OEUVRER SON CRI

Oeuvrer son cri au Festival OFF d'Avignon
ARTS DE LA SCÈNE
DIFFUSION
CRÉATION ÉMERGENTE,
DÉMOCRATISATION CULTURELLE

Présentation du projet

 

OEUVRER SON CRI 

 

MISE EN SCÈNE

Sacha Ribeiro

JEU

Alice Vannier

Alicia Devidal

Marie Menechie

Logan De Carvalho

Simon Terrenoire

SCÉNOGRAPHIE

Camille Davy

COSTUME 

Lisa Paris

CONCEPTION LUMIÈRE

Clément Soumy

CONCEPTION SONORE

Robert Benz

CONCEPTION VIDEO

Jules Boquet

 

QUI SOMMES NOUS ?

 

Nous sommes Sacha et Alice,

Nous avons créé la compagnie Courir à la Catastrophe en 2018, suite à notre rencontre pendant notre formation à l'ENSATT de Lyon. Nous avions tous le deux, le désir de travailler ensemble et de porter nos propres projets malgré une formation de comédien·ne·s. A tour de rôle à la mise en scène ou au plateau, nous avons créé des pièces qui s'inspirent de matières autres que théâtrales. Pour exemple, notre premier spectacle était une adaptation de La misère de monde de Pierre Bourdieu et notre dernière création explore l'aventure de la psychothérapie institutionnelle dans les années 70. Depuis sa création, la Cie a déjà à son actif cinq créations.

Nous essayons à travers notre théâtre, de transmettre une autre idée de ce que pourrait être la force, la réussite, la beauté en tentant, autant que possible, de s’avouer : fragiles, ignorant.e.s, faibles, humain.e.s. Nous essayons de ne pas masquer nos incapacités et nos contradictions en essayant d'en faire des points de départs pour nos réflexions.

Il s'agit pour nous de ne pas faire un théâtre qui nous éloigne de la vie mais au contraire, qui nous y plonge pleinement, un théâtre qui cherche sans arrêt, qui fouine, qui racle, qui s'essaye à démonter les mécanismes pour comprendre un peu mieux qui nous sommes et ce que nous faisons.

Notre équipe est composée d’artistes rencontré.e.s tantôt lors de leur formations, tantôt lors de projets professionnels.

 

LE PROJET 

 

Le spectacle OEUVRER SON CRI est programmé dans le Festival OFF d'Avignon, au Théâtre des Carmes et nous sommes très heureux ! Nous allons jouer 15 dates, du 5 au 21 juillet à 16h05 (relâches les mardi 9 et 16 juillet). 

On vous attend nombreux ! 

 

Dans « Œuvrer son cri », un groupe d’artistes, occupe son lieu de travail, un théâtre. Celui-ci est fermé depuis maintenant quelques mois et on ne sait pas ce qu'il va devenir. Après avoir pris possession des lieux, entre l’invention de leur quotidien partagé et la mise en œuvre de leur projet d’occupation, iels décident de faire ce qu’iels savent le mieux faire, du théâtre.

Iels ont en tête quelques précédents fameux : l’Odéon en 1968, le Teatro Valle de Rome entre 2011 et 2014 ou encore le TALP de Liège en 2013. Mais il n’y a pas de modèle absolu, pas de recette ; il faut toujours réinventer la lutte, pour l’ajuster aux conditions du présent. Alors ils tâtonnent, s’interrogent. À quoi le théâtre, comme lieu et comme pratique, peut-il servir ? À quel titre s’engager ? Au nom de quoi, et avec qui, et comment ? Comment devenir une force, faire exister autre chose, tenir dans la durée ? Ils essaient, et se fourvoient parfois. Calent, puis redémarrent. Ils inventent, un peu. Ils apprennent, beaucoup. Au fond, ils réinvestissent, avec nécessité et courage, la vieille question, qui rebondit d’âge en âge : Que faire ?

Habité.e.s de toutes ces questions, iels créent leur laboratoire d'occupation ; iels font du théâtre comme on s'exerce à la lutte, cherchant à incarner tous les réels possibles, et tous ceux qui n'ont pas encore été rêvés pour rendre d'autres mondes désirables.

« À partir d’un long travail d’écriture et de recherche collective, j’ai voulu mettre en scène des artistes qui en occupant un théâtre font, individuellement et collectivement, l’expérience du bouleversement de leurs habitudes, de l’arrêt de quelque chose, du renoncement, mais aussi de l’élaboration collective de nouvelles règles, du changement de la perception de l’autre, de l’imagination de nouveaux mondes possibles, d’un nouveau rapport à leur existence et à leurs contradictions les plus sombres parfois. L’occupation en elle-même et le fait d’en faire théâtre s’influencent l’un l’autre perpétuellement. Les artistes sont modifié·e·s par leur vie quotidienne qui est bousculée ainsi que par toute la documentation qu’iels amassent pour leur projet et par les questionnements qui se posent à elleux dans leur travail. »

 

 

 

POURQUOI AVOIR CHOISI DE FAIRE UNE COLLECTE SUR CE PROJET ? 

 

Nous avons décidé de lancer une collecte pour ce projet car nous avons l’opportunité de le jouer au Théâtre des Carmes André Benedetto pour le festival d’Avignon OFF cet été.

Au cours de la tournée du spectacle OEUVRER SON CRI la saison dernière (22-23), Sébastien Benedetto, directeur du théâtre des Carmes à Avignon a été sensible à notre spectacle et nous a proposé de nous programmer pour 15 dates au Festival d'Avignon 2024. Nous voici donc lancé.e.s dans cette nouvelle aventure avec le désir très fort de continuer à faire vivre ce projet et de lui offrir une nouvelle visibilité. C’est un spectacle auquel toute l'équipe est extrêmement attachée car il charrie des enjeux à la fois intimes à chacun.e d'entre nous mais aussi (et malheureusement) toujours et plus que jamais d'actualité. Ces représentations seront non seulement des moments de partage avec les spectateur.ice.s nombreux.euses du festival mais également le moyen de faire connaître le travail de la compagnie auprès d’un plus vaste réseau de programmateur.ice.s, afin de construire une tournée en 25-26.

Cette collecte, nous permettrait de rémunérer tout le monde lors de ces représentations et de manière décente. C’est pour cela que nous sollicitons votre aide.

Enfin, en tant que jeune compagnie, et le projet étant déjà créé, de nombreuses aides publiques ne sont pas envisageable pour nous.

 

CALENDRIER

 

Oeuvrer son cri a joué :

Les Célestins - Théâtre de Lyon

A la Maison du théâtre à Amiens

Au Théâtre Sorano à Toulouse

A l'Hexagone à Meylan 

Au Théâtre de la Citée internationale à Paris

 

REVUE DE PRESSE



C’est un peu l’idée de la pièce : embarquer le public dans une lutte collective, sans trop lui laisser le choix, avec une si belle énergie qu’on les suivrait au bout du monde.
Sous nos yeux s’écrit l’histoire de celles et ceux qui ne veulent rien céder sur le terrain de leur art et de la culture, un enjeu ô combien d’actualité. Tout sonne juste sans en faire trop, et ça fait du bien.

Le Tribune de Lyon


La jeune Cie Courir à la Catastrophe n'en n'est pas à son coup d'essai. Œuvrer son cri prouve à quel point ses membres savent rire de certaines situations malcommodes, voire dramatiques. Un regard sarcastique, mais tendre, sur eux-même, moteur même de leur création.

Les Trois coups


En ces temps où le repli sur soi est fortement stimulé, la Cie de théâtre « Courir à la catastrophe » donne comme signal tout le contraire. « Courez au théâtre ». Et elle a bien raison car elle ne vous fera pas regretter le déplacement (...)
Iels démontrent qu'iels ont un vrai talent collectif, sachant mêler légèreté et propos plus politiques sans ennuyer. Bien au contraire. Ils nous prouvent qu'ils ne sont pas là pour rien.

France 3 régions


Au croisement des luttes (celles des artistes n'étant pas déconnectés du réel) la Cie CALC expose sa double constance : celle d'artistes politisés et sensibles.

Le petit bulletin


L’ensemble sonne juste dans sa description des contradictions internes et des embuscades politiques. Cet ouvrage porte fièrement le sceau du collectif, et fait vivre, au plateau, de beaux moments de vie militante.

L'œil d'Olivier

Iels préfigurent une nouvelle manière de dire les choses. Pas de second degré dévastateur, aucun cynisme de petits malins qui vont prendre place pour longtemps. Dans "Œuvrer son cri", on sait les choses provisoires et on ne les prolongera pas au-delà du nécessaire.
Bain de fraîcheur théâtrale dans lequel ils convient le public. On espère vraiment qu'ils sauront récidiver après "Oeuvrer son cri" à qui on souhaite évidemment longue vie. Ils ont placé la barre très haut.

Froggy Delight

A quoi sert l'argent collecté

Les 10 000 € serviront à payer une partie des salaires de l'équipe. 

Le coût total des salaires chargés est de 30 434 €.

Aussi, cette collecte permettrait de payer un petit peu plus de 30% de cette somme. 

 


Objectif de collecte

10 000,00 €

Montant Global

50 776,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Salaires artistes

Salaires de 5 artistes pour 15 représentations 15 896,00 €
SOUS TOTAL 15 896,00 €

Salaires équipe

Salaires techniciens, metteur en scène 14 538,00 €
SOUS TOTAL 14 538,00 €

Honoraires comptables et administratrifs

Bulletins de paie, administration, production et diffusion 4 264,00 €
SOUS TOTAL 4 264,00 €

Communication

Adhésion et inscription au festival, flyers et quelques affiches 700,00 €
SOUS TOTAL 700,00 €

Frais de régie

Achats de petits matériaux, consommables etc. 750,00 €
SOUS TOTAL 750,00 €

Transport décor

Location d'utilitaires, essence, péage 1 424,00 €
SOUS TOTAL 1 424,00 €

Frais de voyage

Billets de train 2 740,00 €
SOUS TOTAL 2 740,00 €

Hébergements

Location de 2 maisons 9 664,00 €
SOUS TOTAL 9 664,00 €

Commission Proarti

8% de la collecte 800,00 €
SOUS TOTAL 800,00 €

TOTAL

TOTAL 50 776,00 €

Recettes

Désignation Montant

Vente de billets

Récupération de la billetterie 5 917,00 €
SOUS TOTAL 5 917,00 €

Fonpeps

Aide aux petites jauges - aide APAJ 9 805,00 €
SOUS TOTAL 9 805,00 €

Fonds propres

Fonds propres de la compagnie 19 408,00 €
SOUS TOTAL 19 408,00 €

Droits d'auteur

Utilisation des droits d'auteur perçus par la compagnie par le passé 4 300,00 €
SOUS TOTAL 4 300,00 €

Droits d'auteur

Droits d'auteur sur la billeterie 1 346,00 €
SOUS TOTAL 1 346,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 10 000,00 €

TOTAL

TOTAL 50 776,00 €

Suivez l'actualité du projet !

  • TEASER

Contreparties

Son nom sur la grande liste des remerciements à tous ceux sans qui Avignon n'aurait pas été possible

pour 20,00 € et +

1 ARTINAUTE

Un don de 20 € vous coûtera 6,80 € si vous êtes un particulier (grâce à la défiscalisation de 66% dans la limite de 20% du revenu imposable) et 8 € si vous êtes une personne morale (grâce à la défiscalisation de 60%, dans la limite de 0,5% du chiffre d'affaires HT). Proarti vous enverra le reçu fiscal.

Un flyer avignonnais dédicacé

pour 50,00 € et +

2 ARTINAUTES

Un don de 50 € vous coûtera 17 € si vous êtes un particulier (grâce à la défiscalisation de 66% dans la limite de 20% du revenu imposable) et 20 € si vous êtes une personne morale (grâce à la défiscalisation de 60%, dans la limite de 0,5% du chiffre d'affaires HT). Proarti vous enverra le reçu fiscal.

Une invitation pour voir Oeuvrer son cri

pour 100,00 € et +

1 ARTINAUTE

Un don de 100 € vous coûtera 34 € si vous êtes un particulier (grâce à la défiscalisation de 66% dans la limite de 20% du revenu imposable) et 40 € si vous êtes une personne morale (grâce à la défiscalisation de 60%, dans la limite de 0,5% du chiffre d'affaires HT). Proarti vous enverra le reçu fiscal.

Deux invitations pour voir Oeuvrer son cri

pour 200,00 € et +

1 ARTINAUTE

Un don de 200 € vous coûtera 68 € si vous êtes un particulier (grâce à la défiscalisation de 66% dans la limite de 20% du revenu imposable) et 80 € si vous êtes une personne morale (grâce à la défiscalisation de 60%, dans la limite de 0,5% du chiffre d'affaires HT). Proarti vous enverra le reçu fiscal.

Trois invitations pour voir Oeuvrer son cri + 1 verre à Avignon avec l'équipe

pour 500,00 € et +

1 ARTINAUTE

Un don de 500 € vous coûtera 170 € si vous êtes un particulier (grâce à la défiscalisation de 66% dans la limite de 20% du revenu imposable) et 200 € si vous êtes une personne morale (grâce à la défiscalisation de 60%, dans la limite de 0,5% du chiffre d'affaires HT). Proarti vous enverra le reçu fiscal.