner à mourir dans de bonnes conditions !