MAMIWATA

THÉÂTRE
PRODUCTION,
DÉMOCRATISATION CULTURELLE

Présentation du projet


Qui et quoi ?

« MAMIWATA est ma première pièce de théâtre, que j'ai écrite il y a deux ans. J'écris toute sorte de choses depuis mon enfance, mais MAMIWATA est mon premier vrai projet d'écriture théâtrale et scénique. La pièce questionne à la fois, l'impact du mythe dans notre imaginaire ou notre construction identitaire, mais aussi dans notre relation à l'autre, dans notre relation à nous-même, et dans nos rapports amoureux...C'est par ailleurs pour moi, une tentative de rencontre, voire de dialogue, entre deux figures féminines extrêmement importantes de la mythologie africaine/afrodescendante et de la mythologie européenne : Mamiwata et Médée.

L'envie de mettre en scène cette pièce est née en février 2015, à la suite d'une première mise en espace du texte présentée au Jeune Théâtre National, un établissement qui a pour mission d’accompagner durant trois années les artistes issu.e.s du Conservatoire National Supérieur d’Art dramatique de Paris ( duquel je suis sortie en 2010 ) et de l’École supérieure d’art dramatique du Théâtre National de Strasbourg, afin de favoriser leur insertion professionnelle. Fort.e.s de cette première belle expérience Mamiwatesque et de retours plus qu'enthousiastes sur notre travail, mes camarades et moi décidâmes de poursuivre l'aventure et d'aller encore plus loin.

Le collectif 36 bis, un collectif altruiste et pluridisciplinaire créé en 2007 par Brice Cousin et Alain Carbonnel, décida très rapidement d'accompagner et d'acceuillir le projet. Ainsi, en mai 2015, quelques mois seulement après cette première expérience enrichissante, une première étape de mise en scène fut présentée au Théâtre Darius Milhaud à Paris, grâce notamment au soutien de l'Odéon-Théâtre de l'Europe, où nous avons eu le chance de pouvoir répéter pendant plusieurs jours.

Ces premiers gros plongeons ont rapidement porté des fruits, puisque le Théâtre Gérard Philippe-CDN de Saint-Denis nous proposa, peu de temps après le Darius Milhaud, d'entrer en compagnonnage avec eux, et le Théâtre de l'Opprimé décida de nous programmer pour la saison 2016-2017. Entre temps, plusieurs lectures ou mises en espaces de la pièce ont été présentées, notamment à l'Établissement Public de Santé Barthélémy Durand, spécialisé en santé mentale et en psychiatrie. Ce fut une expérience artistique et humaine magnifique, déterminante pour le projet. Nous fûmes tous, acteurs, patients et personnel soignant assez bouleversés par ce moment.

Les 29 et 30 septembre 2016, MAMIWATA fut présentée au Théâtre Gérard Philipe-CDN de Saint-Denis dans sa magnifique salle, appelée Le Terrier.

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Quand ?

Aujourd'hui, une nouvelle échéance de grande envergure arrive à grands pas pour MAMIWATA. Le 29 mars 2017, nous entrerons dans l'étape finale de création du spectacle au Théâtre de l'Opprimé. Et nous aurons jusqu'au 9 avril pour en profiter. 10 dates pour accoucher de ce spectacle que nous défendons passionnément depuis près de deux ans. Nous sommes huit personnes à donner le meilleur de nous-mêmes pour que Mamiwata vive. Trois comédien.ne.s, dont une qui est également chanteuse et une qui est également l'auteure et la metteure en scène, un assistant à la mise en scène qui est également régisseur vidéo, une créatrice vidéo, un créateur et régisseur lumière, une scénographe et une chorégraphe. Et c'est principalement parce que chacune des personnes de ce projet a foi en MAMIWATA, et en son avenir, que nous avons toutes et tous toujours travaillé bénévolement jusqu'à présent.

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Pourquoi le financement participatif ?

MAMIWATA a parcouru ce beau chemin grâce, aussi, à la solidarité et la confiance de certaines institutions, de nos proches, ou d'inconnus très généreux, grâce à leur enthousiasme. MAMIWATA aborde des sujets, des thématiques qui touchent de par leur diversité, leur profondeur, mais aussi de par les questionnements qu'elle sucite en tout un chacun. Que reste-t-il de nos mythes aujourd’hui ? Et à quel point interfèrent-t-ils dans notre vie, notre imaginaire et nos choix ? Qu’est-ce qu’une identité ? Et, ce qui fait notre identité nous appartient-il ? Ou encore, quelle place y a t-il pour uné héroïne tragique d'origine africaine dans le répertoire ou dans les salles de théâtre français ? Autant de questions et bien plus encore, qui ne laissent pas indifférent.e.

Pour nous, il est nécessaire aujourd'hui, à travers une forme de démocratisation culturelle et de financement participatif, de produire notre spectacle MAMIWATA avec tous les moyens qui nous sont nécessaires, afin de présenter un travail de qualité et le plus possible à la hauteur de nos ambitions. Nous le voulons pour valoriser notre engagement commun, mais aussi le travail apporté par chacun.e des artistes de cette équipe depuis deux ans, nous le voulons pour poursuivre notre travail en tant qu'artistes dans de bonnes conditions financières, être rémunéré.e.s, et nous le voulons aussi évidemment pour vous donner le meilleur de nous-mêmes.

Merci aux donateurs

Je crois fortement en la solidarité collective, l'entraide. Et les sept artistes qui m'accompagnent généreusement dans ce projet aussi. J'aimerais que chaque personne qui soit touchée par ce projet puisse y trouver une place, et pas seulement celle du spectacteur. Que d'une manière ou d'une autre je/nous l'impliquions dans le projet, dans cette aventure et pas seulement à l'aide d'une contrepartie...Que nous questionnions ensemble la fonction de l'art, de l'oeuvre artistique dans la cité, dans le territoire et que nous ne soyons plus uniquement dans les clivages spectacteurs/artistes, donateurs/receveurs etc... Grâce à vous, nous pourrions mettre en avant toutes ces valeurs, si fragiles aujourd'hui, nous pourrions, comme pour beaucoup d'autres projets déjà, montrer que ce projet artistique et humain n'a pas uniquement besoin de l'État et des institutions pour vivre, que les artistes ont encore une place dans nos sociétés de moins en moins rêveuses, et que leur travail est considéré, que pour créer il faut beaucoup d'amour et de désir, mais aussi de l'argent et du matériel pour matérialiser certains rêves. Certains rêves éssentiels pour toutes et tous.


Résumé de la pièce

Quelque part, très très loin, au bord de l’Océan Atlantique. Trois êtres dans un asile. Leur terre d’asile. Mamiwata, Lui et Maidai. Trio de fêlures ambulantes, rescapées de cataclysmes. Mamiwata est au centre, orpheline et parricide, elle est devenue serial-killeuse. Monstrueuse femme monstre, descendante d’une fille de l’eau,plus communément appelée… sirène. Son histoire ancrée en elle, comme un mythe imprégné d’autres mythes, indélébiles. Êtres Réels ou créatures fantastiques ?...Dire, raconter, inventer par nécessité de survivre et peut-être... réinventer. À quel point avons-nous le droit de rêver ?Peut-on se rendre compte du moment où ça vrille ?

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Une Mami Wata c'est quoi ?

La Mami Wata (ou Mamy Wata, Mami Watta ou Mama Wata) est une divinité aquatique du culte Vaudou en Haïti et du culte Africain Vodoun, dont la pratique est répandue en Afrique de l’Ouest, du centre et du Sud, dans la diaspora africaine, les Caraïbes, et dans certaines régions d’Amérique du Nord et du Sud.

La Mami Wata est généralement décrite comme une femme extraordinaire, et très puissante. Elle est décrite comme une femme noire d’une grande beauté, aux yeux grands et brillants, aux cheveux noirs, bouclés ou crépus, qu’elle coiffe avec un peigne d’or. Elle est décrite sous les traits d’une sirène mi-femme mi-poisson ou mi-femme mi-serpent. Un grand serpent (symbole de la divination et de la divinité) l’accompagne souvent. Il s’enroule autour d’elle en posant sa tête entre ses seins.

Selon les traditions des deux côtés de l’Atlantique, l’esprit enlève ses adeptes ou des gens au hasard alors qu’ils nagent ou qu’ils sont en bateau. Elle les emmène dans son royaume paradisiaque, qui peut être sous l’eau, dans le monde des esprits, ou les deux. Si elle leur permet de partir, les voyageurs reviennent souvent dans des vêtements secs et avec une nouvelle intelligence spirituelle qui se reflète dans leur regard, souvent ils s’enrichissent, deviennent plus séduisants et plus faciles à vivre.

Selon une tradition nigériane, les adeptes hommes peuvent rencontrer une Mami Wata sous la forme d’une belle prostituée. Après l’acte sexuel, elle lui apparaît et lui demande la fidélité et le secret. S’il accepte, la fortune et la santé lui sont accordées, sinon, ruine sur sa famille, ses finances et son travail.

Son culte varie selon ses initiés, prêtres et adorateurs, cependant des grandes lignes se dégagent. Des réunions peuvent avoir lieu, mais la déité est plus encline à des rapports individuels avec ses suiveurs. Elle a de nombreux prêtres et médiums en Afrique, en Amérique et à la Caraïbe, qui sont spécifiquement initiés. Au Nigéria et dans le culte vaudou haïtien, ses adeptes portent principalement des vêtements blancs. Le blanc symbolise la mort, mais aussi la beauté, la création, la féminité, le renouveau, la spiritualité, la translucidité, l’eau et la santé. Les sanctuaires et les autels de la Mami Wata peuvent être décorés de cette couleur avec des cloches, des sculptures, des icônes chrétiennes ou indiennes, des poupées, de l’encens et des restes de sacrifices précédents.

Le culte de la Mami Wata consiste en des danses accompagnées de musique. Les adeptes dansent jusqu’à entrer en transe. Elle les possède alors et leur parle. Le nom de cette déesse pourrait être une adaptation en pidgin de l’anglais mammy water, mais une étymologie purement africaine est aussi possible car mamy en langue éwé veut dire lèpre, et au Togo l’expression Mami wata signifie que la personne a la lèpre et que ses membres se sont transformés.

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De la Mami Wata à MAMIWATA

J’ai toujours été fascinée par les mythes et les légendes.

Au Cameroun, mon pays d’origine, ceux-là se mêlent facilement à la réalité, au quotidien, car peut-être n’en sont-ils pas… Ce qui est sûr c’est qu’on ne les sépare pas du monde dans lequel on vit. Au cours de mes différents voyages là-bas, on m’a régulièrement conté des histoires, des faits divers marqués par ces héroïnes particulières, tantôt prostituées, tantôt démons ou déesses des eaux. De manière involontaire elles font donc partie de mon imaginaire depuis bien longtemps. Et c’est d’ailleurs à travers cet imaginaire que j’associe la Mami Wata à une autre figure mythologique, mais celle-ci plus occidentale… Médée. Fascinante elle aussi, et traversant les siècles. Médée, je l’ai rencontrée au théâtre, là où on raconte aussi des histoires. Je l’ai jouée et vu jouée sous différentes formes, vivant à différentes époques. Ses traits sont multiples. Probablement aussi nombreux que les questionnements qu’elle suscite. Et pour cause…

Une Mami Wata ou une Médée, sont de toute évidence des femmes hors norme, extraordinaires, femmes-monstres, magiciennes à l’ascendance fantastique ou divine, mi-déesse-mi humaine, voire entièrement déesse. Femmes dominatrices et indomptables aux passions destructrices…Elles n’ont de cesse de questionner ce qu’est ou pourrait être la féminité en général, ma féminité, voire plus largement, l’humanité. On a de cesse de conter leur(s) histoire(s), de la réécrire, de la transformer ou de la jouer. À tel point qu’on ne sait plus ce qu’il reste du mythe ou de la réalité. Et c’est là ce qui me meut.

Nous sommes emprunts de cultures et d’histoires qui nous façonnent. Nous reproduisons parfois des schémas qui sont des héritages que souvent nous ne maîtrisons pas et ne comprenons pas.

Le choix de l’hôpital psychiatrique comme unique espace de la pièce et de la représentation m’a tout de suite paru évident, dès lors que mon souhait est de questionner les problèmes identitaires et par conséquent émotionnels, mentaux. Cela à travers trois personnages différents, mais tous liés à Mamiwata. Le personnage de Mamiwata étant, par ailleurs, l’incarnation du travestissement du mythe.

Êtes-vous prêts à entrer dans l'aventure Mamiwatesque ? »

Astrid Bayiha


A quoi sert l'argent collecté

L'argent collecté servira principalement à la rémunération des artistes et personnel technique nécessaire à la bonne réalisation du spectacle lors de sa création au théâtre de l'Opprimé du 29 mars au 9 avril 2017. Il s'agit d'un budget calculé sur des salaires minimum, et cette collecte n'a donc de véritable limite que votre générosité  et votre envie de voir  se projet se réaliser.  Nous aurions également  besoin   d'un chargé de diffusion qui pourrait contacter pour nous et surtout faire venir sur ces représentations au Théâtre de l'Opprimé les professionnels nécessaires à l'établissement d'une future tournée du spectacle, mais cela ne rentre pas dans le budget calculé ci-dessous ! Nous espérons vos dons nombreux afin de combler tous nos espoirs !

à partir de 9500 € nous pourrions payer un chargé de diffusion

à partir de 15000  € nous pourrions rémunérer les comédiens et les techniciens pour la période de répétition

à partir de 19000 € nous pourrions augmenter les forfaits accordés aux scénographe, chorégraphe, videaste, et photographe/réalisateur

à partir de 21000 € nous pourrions rémunérer les artistes au cachet et non à l'heure pour les représentations

au-dessus de 21000 €  nous pourrions changer notre matériel video et rembourser des frais dépensés lors des précédentes étapes de l'élaboration de  ce projet.

 

À vous de jouer !


Objectif de collecte

1 000,00 €

Montant Global

9 880,00 €

Dépenses

Désignation Montant

Personnel artistique

1 scénographe (forfait) 500,00 €
3 interprètes (12 services) 3 672,00 €
1 vidéaste (forfait) 500,00 €
1 chorégraphe (forfait) 500,00 €
SOUS TOTAL 5 172,00 €

Services extérieurs

Frais postaux, téléphone, pub 100,00 €
Captation vidéo 500,00 €
Entretien costumes 70,00 €
Assurance 50,00 €
SOUS TOTAL 720,00 €

Rémunération et charges personnel administratif

Chargé de production (30h) 600,00 €
SOUS TOTAL 600,00 €

Rémunération et charges personnel technique

1 régisseur vidéo/son (17 services) 1 394,00 €
1régisseur lumière 1 394,00 €
SOUS TOTAL 2 788,00 €

Achats

Millumin 2 : Logiciel de mapping vidéo 600,00 €
SOUS TOTAL 600,00 €

TOTAL

TOTAL 9 880,00 €

Recettes

Désignation Montant

Recette estimée co-réalisation de 10 dates Théâtre de l'Opprimé

40% des recettes globales HT pour la cie 1 880,00 €
SOUS TOTAL 1 880,00 €

Proarti

Financement participatif proarti 1 000,00 €

TOTAL

TOTAL 2 880,00 €

Niki de Saint Phalle, Autoportrait.

" À l'eau Marietou ! "

L'AUTEURE : MARIE-FÉLICITÉ EBOKEA
Marie-Félicité Ébokea est d'origine camerounaise. Elle a publié de nombreux ouvrages, albums et nouvelles chez L’Harmattan, Albin Michel, Seuil jeunesse ou Belin.
L'ILLUSTRATRICE : CLÉMENTINE SOURDAIS
Clémentine Sourdais a étudié à l’école des Beaux Arts à Marseille et est diplômée d'Émile Cohl à Lyon. Elle a illustré Cheval violon écrit par Martin Viot, et Mes Maisons du monde, parus au Sorbier.

Mère et fille.

Océan Atlantique...

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  • MAMIWATA DE JOUR EN JOUR...

    Extrait de MAMIWATA

    « Je me présente

    Je m’appelle Mamiwata

    Ou l’Arrache-coeur

    Pour les intimes

    Je suis l’Arrache-coeur au sens figuré comme au sens propre

    Je n’y peux rien

    Ce n’est pas tout à fait volontaire

    C’est la faute à ma mère

    Vous aussi

    Je sais oui

    Mais là c’est plus compliqué

    Parce que ma mère était une fille de l’eau

    Une sirène si vous préférez

    Une fille de l’eau

    Petite parenthèse

    Quand je vois quelqu'un marcher dans la rue je me demande toujours d'où il vient

    comment il va crever comment il dort la nuit ou chie

    Oui

    Moi je viens de l'eau vous savez

    Et je retournerai dans l’eau

    C’est comme ça

    Je m'appelle Mamiwata

    Quand je suis née j'eus à peine le temps de savourer mon premier souffle que la

    cruauté de ma vie me cracha au visage

    Maman aimait papa qui ne l’aimait pas

    Vous aussi

    Je sais oui

    Mais là c’est plus compliqué

    Parce que ma mère était une fille de l’eau

    Pas comme les autres non

    Elle voulait l’amour le vrai qui s’achète pas se trafique pas se vole pas s’arrache pas se

    contrôle pas se travestit pas se troque pas

    Se troque pas

    Avec papa

    A quel point avons-nous le droit de rêver ?

    Peut-on se rendre compte du moment où ça vrille ? »

Contreparties

Merci

pour 10,00 € et +

4 ARTINAUTES

Votre nom apparaîtra sur nos principaux supports de communication en guise de remerciement et en tant que porteur ou porteuse du projet.

Carte postale et répétition ouverte

pour 20,00 € et +

2 ARTINAUTES

Une. belle photo du spectacle format carte postale, sera envoyée chez vous avec les signatures de tous les artistes.

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Deux invitations pour. assister à l'une de nos répétitions au Théâtre de l'Opprimé.

Votre nom apparaîtra sur nos principaux supports de communication en guise de remerciement et en tant que porteur ou porteuse du projet.

La pièce de théâtre et invitation à la générale

pour 30,00 € et +

3 ARTINAUTES

Le texte de la pièce de théâtre vous sera envoyé chez vous et dédicacé..

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Deux invitations pour la générale de MAMIWATA au Théâtre de l'Opprimé. Vous pourrez voir le spectacle en avant-première.

Votre nom apparaîtra sur nos principaux supports de communication en guise de remerciement et en tant que porteur ou porteuse du projet.

Une détaxe pour une réprésentation et photo avec l'équipe

pour 50,00 € et +

2 ARTINAUTES

Une place à 8 euros au lieu de 16. pour une réprésentation de MAMIWATA au Théâtre de l'Opprimé.

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Une photo dédicacée, avec les artistes, à l'issue de la représentation.

Votre nom apparaîtra sur nos principaux supports de communication en guise de remerciement et en tant que porteur ou porteuse du projet.

Une détaxe pour une représentation et une belle photo du spectacle format livret en A3

pour 80,00 € et +

1 ARTINAUTE

Une place à 8 euros au lieu de 16 .pour .une des réprésentations de MAMIWATA au Théâtre de l'Opprimé, suivie .d'un échange avec les artistes autour du spectacle.

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Une des plus belles photos du spectacle, choisie par vous, au format livret en A3, livrée chez vous et signée par les artistes.

Votre nom apparaîtra sur nos principaux supports de communication en guise de remerciement et en tant que porteur ou porteuse du projet.

Deux détaxes pour une représentation et affiche du spectacle format A3

pour 100,00 € et +

0 ARTINAUTES

Deux places pour .16 euros au lieu de 32 pour. une des représentations de MAMIWATA au Théâtre de l'Opprimé, suivie d'une discussion avec les artistes autour du spectacle.

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Une affiche du spectacle, signée par les artistesau format A3 et remise le soir de la représentation.

Votre nom apparaîtra sur nos principaux supports de communication en guise de remerciement et en tant que porteur ou porteuse du projet.

Une invitation à une répresentation et atelier d'écriture

pour 200,00 € et +

0 ARTINAUTES

Une invitationà l'une des représentations de MAMIWATA au Théâtre de l'Opprimé, suivie d'une discussion avec les artistes autour du spectacle.

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Une invitation à un atelierd'écriturede 2h gratuitsurla question du Mythe,avec la metteure en scène du spectacle, Astrid BAYIHA.

Votre nom apparaîtra sur nos principaux supports de communication en guise de remerciement et en tant que porteur ou porteuse du projet.

Un atelier d'interprétation autour de la pièce MAMIWATA et la chanson du spectacle arrangée, enregistrée et offerte

pour 500,00 € et +

0 ARTINAUTES

CONTREPARTIE SPÉCIALE ENTREPRISE

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Un atelier d'interprétationde 3h autour de MAMIWATA et des thèmes principaux de la pièce, dirigépar la metteure en scène et auteure, Astrid BAYIHA .

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La chanson du spectacle enregistrée,arrangée et offerte auformat MP3

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